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Situation sécuritaire du pays n’est pas ce que promettait la réconciliation…
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Plusieurs caches détruites et des terroristes auraient été abattus.
Poursuivant son opération de ratissage, l’ANP a fait intervenir les forces héliportées, au courant de ce week-end, qui ont ciblé des positions stratégiques d’un groupe terroriste affilié, selon des sources sécuritaires chargées de la lutte anti-subversive au Gspc, composé d’au moins 35 éléments.
Les abris visés sont situés sur le massif montagneux de la daïra d’El Milia faisant jonction avec les frontières administratives de la daïra de Collo, wilaya de Skikda. Selon des témoins oculaires de la région, les bombardements entamés au cours de la journée de jeudi, ont été entendus durant plusieurs heures. Les mêmes sources ont précisé que les autorités militaires de la wilaya de Skikda, chargées de la lutte antiterroriste, agissent en coordination avec ceux de la wilaya de Jijel, puisque, selon les renseignements des services de sécurité, il s’agit d’un groupe qui se déplace régulièrement entre les deux wilayas au niveau des frontières.
La région étant généreusement remplie de caches dont certaines datent de la guerre de Libération, fait l’objet, depuis un mois, d’une importante opération de traque.
Le groupe terroriste, qui n’était composé que d’une dizaine de renégats, a été signalé par des citoyens. Son nombre a triplé depuis l’opération menée avec succès sur les monts d’Annaba.
En effet, des survivants ayant échappé au bouclage, ont rejoint leurs acolytes récemment, pour que le nombre de terroristes qui activent sous la coupe du sinistre Abou El Abbès, émir de la région, soit rehaussé. Cependant, les militaires, très au fait de l’activité de ces derniers, dénoncés par la population, sont en mesure de limiter le déplacement des éléments d’Abou El Abbès, pris au piège. L’important périmètre qui s’étale sur plusieurs kilomètres, hermétiquement bouclé, a cloué les terroristes sur place. On croit savoir que plusieurs d’entre eux ont péri au cours de ces bombardements, mais pour l’heure, aucun bilan n’a été établi, sachant que plusieurs caches ont été détruites. Les mêmes sources ont précisé que l’endroit occupé par les terroristes serait rempli de bombes, pour empêcher les militaires de progresser, raison qui a conduit l’ANP à user des forces héliportées. A l’heure où nous mettons sous presse, les opérations de bombardement se poursuivent.
Par ailleurs, des sources concordantes ont confirmé que les mêmes forces et pour les mêmes objectifs, ont déployé les mêmes moyens pour une opération similaire sur le massif de Khenchela faisant jonction avec ceux de Tébessa où un groupe du Gspc a également été signalé par la population du sud de la wilaya.
L’opération de Khenchela, ont ajouté ces mêmes sources, s’est soldée par la neutralisation de plusieurs mines antipersonnel et la destructions de plusieurs caches qui servaient d’abris pour le groupe, dont des établissements scolaires, ayant été dévastés. Les militaires, assistés par des patriotes et des GLD, progressent vers les caches situées principalement à Boudaken, El Mita, El Djadida et Djabel El Abeidh. Les militaires, usant d’une stratégie de coordination de renseignement, tous corps confondus, ont dû dresser plusieurs embuscades. Il y a lieu de rappeler que les régions ciblées par le ratissage au niveau de ces massifs, ont été le théâtre d’un carnage où pas moins de 12 militaires ont trouvé la mort, suite à un guet-apens perpétré par le Gspc.
Depuis le mois d’avril dernier, on assiste à des tentatives subversives des terroristes, au niveau de plusieurs régions de l’Est, cependant sans impact. Plusieurs guet-apens ont été avortés au niveau des wilayas de Skikda et Jijel.
Les déplacements des irréductibles ne passent plus inaperçus, puisque dénoncés à chaque fois par la population. Des réseaux de soutien, dont le dernier remonte à quelques jours, ont été démantelés à Skikda grâce aux informations dévoilées par les citoyens.
Tentant de survivre aux raids des militaires, les irréductibles du Gspc, seule organisation qui active encore, errent dans les massifs dans l’espoir de trouver refuge.
