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Algérie : l’ancien chef de gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, accusé de corruption

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  • Algérie : l’ancien chef de gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, accusé de corruption

    Algérie : l’ancien chef de gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, accusé de corruption
    Par Abdou Semmar | novembre 11, 2012


    L’ancien chef de gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, est au coeur d’une terrible affaire de corruption. Dimanche, le quotidien Algérie News a révélé que le leader du FLN a touché des pots-de-vins pour intervenir et »changer » les résultats de l’avis d’appel d’offres pour la réalisation du tramway de Constantine.

    Ce projet a été accordé à une société italienne à la suite de l’intervention d’Abdelaziz Belkhadem. Pour ce faire, il a donné une instruction à la société « Métro d’Alger » pour qu’elle engage les négociations avec cette entreprise étrangère alors qu’un autre groupement européen a été choisi auparavant pour décrocher ce projet.

    Mais Belkhadem a trouvé une astuce pour favoriser l’entreprise italienne. » Il a invoqué une erreur de calcul du montant proposé par les Italiens » qui était fixé auparavant à 41 milliards de Da. « Le montant fut rectifié à 34,5 milliards, juste ce qu’il faut pour détrôner le vainqueur », a expliqué à ce sujet Algérie News selon lequel Abdelaziz Belkhadem a trahi la confiance du Président Abdelaziz Bouteflika.

  • #2
    Corruptions/révélations : Ghoulgate et Belkhadem connection par Kamel Daoud

    De quoi faire rire le rusé vendeur de moutons qui habite dans la tête de chaque algérien : la semaine où le ministère de l’Intérieur interdit d’activité et de création une simple association de lutte contre la corruption, un journal algérien « Algérie news », publie deux lourds dossiers « prouvés », avec documents et sources, sur les pots-de-vins présumés reçus, selon ce journal, par Amar Ghoul le ministre de l’autoroute, patron d’un nouveau parti politique titularisé à la naissance, mais pas seulement lui.

    Les révélations sont impressionnantes, détaillées, précieuses autant pour le cas de l’autoroute que pour les autres grands projets dit Présidentiels. On y voit la main d’un cercle de professionnels et une industrie d’intermédiaires. Tout y est : noms, prénoms, montants, sommes, sociétés-écran. De quoi prouver l’évidence : l’Algérie est une vraie vache à lait dont les pis juteux sont situés en haut et les cornes en bas sur la tête de chacun. Bien sur, enfant des complots, nous y avons tous posé la question : pourquoi maintenant ?

    Réponse : ce n’est pas mon problème. L’essentiel est sous les yeux, pas derrière le dos : les révélations d’Algérie news sont graves, lourdes et doivent être traitées par la Justice. Que certains disgraciés, envieux, calculateurs ou candidats aux prochaines présidentielles cherchent la peau de Amar Ghoul, Soltani ou Belkhadem, n’est pas notre affaire. On « achète » le premier qui est vendu par les siens, nous le peuple.

    Pour le cas de Ghoul, on le sait trop « hand made » depuis quelques temps : il a un parti-SMS sur simple commande, l’ENTV parle de lui comme d’un ami, il glisse entre les gouttes de la pluie, gère trop d’argent et semble être un pur produit d’officines pour ne pas s’attirer les soupçons. L’affaire est grave cependant. Pour le moment il est présumé coupable. A la justice de se saisir. Sinon, on aura compris. Toujours. Et surtout pourquoi une simple association de lutte contre la corruption, a moins de chance d’être agrée que le parti Tadj de Amar Ghoul.

    Pour le second dossier d’Algérie news, publié ce dimanche, c’est un autre baron de l’Algérie qui est cité : Belkhadem. Fabrication de Boumedienne, devenu Père forcé de la nation. Dans le second tome des « révélations », on apprend qu’il a intervenu, selon ces sources, pour « corriger » un appel d’offre pour un marché de plusieurs milliards. Les colonnes de ce journal démontrent qu’il existe une véritable industrie d’intermédiaires, d’entremetteurs et de corrupteurs nationaux qui ont enrichie un cercle du Pouvoir sous le nez de la Présidence et ses discours, dit-on. Les pourcentages de « la relance » s’y révèlent faramineux. Pendant que l’on parle de pomme de terre à 70 le kilo, certains parlaient de centaines de millions d’euros par contrat ou chantier. On y apprend que l’information se vend, les dossiers des ministères, les plans des projets, les ministres eux-mêmes, les directeurs….etc . Tragique et époustouflant comme révélations.

