L'arithmétique guerrière d'israel n'a pas changé, et elle n'est pas prête de changer.
Le calcul 1 pour dix s'étend maintenant aux constructions civiles.
Le visage de Beyrouth, ce matin : bâtiments en ruines, fumées noires
Pour chaque tir de roquette du Hezbollah, l'armée israélienne a menacé de détruire dix immeubles de la banlieue sud, bastion du mouvement chiite. Dimanche, Tsahal a pris pour cibles des quartiers relativement épargné jusque-là. Les bombardements n'ont pas cessé ni avant ni après la visite de Jan Egeland, secrétaire général adjoint de l'ONU pour les affaires humanitaires. Jan Egeland a parcouru les quartiers détruits. Pour lui, côté israélien ou Hezbollah, il y a "violation du droit humanitaire. Les civils devraient être protégés et non constituer des cibles." Depuis le 12 juillet, l'offensive israélienne a fait 362 morts, la plupart des civile, et plus de cinquante blessés côté libanais. Par ailleurs, un demi-million de Libanais ont été déplacés.
Le calcul 1 pour dix s'étend maintenant aux constructions civiles.
Le visage de Beyrouth, ce matin : bâtiments en ruines, fumées noires
Pour chaque tir de roquette du Hezbollah, l'armée israélienne a menacé de détruire dix immeubles de la banlieue sud, bastion du mouvement chiite. Dimanche, Tsahal a pris pour cibles des quartiers relativement épargné jusque-là. Les bombardements n'ont pas cessé ni avant ni après la visite de Jan Egeland, secrétaire général adjoint de l'ONU pour les affaires humanitaires. Jan Egeland a parcouru les quartiers détruits. Pour lui, côté israélien ou Hezbollah, il y a "violation du droit humanitaire. Les civils devraient être protégés et non constituer des cibles." Depuis le 12 juillet, l'offensive israélienne a fait 362 morts, la plupart des civile, et plus de cinquante blessés côté libanais. Par ailleurs, un demi-million de Libanais ont été déplacés.
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