Le gouverneur de la Banque d’Algérie (BA) a appelé le 30 octobre 2012 à Alger les banques commerciales exerçant en Algérie à accompagner le pays dans sa démarche vers une croissance hors hydrocarbures durable qu’il estime réalisable à deux chiffres.
"Une croissance hors hydrocarbures à deux chiffres est possible en Algérie et sans recours aux financements extérieurs," a déclaré Mohamed Laksaci.
"Il faut puiser dans l’épargne nationale, mais il faut aussi que les banques commerciales jouent efficacement leur rôle en tant qu’intermédiaires financières", a-t-il précisé lors de sa réponse aux questions des députés concernant le rapport sur les indicateurs monétaires et financiers de 2011.
Selon le gouverneur de la BA, les banques activant en Algérie devraient "s’impliquer dans le financement de l’investissement et du logement surtout que l’épargne des ménages est très élevée".
Il a annoncé, que la BA venait de lancer une étude pour définir le taux de croissance hors hydrocarbures potentiel en Algérie.
Le gouverneur a rappelé que "l’État algérien a été le premier agent économique à donner l’exemple en matière d’absorption de l’épargne à travers l’investissement et le paiement anticipé de la dette extérieure".
Début octobre 2012, le Premier ministre Abdelmalek Sellal avait annoncé devant les députés que l'Algérie voulait atteindre un taux de croissance à deux chiffres grâce à l'amélioration du climat des affaires dans le pays. Le budget 2013 prévoit une croissance supérieure à 5% contre 4,7% en 2012.
Amal Belkessam
"Une croissance hors hydrocarbures à deux chiffres est possible en Algérie et sans recours aux financements extérieurs," a déclaré Mohamed Laksaci.
"Il faut puiser dans l’épargne nationale, mais il faut aussi que les banques commerciales jouent efficacement leur rôle en tant qu’intermédiaires financières", a-t-il précisé lors de sa réponse aux questions des députés concernant le rapport sur les indicateurs monétaires et financiers de 2011.
Selon le gouverneur de la BA, les banques activant en Algérie devraient "s’impliquer dans le financement de l’investissement et du logement surtout que l’épargne des ménages est très élevée".
Il a annoncé, que la BA venait de lancer une étude pour définir le taux de croissance hors hydrocarbures potentiel en Algérie.
Le gouverneur a rappelé que "l’État algérien a été le premier agent économique à donner l’exemple en matière d’absorption de l’épargne à travers l’investissement et le paiement anticipé de la dette extérieure".
Début octobre 2012, le Premier ministre Abdelmalek Sellal avait annoncé devant les députés que l'Algérie voulait atteindre un taux de croissance à deux chiffres grâce à l'amélioration du climat des affaires dans le pays. Le budget 2013 prévoit une croissance supérieure à 5% contre 4,7% en 2012.
Amal Belkessam
Commentaire