Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Considérations géopolitiques sur l’Iran et les guerres à venir

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Considérations géopolitiques sur l’Iran et les guerres à venir

    Considérations géopolitiques sur l’Iran et les guerres à venir

    La récente réélection de Barack Obama comme président des Etats Unis a été accueillie avec enthousiasme dans la majeure partie du Monde, l’administration démocrate étant réputée (ce qui reste à démontrer) plus soucieuse des droits de l’homme et du respect des nations étrangères, elle serait ainsi moins dure, moins égoïste, elle est en fait certainement plus habile au niveau de la rhétorique mais pas moins brutale, cynique et intéressée que l’administration républicaine, de surcroit elle est de fait plus souvent interventionniste au nom justement de ces fameux « droits de l’homme ».
    Dans les bras de fer récents que mène l’Amérique contre différents pays étrangers, l’Iran occupe une place centrale depuis plusieurs décennies, cet état souverain assez inclassable sur le plan géopolitique, a même le triste privilège d’avoir, semble-t-il, hérité de la position d’ennemi principal des Etats Unis depuis la chute de l’URSS, cette position a priori assez peu enviable place a pour conséquence que ce pays fait l’objet d’une attention toute particulière des politiques et analystes internationaux, pourquoi l’Iran revêt il une importance aussi singulière à notre époque et d’où vient l’adversité envers cette nation, quelles en sont les conséquences directes ?


    1) l’Iran puissance moyenne et position géostratégique essentielle
    - Rappel historique lointain sur l’ancienne Perse, son caractère de très vieille « nation »
    Encore aujourd’hui les Perses (+70% de la population iranienne) se considèrent comme les héritiers directs des anciens Perses qui ont constitué le plus grand empire de la période antique (avant Rome), dans leur esprit il n’y a pas vraiment eu de césure historique et ils se vivent toujours comme Empire central, stable, souverain et d’une pérennité absolue, un peu à la manière de la Chine, empire du milieu, cette « certitude » historique, même si elle est assez enjolivée et en partie fantasmée, est le point d’ancrage de la vision du monde extérieur du citoyen Iranien lambda et de ses rapports avec les autres nations : « nous sommes maitres chez nous depuis toujours, un peuple libre, indépendant et fier »
    - Rappel plus récent sur la politique britannique puis américaine envers l’Iran
    Au XIX siècle, époque où les puissances européennes, du fait d’une supériorité militaire et technologique incontestable, ont entrepris de se partager la « domination du Monde », les Britanniques avaient à l’évidence un coup d’avance, régnant en maitre quasiment sur les 5 continents, ils devaient tout naturellement s’intéresser à l’Iran pour deux raisons ; 1) ce pays est situé sur la route des Indes, comme point de passage continental obligé - 2) il fallait absolument contenir les visées d’expansion de l’empire Russe, qui après la conquête du Caucase et de l’Asie centrale, rêvait de pouvoir accéder enfin « aux mers chaudes », golfe Persique et surtout océan Indien, d’où la présence renforcée des Anglais en Afghanistan (qui leur a couté fort cher) et leurs intrigues et pressions incessantes sur l’Iran d’alors avec une seule obsession « barrer la route aux Russes », cette position géostratégique de clef de voute du moyen Orient ne s’est pas démentie ensuite au XX siècle, on peut simplement énoncer qu’elle a évolué, les Américains ayant pris le relais des Anglais toujours en vue de « contrôler » l’Iran et ses formidables ressources, d’où l’éviction forcée en 1953 d’un Mossadegh devenu trop indépendant et remplacé par le Shah lui aussi évincé à son tour en 1979 pour les mêmes raisons, seul hic, le régime venu en remplacement s’est révélé encore plus incontrôlable que son prédécesseur, une erreur de casting en qq sorte ?
    - Superficie, démographie, ressources globales : un pays riche et influent
    Grand 3 fois comme la France, avec une population de près de 80 millions d’habitants, l’Iran s’impose comme une puissance moyenne et un acteur essentiel de la région du Moyen orient, cette nation soudée et à la vieille histoire, peuplée essentiellement de Perses qui ont en commun quasiment tous la même religion chiite, démontre une forte autonomie et conscience de soi en tant qu’Etat indépendant et souverain, mais il tire surtout sa richesse et sa puissance grâce à d’énormes ressources en hydrocarbures, d’après les estimations l’Iran disposerait des 2èmes ressources en gaz et des 3èmes ressources en pétrole de la planète, un atout économique majeur !
    - Position géographique : un pays incontournable, le détroit d’Ormuz
    Un simple coup d’œil sur une carte géographique permet aussitôt de réaliser que l’Iran tient une place tout à fait centrale dans ce que l’on dénomme communément le Moyen orient, au sud de l’immense espace Russe, à mi-chemin de la route des Indes mais surtout au bord du golfe Persique dont il contrôle aisément la partie la plus étroite ou « détroit d’Ormuz », lorsque l’on sait que près de la moitié des exportations mondiales d’hydrocarbures passe par ce détroit, car les super tankers pétroliers viennent y prélever non seulement le pétrole du Koweït et de l’Irak mais aussi de l’Arabie saoudite, du Qatar, des Emirats arabes et bien sûr de l’Iran, on mesure l’importance stratégique du contrôle de cette passe maritime, un blocage du détroit d’Ormuz amènerait un triplement des prix du brut à l’exportation et un krach économique de tous les pays dépendants !
    - Puissance idéologique, les vrais ennemis sont peut être ailleurs
    L’Iran est loin d’être le pays islamique le plus peuplé, il est par contre le plus peuplé des pays musulmans chiites, prés de 90% de sa population, à lui seul l’Iran concentre près de la moitié des Chiites du monde entier, il est comme le temple de l’Islam chiite et cet état de fait est essentiel pour saisir les tensions et lignes de fracture qui oppose l’Iran aux autres pays musulmans, il faut avoir toujours présent à l’esprit que le monde musulman ne constitue pas un ensemble unifié que l’on pourrait opposer comme un bloc au monde chrétien (également désuni), cette position de leader du monde chiite qui est nettement minoritaire vis-à-vis de l’Islam sunnite a pour conséquence de placer l’Iran dans une situation d’adversité par rapport aux autres pays musulmans se revendiquant de l’islam majoritaire, ce conflit latent chiite/sunnite se reflète d’ailleurs dans la société iranienne où les musulmans sunnites sont moins bien considérés que les Chrétiens ou les Zoroastres !