    Et après ? Maintenant qu’on a les noms, les traces, les prénoms, les commissions, les pourcentages et les journaux qui en parlent ? Il manque le peuple, alias la société civile, l’Etat de droit. L’Algérie newsgate n’a pas eu de suite. A peine si Amar Ghoul a daigné répondre par des généralités sur une chaîne TV « Privée », Ennahar TV. La justice ne s’est pas auto saisie Le peuple ne s’est pas soulevé. Les têtes ne sont pas tombées. L’Algérie est une chose riche et morte. Confirmant presque ce fatalisme ancien : il ne sert à rien de dire et de dénoncer.

    Vrai ? Non. Il faut s’acquitter : des « révélations » ont été faites. C’est le propre des médias que de « dire ». Maintenant, le silence qui suit n’est que signe de la complicité. Active au sein des appareils du régime. Passive dans les têtes de ceux qui geignent sur le « sort du pays ».

    Dénoncer la corruption ne sert à rien donc ? Non. Cela sert au moins à dénoncer le silence et de juger du désastre, à défaut de juger des personnes. Pour le moment. Car « ils » payeront, comme ils ont été « payés ».



    Kamel Daoud

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    • #3
      Algérie : Des enquêtes sur la corruption impliquent des hauts dignitaires du régime

      11/11/2012 -

      ALGER(SIWEL) — Le quotidien ************ a publié une nouvelle enquête sur les affaires de corruption en Algérie. Pots-de-vin, influence, violation de loi du pays, sont des agissements institutionnaliser en Algérie. Ces affaires impliquent les proches du président Bouteflika. Même si, toutes les révélations tentent d'épargner Bouteflika, il est le premier, avec sa famille, à avoir bénéficié de cet état de fait. Cherif Rahmani, ministre depuis plusieurs années, Abdelaziz Belkhadem, Amar Ghoul, tous ministre et proches du Bouteflika sont cités dans de salles affaires de corruption, mais la Justice algérienne reste sourde.

      Bouteflika et Belkhadem, un mariage incestueux entre corruption et intrigues
      Bouteflika et Belkhadem, un mariage incestueux entre corruption et intrigues
      Fin 2006. dans le cadre des projets du tramway d’Oran et de Constantine, l’intermédiaire Adou Sid Ahmed, propriétaire d’une entreprise de pêche, offre ses services à Marc Chania, Directeur général de l’entreprise française Alstom. Un autre intermédiaire est entré en lice, un certain Allab El Khir, homme d’affaires. Un deal est passé. Il devait recevoir 15% de commission si Alstom parvenait à décrocher les deux projets. Ce fut le cas, mais la commission n’a jamais été payée, selon nos documents, puisque le deuxième intermédiaire voulait ni plus ni moins être associé au projet.

      Les Italiens étaient très au fait des projets au niveau du ministère des Transports. Un atout considérable si l’on veut décrocher des contrats juteux. Adou Sid Ahmed a fait connaissance en 2007, grâce à son avocat Remy Myore, d’un des dirigeants de l’entreprise italienne Astaldi. Au même moment, Adou a connu aussi l’ex-directeur de la planification au ministère des Transports, Salim Hamdane Rachid par l’intermédiaire de son épouse, Widad Ghreib, fille de Abdelkrim Ghréib, ancien ambassadeur de l’Algérie au Mali.

      Elle révèle à Adou que son mari pourrait l’aider à récupérer des informations « utiles » concernant les projets importants. Une rencontre est organisée à Alger, précisément au Telemly. Lors de cette «entrevue», le cadre du ministère dévoile tous les détails des projets du tramway, des voies ferrées et ceux liés à la navigation maritime avec la société Elna, ainsi que les projets « LGV 1,2 et 3 ». Les secrets des projets furent transmis à Paris par Adou Sid Ahmed. Il rencontre Angio Lonni, un directeur au niveau d’Astaldi. Un accord est conclu. Adou percevra une commission de 0,5% du montant du contrat estimé à l’époque à deux milliards de dollars. Le Président avait annulé le projet après sa visite en Chine.

      Le groupement Alstom, composé de deux filiales, l’une italienne Pizaroti et l’autre espagnole Esolux, a pu récupérer des informations celui du gendre du diplomate, concernant le tramway de Constantine et d’Oran. Le groupement a décroché les deux contrats et l’informateur Hamdane Salim a reçu une commission de 275 mille euros. Même scénario avec la société suisse Garavanta. L’informateur a fourni les détails des projets de téléphériques de Constantine, de Skikda et de Tlemcen par fax. Le montant des projets est estimé à 36 millions d’euros. Après négociations avec Hamdane et Adou, la commission fut fixée à 1%. Celle-ci devait passer à 3% pour d’autres contrats à venir. La commission de l’ex-directeur de la planification fut transférée dans deux comptes bancaires BNP Paribas en Suisse au nom de Fella et Radia Ghrieb.

