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TRIPOLI (Reuters) - Des milices s'affrontaient dimanche autour d'un bâtiment du Comité suprême de sécurité libyen, dans le sud de Tripoli, qui a été touché par une roquette, a constaté un journaliste de Reuters.
Les combats ont débuté peu après minuit.
L'hôpital central de Tripoli, situé à proximité, a admis cinq blessés, selon un médecin de l'établissement, qui été endommagé par des tirs.
"Nous avons de vrais patients avec de vrais besoins. Ces milices de voyous doivent nous laisser en paix pour que nous puissions travailler", a déclaré le Dr Khaled Ben Nour.
Les habitants du quartier de Sidi Khalifa, dans le sud de la capitale, ont déclaré que les affrontements avaient éclaté entre deux milices autorisées par le Comité suprême de sécurité après un différend portant sur la détention d'un milicien.
"Nous avons appelé la police tôt ce matin pour nous aider à arrêter la fusillade, mais personne n'est venu", a déclaré Khaled Mohamed, un habitant.
Des coups de feu ont éclaté dans le quartier, forçant les habitants à bloquer la rue où avait lieu la fusillade pour empêcher les voitures de se retrouver piégées au milieu des balles. De nombreux civils sont retournés chez eux pour se munir de leurs propres armes.
Ghaith Shennib, Hadeel al Shalchi; Jean-Stéphane Brosse pour le service français
Les combats ont débuté peu après minuit.
L'hôpital central de Tripoli, situé à proximité, a admis cinq blessés, selon un médecin de l'établissement, qui été endommagé par des tirs.
"Nous avons de vrais patients avec de vrais besoins. Ces milices de voyous doivent nous laisser en paix pour que nous puissions travailler", a déclaré le Dr Khaled Ben Nour.
Les habitants du quartier de Sidi Khalifa, dans le sud de la capitale, ont déclaré que les affrontements avaient éclaté entre deux milices autorisées par le Comité suprême de sécurité après un différend portant sur la détention d'un milicien.
"Nous avons appelé la police tôt ce matin pour nous aider à arrêter la fusillade, mais personne n'est venu", a déclaré Khaled Mohamed, un habitant.
Des coups de feu ont éclaté dans le quartier, forçant les habitants à bloquer la rue où avait lieu la fusillade pour empêcher les voitures de se retrouver piégées au milieu des balles. De nombreux civils sont retournés chez eux pour se munir de leurs propres armes.
Ghaith Shennib, Hadeel al Shalchi; Jean-Stéphane Brosse pour le service français