- L'Expression
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Plusieurs caches détruites et des terroristes auraient été abattus.
Poursuivant son opération de ratissage, l’ANP a fait intervenir les forces héliportées, au courant de ce week-end, qui ont ciblé des positions stratégiques d’un groupe terroriste affilié, selon des sources sécuritaires chargées de la lutte anti-subversive au Gspc, composé d’au moins 35 éléments.
Les abris visés sont situés sur le massif montagneux de la daïra d’El Milia faisant jonction avec les frontières administratives de la daïra de Collo, wilaya de Skikda. Selon des témoins oculaires de la région, les bombardements entamés au cours de la journée de jeudi, ont été entendus durant plusieurs heures. Les mêmes sources ont précisé que les autorités militaires de la wilaya de Skikda, chargées de la lutte antiterroriste, agissent en coordination avec ceux de la wilaya de Jijel, puisque, selon les renseignements des services de sécurité, il s’agit d’un groupe qui se déplace régulièrement entre les deux wilayas au niveau des frontières.
La région étant généreusement remplie de caches dont certaines datent de la guerre de Libération, fait l’objet, depuis un mois, d’une importante opération de traque.
Le groupe terroriste, qui n’était composé que d’une dizaine de renégats, a été signalé par des citoyens. Son nombre a triplé depuis l’opération menée avec succès sur les monts d’Annaba.
En effet, des survivants ayant échappé au bouclage, ont rejoint leurs acolytes récemment, pour que le nombre de terroristes qui activent sous la coupe du sinistre Abou El Abbès, émir de la région, soit rehaussé. Cependant, les militaires, très au fait de l’activité de ces derniers, dénoncés par la population, sont en mesure de limiter le déplacement des éléments d’Abou El Abbès, pris au piège. L’important périmètre qui s’étale sur plusieurs kilomètres, hermétiquement bouclé, a cloué les terroristes sur place. On croit savoir que plusieurs d’entre eux ont péri au cours de ces bombardements, mais pour l’heure, aucun bilan n’a été établi, sachant que plusieurs caches ont été détruites. Les mêmes sources ont précisé que l’endroit occupé par les terroristes serait rempli de bombes, pour empêcher les militaires de progresser, raison qui a conduit l’ANP à user des forces héliportées. A l’heure où nous mettons sous presse, les opérations de bombardement se poursuivent.
Par ailleurs, des sources concordantes ont confirmé que les mêmes forces et pour les mêmes objectifs, ont déployé les mêmes moyens pour une opération similaire sur le massif de Khenchela faisant jonction avec ceux de Tébessa où un groupe du Gspc a également été signalé par la population du sud de la wilaya.
L’opération de Khenchela, ont ajouté ces mêmes sources, s’est soldée par la neutralisation de plusieurs mines antipersonnel et la destructions de plusieurs caches qui servaient d’abris pour le groupe, dont des établissements scolaires, ayant été dévastés. Les militaires, assistés par des patriotes et des GLD, progressent vers les caches situées principalement à Boudaken, El Mita, El Djadida et Djabel El Abeidh. Les militaires, usant d’une stratégie de coordination de renseignement, tous corps confondus, ont dû dresser plusieurs embuscades. Il y a lieu de rappeler que les régions ciblées par le ratissage au niveau de ces massifs, ont été le théâtre d’un carnage où pas moins de 12 militaires ont trouvé la mort, suite à un guet-apens perpétré par le Gspc.
Depuis le mois d’avril dernier, on assiste à des tentatives subversives des terroristes, au niveau de plusieurs régions de l’Est, cependant sans impact. Plusieurs guet-apens ont été avortés au niveau des wilayas de Skikda et Jijel.
Les déplacements des irréductibles ne passent plus inaperçus, puisque dénoncés à chaque fois par la population. Des réseaux de soutien, dont le dernier remonte à quelques jours, ont été démantelés à Skikda grâce aux informations dévoilées par les citoyens.
Tentant de survivre aux raids des militaires, les irréductibles du Gspc, seule organisation qui active encore, errent dans les massifs dans l’espoir de trouver refuge.
- L'Expression