      Les 40 mille euros furent versés en deux tranches. Hamdane a reçu en espèce 30 mille euros chez lui. La même société suisse avait versé des commissions pour décrocher un autre projet, celui du téléphérique d’Oued Koriche. Le contrat évalué à 12 millions d’euros a valu à nos intermédiaires une commission de 240 mille euros et une avance symbolique en espèces de cent millions de centimes. L’ex-directeur a eu droit à des vacances payées d’avances et des cadeaux divers pour lui et son épouse, des caisses de vins, une montre et du chocolat suisse.

      Une autre société française compte bien tirer son épingle du jeu en Algérie. Il s’agit de la SNCFi. Elle voulait, par tous les moyens, décrocher le contrat de gestion ferroviaire à Alger. Son directeur, a dénommé Petrovsky, a sollicité les services d’Adou Sid Ahmed, d’un homme d’affaires dénommé Aït Kaci Boudjemaâ, un proche de l’ex P-dg de la SNTF, Mourad Benamar. SNCFi décroche le contrat de gestion. Chacune de ces personnes recevra trois mille euros par mois durant six ans, la durée du contrat de gestion ! Keolis, une autre entreprise française avait convenu d’un accord pour la gestion du tramway d’Alger avec Zendaoui Tayeb, ex P-dg du Métro Alger, toujours grâce à l’intermédiation de Adou et pour une rémunération de 1500 euros par mois durant onze ans. La durée du contrat obtenu par Keolis.

      Les Portugais, eux aussi, n’ont pas voulu laisser les Français seuls sur le coup. Adou a joué un grand rôle pour que TPF Planege puisse décrocher le contrat de l’étude du tramway Setif et Annaba, avec l’aide de l’ex P-dg de la SNTF. Les Portugais avaient proposé une commission de 8%. Malheureusement, le projet fut décroché par une société coréenne. Retour au projet du tramway de Constantine, dont la valeur est estimée à 34 milliards de dinars. Selon les documents dont nous disposons, le ministère des Transports a choisi en 2007 le groupement italien par décision politique. Les deux soumissionnaires pour le projet n’étaient autre qu’un groupement composé du français Alstom et de l’italien Pazerotti et de l’entreprise italienne Imprrglio. A l’issue de l’ouverture des plis, le groupement Alstom- Pazerotti a décroché le projet avec une offre financière de 35 milliards de dinars. La société italienne a proposé 41 milliards de dinars.

      Abdelaziz Belkhadem, Chef du gouvernement à l’époque des faits, est intervenu pour «changer » les résultats de l’avis d’appel d’offres à travers un tour de passe-passe incroyable. Il a ordonné que le projet soit attribué à l’entreprise italienne.
      Instruction a été donnée à la société Métro d’Alger d’engager les négociations. Pour justifier ce revirement, on invoque alors une erreur de calcul du montant proposé par les Italiens. Le montant fut rectifié à 34,5 milliards, juste ce qu’il faut pour détrôner le vainqueur. Pour le projet du tramway d’Oran, d’une valeur de 38 milliards de dinars, c’est l’entreprise espagnole Alstom Isolux Corsan qui a gagné le contrat par décision politique.

      Le document dont nous disposons ne cite pas la personne ou l’autorité qui a ordonné l’octroi. Adou n’est jamais trop loin des « bonnes occasions ». Sur ce projet, il a délivré à Alstom une liste d’entreprises susceptibles d’être de « sérieux concurrents ». Une commission de 1% serait alors versée pour service rendu. Le gendre de Abdelkrim Ghreib, de par son intervention, a reçu 12 millions de dinars et une cravate ! Tous les documents et informations dont nous disposons indiquent clairement que ces entreprises européennes ont eu recours à la corruption d’une manière systématique pour décrocher des contrats liés le plus souvent aux projets du président de la République. Au même moment, les gouvernements et autres ONG européennes classaient l’Algérie comme l’un des pays les plus corrompus au monde.

      Les documents indiquent que les italiens d’INCO, une filiale d’ANAS, avaient sollicité les services d’Adou Sid Ahmed ainsi que Belkacem Ferrachi, ex directeur de cabinet de Amar Ghoul pour s’approprier le contrat de contrôle et suivi de la tranche Est de l’Autoroute Est-Ouest pour un montant de 38 millions d’euros. Un différend entre « protagonistes » a fait que le montant de la commission a été réduit à 300 mille euros. Nos documents confirment que la rencontre entre Adou et le chef de cabinet a été possible grâce une recommandation personnelle du ministre. Après les travaux publics et le transport, nos informations confirment que la corruption a aussi trouvé son chemin dans le secteur de l’hydraulique.