    2) la nature de « nation ennemie », l’Iran pays rebelle au Nouvel ordre mondial
    Qualifié de pays de l’axe du mal par G.W.Bush, l’Iran est sans cesse fustigé par la puissance américaine pour son caractère de menace qu’il représenterait pour le monde dit libre, quels sont les arguments avancés en vue de justifier cette vindicte permanente de la 1ère puissance mondiale ?
    On peut assez aisément observer que les raisons évoquées sont en fait de fausses raisons, en résumé :
    - programme nucléaire
    L’éternelle querelle du nucléaire civil qui amènerait irrémédiablement son corollaire, le nucléaire militaire, accusé de vouloir fabriquer la bombe atomique à partir de l’atome civil et donc de constituer une menace planétaire, l’argument est tout de même un peu faible ; 1) il y a un net saut qualitatif de technologie pour passer du nucléaire civil au militaire, pas une mince affaire - 2) vouloir interdire à tout prix à l’Iran de disposer de l’arme nucléaire relève du procès d’intention, quid alors du Pakistan tout proche, pays instable et constamment en conflit avec l’Inde ? Et que dire alors d’Israël qui possède la bombe atomique en violation de tous les règlements internationaux depuis des décennies ?
    - agression envers Israël
    L’état Hébreu, principal boutefeu dans ce conflit larvé envers la république islamiste, n’a de cesse de se poser en victime, voire en martyre par rapport à un agresseur potentiel qui aurait juré sa perte, c’est tout de même y aller un peu fort, comme le voleur qui crie au voleur, il convient de rappeler que depuis plus d’un demi siècle, Israël avec les Etats Unis sont les principaux auteurs des guerres déclenchées au Moyen orient tandis que l’Iran n’a jamais agressé de pays voisin depuis 3 siècles environ ! Aussi la citation reprise en boucle du président Ahmadinejad qui souhaiterait « rayer Israël de la carte » est totalement apocryphe, encore de la désinformation !
    - atteintes aux droits de l’homme

