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Clinton:demande une refonte de l'opposition en Syrie "le CNS n'est le leader de l'opposition"

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  • Clinton:demande une refonte de l'opposition en Syrie "le CNS n'est le leader de l'opposition"

    ZAGREB (Reuters) -

    Hillary Clinton demande une refonte de l'opposition en Syrie

    Hillary Clinton a souhaité, mercredi, une refonte de l'opposition au président Bachar al Assad en Syrie et appelé à une intégration de ceux "qui combattent en première ligne" pour empêcher une récupération du conflit par les extrémistes.
    La secrétaire d'Etat américaine, en visite dans les Balkans, a émis le souhait que les discussions des différentes factions de l'opposition la semaine prochaine au Qatar débouchent sur une coalition élargie parlant d'une voix unique.
    Les Occidentaux ne cachent plus leur lassitude à l'égard du Congrès national syrien (CNS), constitué principalement d'expatriés vivant à l'étranger, qui ne parvient pas à établir des liens avec les organisations présentes sur le terrain.
    "Nous avons clairement dit que le CNS ne peut plus être considéré comme la figure de l'opposition", a commenté Clinton. "Il peut faire partie d'une opposition élargie, mais cette opposition doit intégrer des personnes qui se trouvent en Syrie".
    "Il faut une opposition organisée et déterminée à représenter et protéger tous les Syriens", a poursuivi Clinton.
    Les Etats-Unis avaient pris des mesures pour permettre la présence de responsables de l'opposition en Syrie lors d'une réunion en marge de l'Assemblée générale de l'Onu le mois dernier.
    "Nous avons fourni les noms des personnes et des organisations qui selon nous doivent participer à une organisation de gouvernement", a-t-elle dit.
    Des délégués du CNS, de l'Armée syrienne libre (ASL) et d'autres groupes rebelles se sont engagés mercredi à l'issue d'une réunion près d'Istanbul à s'unir derrière un gouvernement provisoire dans les mois qui viennent.
    "Ce sont nos divisions qui ont permis aux forces d'Assad d'être là où elles en sont", a déclaré à Reuters l'un des chefs rebelles, Amnar al Ouaoui.
    Les combats ont fait six morts mercredi lorsqu'une bombe a explosé dans une banlieue chiite de Damas.
    Andrew Quinn, avec Ayla Jean Yackley; Pierre Sérisier et Pascal Liétout pour le service français
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    Syrie : Washington veut une opposition élargie

    Les Etats-Unis veulent une opposition syrienne élargie au-delà du Conseil national syrien (CNS), qui puisse "résister fortement aux efforts des extrémistes pour détourner la révolution" contre le Bachar al-Assad, a déclaré mercredi Hillary Clinton.

    "Il y a des informations inquiétantes sur des extrémistes qui se rendent en Syrie et tentent de détourner à leurs fins ce qui était jusqu'ici une révolution légitime contre un régime oppressif", a déclaré la chef de la diplomatie américaine Hillary Clinton à la presse à Zagreb. Pour cette raison, les Etats-Unis veulent "aider l'opposition à s'unir fermement", a-t-elle déclaré.

    "Le CNS ne peut plus être vu comme le leader visible de l'opposition", a-t-elle ajouté. "Il peut être une partie de l'opposition, mais l'opposition doit inclure des gens à l'intérieur de la Syrie et d'autres", a-t-elle précisé. "Nous travaillons très dur avec de nombreux éléments différents de l'opposition à l'intérieur comme à l'extérieur de la Syrie", a poursuivi Mme Clinton en marge d'une rencontre avec le président croate Ivo Josipovic. Elle a estimé qu'une ample coalition de l'opposition avait "besoin d'une structure dirigeante vouée à représenter et à protéger tous les Syriens", une opposition "capable de parler à chaque segment et à chaque composante géographique de Syrie".
    tdg ch
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    Le «bain de sang» continuera si l'Occident insiste sur un départ de Bachar al-Assad, a averti le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov après un entretien avec son homologue Laurent Fabius qui a admis une «différence d'appréciation»"sur une présence du président syrien dans un processus de transition.
    Les divergences restent profondes entre d'un côté Russes, Chinois et Iraniens, des alliés du régime Assad, et de l'autre Occidentaux, Turcs et Arabes, qui appuient la rébellion et veulent un départ de M. Assad, dont la famille est au pouvoir en Syrie depuis quatre décennies.
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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