      La réalisation du projet du barrage de Tabout en 2009 a été possible grâce à l’intermédiation de Adou pour le compte de l’entreprise française Razel. L’intermédiaire entre Adou et le directeur du groupe Patrick Tenard n’est autre qu’un inspecteur de l’Education d’origine algérienne, dénommé Dahmane Abderrahmane. Razel a décroché le contrat pour 160 millions d’euros. Adou a touché une commission de 1%, et Abderrahmane a eu un appartement à la Cité Malki de Ben Aknoun. Les Italiens aussi étaient sur de très bonnes opportunités dans le domaine. CMC a décroché un contrat de l’Algérienne des eaux pour un montant de 31 millions d’euros. Son directeur, Roberto Leonardi, a eu recours aux prestations de Adou, de Abdelkrim Mechia, directeur de l’Algérienne des eaux et de Allab El Khiar. Les trois hommes se sont partagé une commission de 3%. Les nouvelles connaissances de Adou, dans le domaine de l’hydraulique lui ont permis d’avoir des informations capitales sur le projet de transfert des Hauts Plateaux. La complicité de l’ex-directeur général de l’Agence nationale de gestion des barrages lui a permis de proposer ses services au groupe français Vinci contre 3% de commission.

      Le projet n’a jamais vu le jour. Concernant le projet du barrage Kaf Eddir à Tipasa, Adou a facilité, en janvier 2009, au groupe italien Pizarotti l’obtention du contrat estimé à 101 millions d’euros contre une commission de 350 mille euros. Une aide a été précieuse à Adou sur ce coup. L’ex directeur général par intérim de l’Agence nationale des barrages a été d’une aide inestimable contre 40 mille euros. Les documents dont nous disposons affirment que Adou Sid Ahmed a reçu des commissions dans presque tous les projets d’envergure réalisés ces dix dernières années en Algérie par des entreprises étrangères. Une activité qui lui a permis de connaître un nombre important de personnalités, de hauts cadres dans différents secteurs, parmi lesquelles Cherif Rahmani. Ce dernier aurait accordé plusieurs avantages à Dahmane Abderrahmane, comme des lots de terrains.

      aai/algerienews
      SIWEL 111431 NOV12

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      • #4
        bachi : la guerre de sucession a bien commencé des dossier pour 2 futur prétendants aux présidentielle GHOUL et Belkhadem?

        Pas encore de dossier sur Ouyahia églement présidentiable?


        Toufik derrière ces manoeuvres?

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        • #5
          C'est qui toufik ?

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          • #6
            Siwel la blague du siècle. Il ne faut pas prendre n'importe quelle source.

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            • #7
              cela signifie un gros boulet pour boutef
              pas de 4eme mandat comme il l envisage
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                Évidemment que la guerre de succession a commencé.

                ACTE 1 :
                Ghoul et Belkhadem "Out" ! Leurs dossiers sont CLOS !

                ACTE 2 : Ouyahia ??

                Non ! Non et Non !

                Tout le monde.. sauf lui !

                Surtout pas touche à son pote ! ! !

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                • #9
                  ouyahia est un elliot ness
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    la guerre de sucession a bien commencé
                    C'est exactement le cas. Belkhadem étant le favori de Boutef et Ouyahia le favori de Toufik.
                    Pas encore de dossier sur Ouyahia églement présidentiable?
                    Il est plus difficile d'atteindre Ouyahia car la presse influente en Algérie est de son côté.

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                    • #11
                      Si je vous comprends bien, ce n'est que machinations politiciennes.
                      Et les faits, peut-on en discuter?

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                      • #12
                        bachi : les faits sont grave mais si Ouyahia traîne des dossier des corruption on attend des révélations de la presse!

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                        • #13
                          zen.man ! Pt-être que sellal va faire le consensus des différents clans car fo pas oublier sellal n'est pas détesté des algeriens comme ouyahia et belkhadem

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                          • #14
                            Si je vous comprends bien, ce n'est que machinations politiciennes.
                            Et les faits, peut-on en discuter?
                            C'est encore plus terrible de sentir ce manque de volonté réelle de mettre un terme à la corruption. Tout est question de coup et de contre coup. Voila pourquoi personnellement, je n'ai même pas commenté les affaires elles-même.

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                            • #15
                              zen.man : C'est dèjâ bien que les affaires sont révellés au moins on sait qui fait quoi c'est bon signe on va voir si ould kablia osera mettre ces journalistes en prison!

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