    Histoire d’en remettre une couche dans un large processus de propagande, la république islamiste est régulièrement accusée de toutes les exactions des pires régimes dictatoriaux, certes le régime est semi-démocratique (théocratique en fait) autoritaire et la peine de mort y est appliquée (comme aux Etats Unis) mais ce n’est pas une dictature religieuse, les minorités confessionnelles comme les Chrétiens ou les Juifs disposent de sièges réservés au Parlement et ne sont pas inquiétés par les autorités ou la population ce qui n’est pas le cas de pays voisins comme le Pakistan ou les monarchies pétrolières, régimes bien plus brutaux et répressifs mais qui curieusement ne font pas l’objet des mêmes campagnes de dénigrement, y aurait il qq parti pris dans ces accusations ?

  • #2
    A l’évidence ces motifs invoqués et repris ensuite par les médias du monde dit « libre » ne constituent pas les réels ressorts de l’acharnement du bloc atlantico-sioniste envers l’Iran, les vraies raisons, beaucoup moins avouables de cette hostilité constante seraient plutôt celles-ci :
    - la non soumission au N.O.M.
    Le N.O.M. ou Nouvel ordre mondial est l’idéologie mondialiste qui entend amener la planète entière sous la férule d’un seul gouvernement qui serait selon les interprétations, sous domination sioniste avec pour capitale Jérusalem ou sous domination anglo-américaine avec qq marges d’autonomie pour d’autres puissances reconnues sous réserve que celles-ci consentent à l’instauration du Nouvel ordre mondial ; ce projet délirant, transposition moderne de la Tour de Babel, rencontre des résistances plus ou moins ouvertement affichées en particulier au sein des pays musulmans, entre lesquels il convient d’opérer un subtil distinguo selon qu’ils font seulement semblant de s’y opposer dans les discours de leurs dirigeants comme les monarchies pétrolières, l’Egypte, la Turquie ou qu’ils s’y opposent réellement et ouvertement comme la république islamique d’Iran ou les états laïcs nationaux tels l’Irak (détruit) la Libye (éliminée) ou la Syrie (encore résistante), l’attitude de l’Iran en cette matière constitue réellement un « casus belli » majeur !
    - le soutien à des pays également rebelles
    Comme déjà exprimé, l’Iran ne s’est plus engagé ouvertement depuis des temps immémoriaux dans des conflits avec des puissances étrangères, ce qui ne le dispense pas de prodiguer son aide à des états ou des communautés pour des raisons géopolitiques ou confessionnelles, on a ainsi pu observer l’Iran venir en aide de façon discrète à l’Irak lors des 2 guerres du Golfe, de même à l’Afghanistan puis plus récemment à la Syrie pour des raisons géopolitiques évidentes car il s’agissait d’éviter que son environnement proche ne tombe sous la coupe de puissances étrangères menaçantes, un autre type de soutien est celui qui est accordé aux mouvements chiites dans le monde arabe, l’exemple le plus fameux étant le Hezbollah libanais, largement soutenu par l’Iran et qui joue un rôle essentiel dans la résistance régionale à Israël, autre aide plus discrète mais pas moins responsable de l’hostilité ouverte des monarchies pétrolières envers la république islamique, le soutien de fait aux très fortes minorités chiites qui peuplent les pays arabes des bords du Golfe persique ..
    - les réserves stratégiques d’hydrocarbures
    Le pétrole est de nos jours un enjeu majeur pour toutes les économies de la planète, à ce titre les richesses du sous sol iranien provoque la convoitise des principales puissances, lesquelles n’hésitent parfois pas à s’en emparer de gré ou de force, les monarchies pétrolières étant sous contrôle de l’empire US (elles acceptent sans barguigner le Dollar comme monnaie d’échange), 2 producteurs essentiels du Moyen orient commençaient à regimber, l’Irak (son sort fut réglé en 2 guerres) et la Libye (récemment éliminée) ; reste l’Iran, le 3ème détenteur mondial des réserves d’Or noir pose donc problème à la puissance américaine qui entend normalement par le contrôle des hydrocarbures de la planète, régenter le contrôle des économies en développement au 1er rang desquelles la Chine qui ne peut se développer sans d’énormes quantités de pétrole, la mainmise de fait sur tout le pétrole du Moyen orient constituerait un avantage stratégique décisif pour l’empire US qui prévoit de facto « d’asphyxier » l’économie chinoise concurrentielle naissante !

