Selon leurs capacités de les payer, leurs goûts…..et aussi leurs sens de la protection....les gens achètent et portent les lunettes de soleil (en cette saison d’été.
Les lunettes de soleil, c’est connu, se vendent en été : elles font même partie de la panoplie des vacances, qu’on parte ou qu’on reste chez soi. Ils sont des milliers, de jeunes et de moins jeunes à les arborer, dans les rues, sur les plages et les campings. Il y en a de toutes sortes, de toutes formes et, bien entendu, de tous les prix ! De la paire que l’on achète sur un étal, dans la rue (il y en a à 150 et même à 100 dinars) à celle qu’on commande chez l’opticien (elle peut coûter 5000 dinars et plus), il y a une différence, non seulement de prix mais aussi de qualité. Si on est sûr qu’une paire à 100 dinars, c’est de la camelote –en général du plastique coloré, comme les Chinois savent en fabriquer- celles qui coûtent 5000 dinars ne sont pas forcément meilleures. En fait, ce qui fait la qualité d’un verre solaire, c’est sa capacité à filtrer les rayons ultraviolets et donc son efficacité à protéger les yeux.
Si pendant longtemps, il fallait se fier aux fabricants et aux vendeurs de lunettes, il existe aujourd’hui un marquage qui permet de classer les verres en fonction justement de cette capacité de filtrage : l’échelle va de 0, efficacité nulle, à 5, efficacité supérieure. Les lunettes de pacotille –celles que les gens achètent le plus, parce qu’elles sont à bon marché- ne connaissent malheureusement pas de marquage, elle ne protégeront donc pas ceux qui les portent... Leur fonction est avant tout esthétique... si on ne peut les changer, pour de vraies lunettes de soleil, qu’on sache qu’elles ne sont pas d’une grande utilité pour les yeux: au moins on évitera les trop fortes expositions au soleil et, sur les plages, on se mettra à l’ombre...
- La depeche de Kabylie
Les lunettes de soleil, c’est connu, se vendent en été : elles font même partie de la panoplie des vacances, qu’on parte ou qu’on reste chez soi. Ils sont des milliers, de jeunes et de moins jeunes à les arborer, dans les rues, sur les plages et les campings. Il y en a de toutes sortes, de toutes formes et, bien entendu, de tous les prix ! De la paire que l’on achète sur un étal, dans la rue (il y en a à 150 et même à 100 dinars) à celle qu’on commande chez l’opticien (elle peut coûter 5000 dinars et plus), il y a une différence, non seulement de prix mais aussi de qualité. Si on est sûr qu’une paire à 100 dinars, c’est de la camelote –en général du plastique coloré, comme les Chinois savent en fabriquer- celles qui coûtent 5000 dinars ne sont pas forcément meilleures. En fait, ce qui fait la qualité d’un verre solaire, c’est sa capacité à filtrer les rayons ultraviolets et donc son efficacité à protéger les yeux.
Si pendant longtemps, il fallait se fier aux fabricants et aux vendeurs de lunettes, il existe aujourd’hui un marquage qui permet de classer les verres en fonction justement de cette capacité de filtrage : l’échelle va de 0, efficacité nulle, à 5, efficacité supérieure. Les lunettes de pacotille –celles que les gens achètent le plus, parce qu’elles sont à bon marché- ne connaissent malheureusement pas de marquage, elle ne protégeront donc pas ceux qui les portent... Leur fonction est avant tout esthétique... si on ne peut les changer, pour de vraies lunettes de soleil, qu’on sache qu’elles ne sont pas d’une grande utilité pour les yeux: au moins on évitera les trop fortes expositions au soleil et, sur les plages, on se mettra à l’ombre...
- La depeche de Kabylie
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