Les électeurs américains ont commencé mardi à voter au terme d'une longue et âpre campagne présidentielle pour départager le démocrate Barack Obama et le républicain Mitt Romney.
A New York et dans le New Jersey voisin, les opérations de vote n'ont pas été sans une certaine confusion une semaine après le passage meurtrier de l'ouragan Sandy.
Dans un pays traversé par six fuseaux horaires, les premiers bureaux de vote ont ouvert sur la côte est et dans une partie du Midwest. Les derniers des 120 millions d'Américains appelés à voter seront les électeurs de l'Alaska et d'Hawaï.
Barack Obama, qui a voté par anticipation au mois d'octobre, devait passer la journée dans sa ville de Chicago. Il a félicité son adversaire républicain pour sa "campagne pleine d'allant" et incité tous ses compatriotes à voter.
Mitt Romney a, lui, voté dans un foyer municipal près de son domicile, dans son fief électoral de Belmont, dans la banlieue de Boston, puis a repris son sprint final.
Celui-ci l'a notamment mené dans l'Etat crucial de l'Ohio, qu'il espère encore faire basculer et où il est crédité de quatre points de retard selon la dernière livraison du sondage quotidien Ipsos-Reuters (50% contre 46%).
"Les gens de l'Ohio savent que ce sont probablement eux qui vont décider quel sera le prochain président", a dit le candidat républicain à une station de radio locale.
L'avion du vice-président démocrate Joe Biden a atterri à l'aéroport de Cleveland quelques minutes seulement après celui de Romney, soulignant encore une fois l'importance que les deux camps accordent au vote de l'Ohio. Mitt Romney est resté à bord de son avion en attendant que le convoi du vice-président ait quitté les lieux.
A Chicago, après avoir accordé plusieurs interviews à des stations de radio, Barack Obama a joué au basket avec des amis et des membres de son équipe de campagne, comme il l'avait fait il y a quatre ans.
Depuis un mois, les enquêtes d'opinion ne parviennent pas à départager les deux hommes qui font jeu égal dans les intentions de vote au niveau national.
Donné facile vainqueur au mois de septembre face à un adversaire qui apparaissait peu en phase avec les préoccupations de ses concitoyens, Barack Obama a vu la tendance s'inverser, notamment après le premier débat télévisé, le 3 octobre, qui a tourné au cauchemar pour le chef de l'État.
Le président sortant paraît cependant avoir un petit avantage dans les "swing States", les "Etats bascules" où se jouera l'élection, ce qui pourrait lui permettre de franchir la barre des 270 votes au collège électoral, synonyme de victoire.
Reuters
A New York et dans le New Jersey voisin, les opérations de vote n'ont pas été sans une certaine confusion une semaine après le passage meurtrier de l'ouragan Sandy.
Dans un pays traversé par six fuseaux horaires, les premiers bureaux de vote ont ouvert sur la côte est et dans une partie du Midwest. Les derniers des 120 millions d'Américains appelés à voter seront les électeurs de l'Alaska et d'Hawaï.
Barack Obama, qui a voté par anticipation au mois d'octobre, devait passer la journée dans sa ville de Chicago. Il a félicité son adversaire républicain pour sa "campagne pleine d'allant" et incité tous ses compatriotes à voter.
Mitt Romney a, lui, voté dans un foyer municipal près de son domicile, dans son fief électoral de Belmont, dans la banlieue de Boston, puis a repris son sprint final.
Celui-ci l'a notamment mené dans l'Etat crucial de l'Ohio, qu'il espère encore faire basculer et où il est crédité de quatre points de retard selon la dernière livraison du sondage quotidien Ipsos-Reuters (50% contre 46%).
"Les gens de l'Ohio savent que ce sont probablement eux qui vont décider quel sera le prochain président", a dit le candidat républicain à une station de radio locale.
L'avion du vice-président démocrate Joe Biden a atterri à l'aéroport de Cleveland quelques minutes seulement après celui de Romney, soulignant encore une fois l'importance que les deux camps accordent au vote de l'Ohio. Mitt Romney est resté à bord de son avion en attendant que le convoi du vice-président ait quitté les lieux.
A Chicago, après avoir accordé plusieurs interviews à des stations de radio, Barack Obama a joué au basket avec des amis et des membres de son équipe de campagne, comme il l'avait fait il y a quatre ans.
Depuis un mois, les enquêtes d'opinion ne parviennent pas à départager les deux hommes qui font jeu égal dans les intentions de vote au niveau national.
Donné facile vainqueur au mois de septembre face à un adversaire qui apparaissait peu en phase avec les préoccupations de ses concitoyens, Barack Obama a vu la tendance s'inverser, notamment après le premier débat télévisé, le 3 octobre, qui a tourné au cauchemar pour le chef de l'État.
Le président sortant paraît cependant avoir un petit avantage dans les "swing States", les "Etats bascules" où se jouera l'élection, ce qui pourrait lui permettre de franchir la barre des 270 votes au collège électoral, synonyme de victoire.
Reuters
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