    3) les éventuelles guerres à venir risquant d’impliquer l’Iran
    La récente réélection (redite) d’Obama à la Maison blanche par rapport au discours ultra-sioniste et va-t-en guerre d’un Romney laisserait espérer un peu de répit pour cette partie du monde, un peu seulement car les faits sont têtus et certaines réalités, écartées juste un moment, reviennent à la vitesse d’un boomerang, en raison des faits déjà énoncés l’Iran est à classer de toutes façons dans la catégorie des adversaires du bloc atlantico-sioniste qui domine actuellement militairement la planète ; cela dit les problèmes cruciaux rencontrés par cet attelage improbable formé entre l’état sioniste et la puissance américaine sont assez différents mais peuvent malheureusement conduire à des actions communes, actions violentes et destructrices !
    En gros Israël est dans une logique de « fuite en avant » la guerre est comme consubstantielle à l’état Hébreu qui pour garantir sa survie doit procéder à son expansion géographique par des guerres de conquête régulières, la guerre ou rien, la guerre sinon je meurs, comme un cycliste ne peut faire du surplace sans tomber, Israël ne peut rester en paix sans dépérir, donc en résumé pour Israël c’est « en avant toute », même s’il faut s’en prendre à un « gros morceau » comme l’Iran avec tout de même une réserve, qui est d’avoir l’assurance de la participation de l’Oncle Sam, question de masse critique, militairement parlant ..
    Vu du côté US, les mobiles d’intervention contre l’Iran ne sont pas exactement les mêmes, tant s’en faut, l’intérêt de la puissance américaine dans la région est surtout de contrôler les hydrocarbures, à part cela elle risque gros pour pas forcément grand-chose à s’attaquer à la nation Perse, l’Iran n’est pas l’Irak et encore moins l’Afghanistan, voici donc le type de problématique sur lequel doivent plancher jour et nuit les stratèges du Pentagone, sachant que ces gens là n’ont aucun scrupule et sont d’un cynisme absolu, quels sont les différents scénarios à redouter ?
    - la guerre économique et idéologique :
    On est déjà en plein dedans, c’est une sorte de guerre froide qui vise à isoler (stratégie de containment) l’adversaire par un blocus économique et une propagande idéologique comme cela fut appliqué vis-à-vis de l’URSS et de ses satellites durant les 40 années ayant suivi la 2ème guerre mondiale, stratégie qui s’est révélée payante pour avoir fini par provoquer l’effondrement intérieur de la puissance adverse presque sans coup férir, sans conflit armé en tout cas, les Etats Unis appliquent actuellement cette stratégie contre l’Iran, obligeant ses vassaux (comme la France) à abandonner toute coopération industrielle avec ce pays (ex : Peugeot PSA), de même au niveau idéologique en bloquant l’émission par satellite des chaines Iraniennes, il y a une volonté globale de l’empire US de nuire par tout moyen (encore non guerrier) à la république islamique, face à cela l’Iran devrait réorienter ses approvisionnements avec les pays non hostiles (Russie, Inde, Chine, etc...) pour au moins survivre « en attendant », le vainqueur d’une guerre d’usure étant celui qui parvient à tenir juste un jour de plus que son adversaire !
    - la guerre « tout court » :
    On vient de le voir, Israël, avec le Likoud à sa tète, est de toutes façons « pour » mais a besoin de la participation active de son allié américain, quels pourraient être les motifs de remise en question de la position (encore prudente) d’adversité modérée des Etats Unis envers l’Iran en échange d’une attitude offensive ouverte ?
    La réponse pourrait être « c’est que des fois, une bonne guerre », car la guerre n’est pas atroce pour tout le monde, certains en profitent et elle fait l’objet de nombreux calculs géopolitiques, quand on examine lucidement la situation économique des USA, celle-ci est absolument intenable du fait de sa dette abyssale et si elle ne s’est pas encore complètement écroulée c’est grâce à la suprématie du Dollar, imposé de fait comme devise mondiale et valeur de réserve que tous les partenaires commerciaux se doivent d’accepter, de gré ou de force, le moindre changement à ce paradigme signifierait l’écroulement complet du système financier mondial et la mort subite du géant américain, chose qu’il ne peut bien évidement pas accepter, un « bon » moyen de remettre en marche la machine économique est de faire fonctionner à fond l’industrie de guerre sans compter que le chaos global engendré par un conflit planétaire permet le plus souvent une remise à zéro des décomptes de dettes entre nations (reset aux compteurs), d’une pierre 2 coups, quand on vous le dit « une bonne guerre » avouez que c’est tentant ?
    Avant de débuter une guerre, il faut normalement s’assurer de la gagner, donc s’en prendre de préférence à un adversaire nettement moins puissant que vous, il est donc hors de question pour les Etats Unis d’attaquer directement la Chine par exemple, par contre quelque guerre périphérique avec un ennemi pas trop redoutable serait une bonne diversion, si en plus cet ennemi est facile à « diaboliser » et que sa prise présente des avantages substantiels en terme de ressources, on tient là une proie de choix, voyons l’Iran par exemple, ne serait-il pas l’ennemi idéal dans le cadre d’un conflit limité ?
    Les 2 derniers mots sont essentiels, à condition que le conflit soit limité, les tribulations actuellement en cours au niveau de la Syrie, en particulier les résistances constantes de la diplomatie russe font craindre le pire aux stratèges du Pentagone en cas d’attaque contre l’Iran, et si la Russie intervenait ? On aurait alors enfin droit à la « der des der », atomisés, vitrifiés, c’est que c’est ennuyeux si l’on doit aussi y passer, certainement ils doivent se dire « vu comme cela ce n’est pas le bon plan, il va falloir finasser », à n’en pas douter les 2 prochaines années vont être décisives, on va assister à un lancement régulier de « ballon d’essai » de l’administration américaine visant à tester la capacité d’adversité de l’ours Russe dans cette partie du Monde avec, c’est à craindre, la République Islamique comme enjeu majeur de cette nouvelle logique d’affrontement bloc contre bloc !

    L’Iran, pays du milieu, une des plus vieilles civilisations antiques, ne peut être détruit sans entrainer dans sa chute la destruction d’un grand nombre de nations, son implication à notre époque comme pièce maitresse dans un conflit généralisé est une indication de plus que nous sommes bien à la veille d’une « fin des temps »

    Hieronymus, novembre 2012 AGORAVOX

    Commentaire


    • #3
      obama ou pas obama,de toute façons c'est israél qui contrôle le congrés américain,qui précedera la démolition contrôler de l'économie americaine non dûe au hasard,je pense que pour la russie et la chine,une attaque contre l'iran sera concidérer comme une étape franchi surtout si c'est des attaques nucleaire qui peu conduire inévitablement ver une guerre mondiale,que dieu nous en preserve

      Commentaire


      • #4
        Salut andromed,

        L'article fait un tour simple, clair et didactique de la "question iranienne".
        "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

        Commentaire

        Chargement...
        X