La Syrie par son ministre de l'information a affirmé son éventuelle entrée dans le conflit...Dan le cas ou Israël essaye d'envahir le Liban par voie terrestre....
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Le ministre israélien de la Défense, Amir Peretz, a affirmé que l’offensive au Liban allait se poursuivre. «Nous continuons l’opération et l’objectif est de créer une situation dans laquelle nous aurons un espace aussi important que possible pour la diplomatie», a-t-il déclaré après un entretien avec le ministre allemand des Affaires étrangères.
De son côté, le ministre syrien de l’Information, Moshen Bilal, a mis en garde Israël contre toute opération d’envergure, affirmant que «la Syrie entrera dans le conflit si Israël envahit le Liban par voie terrestre», dans un entretien avec le quotidien espagnol ABC paru hier.
«Si Israël entre au Liban par voie terrestre, ils (les Israéliens) peuvent arriver jusqu’à vingt kilomètres de Damas. Sans aucun doute, la Syrie interviendra dans le conflit», déclare le ministre syrien cité par ABC. M. Bilal souligne que la Syrie est avant tout favorable à un cessez-le-feu «au plus tôt», assorti d’un échange de prisonniers, et indique travailler en ce sens avec le ministre espagnol des Affaires étrangères Moratinos.
Le Hezbollah a accepté que le gouvernement libanais négocie un échange de prisonniers avec Israël, a annoncé à la presse le président du Parlement libanais, Nabih Berri. Le Premier ministre malaisien, Abdullah Ahmad Badawi, dont le pays assure la présidence de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), a appelé à un cessez-le-feu au Liban et à la libération par le Hezbollah des soldats israéliens enlevés.
«Sans elle, les Nations unies ne pourront rien faire et la situation au Liban et au Proche-Orient va se détériorer», a déclaré le chef du gouvernement. «Sans un cessez-le-feu, le Hezbollah ne libérera pas les deux soldats», a-t-il averti.
Le Premier ministre a appelé Washington à intervenir. De son côté, l’armée israélienne effectue une série d’incursions terrestres au Liban, son opération visant à repousser les miliciens du Hezbollah à 20 km au nord de la frontière israélienne, selon le ministre israélien de la Justice.
La crainte d’une opération de grande envergure a provoqué un vaste exode de plus d’un demi-million de Libanais du sud vers des régions plus sûres.. Les Etats-Unis et Israël isolés dans leur dessein Pour l’ambassadeur d’Israël à Washington, Dany Ayalon, «la défaite du Hezbollah sert de façon évidente les intérêts des Américains».
«Les Américains ont compris qu’il s’agit d’une occasion spéciale qui va permettre de modifier la situation politique et stratégique au Liban et au Moyen-Orient dans son ensemble», a-t-il ajouté. Le président Bush a également établi un lien entre cette agression israélienne et la confrontation engagée contre la Syrie et l’Iran qu’il accuse de soutenir le Hezbollah, tout en dénonçant l’Iran pour «ses ambitions (...) nucléaires et son aide à des groupes terroristes».
Il a affirmé que Rice devrait faire «clairement comprendre qu’une solution de la crise exige d’affronter le groupe (de résistance) et les pays qui le soutiennent». Les Etats-Unis chercheraient à provoquer une fracture entre la Syrie et l’Iran, a affirmé hier le New York Times, citant des responsables gouvernementaux.
Mme Rice a refusé, vendredi, d’appeler à un cessez-le-feu au Liban. L’actuel conflit au Proche-Orient constitue «un sommet d’absurdités», a affirmé le ministre grec des Affaires étrangères, appelant une nouvelle fois à un «cessez-le-feu immédiat».
- Le jeune independant
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Le ministre israélien de la Défense, Amir Peretz, a affirmé que l’offensive au Liban allait se poursuivre. «Nous continuons l’opération et l’objectif est de créer une situation dans laquelle nous aurons un espace aussi important que possible pour la diplomatie», a-t-il déclaré après un entretien avec le ministre allemand des Affaires étrangères.
De son côté, le ministre syrien de l’Information, Moshen Bilal, a mis en garde Israël contre toute opération d’envergure, affirmant que «la Syrie entrera dans le conflit si Israël envahit le Liban par voie terrestre», dans un entretien avec le quotidien espagnol ABC paru hier.
«Si Israël entre au Liban par voie terrestre, ils (les Israéliens) peuvent arriver jusqu’à vingt kilomètres de Damas. Sans aucun doute, la Syrie interviendra dans le conflit», déclare le ministre syrien cité par ABC. M. Bilal souligne que la Syrie est avant tout favorable à un cessez-le-feu «au plus tôt», assorti d’un échange de prisonniers, et indique travailler en ce sens avec le ministre espagnol des Affaires étrangères Moratinos.
Le Hezbollah a accepté que le gouvernement libanais négocie un échange de prisonniers avec Israël, a annoncé à la presse le président du Parlement libanais, Nabih Berri. Le Premier ministre malaisien, Abdullah Ahmad Badawi, dont le pays assure la présidence de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), a appelé à un cessez-le-feu au Liban et à la libération par le Hezbollah des soldats israéliens enlevés.
«Sans elle, les Nations unies ne pourront rien faire et la situation au Liban et au Proche-Orient va se détériorer», a déclaré le chef du gouvernement. «Sans un cessez-le-feu, le Hezbollah ne libérera pas les deux soldats», a-t-il averti.
Le Premier ministre a appelé Washington à intervenir. De son côté, l’armée israélienne effectue une série d’incursions terrestres au Liban, son opération visant à repousser les miliciens du Hezbollah à 20 km au nord de la frontière israélienne, selon le ministre israélien de la Justice.
La crainte d’une opération de grande envergure a provoqué un vaste exode de plus d’un demi-million de Libanais du sud vers des régions plus sûres.. Les Etats-Unis et Israël isolés dans leur dessein Pour l’ambassadeur d’Israël à Washington, Dany Ayalon, «la défaite du Hezbollah sert de façon évidente les intérêts des Américains».
«Les Américains ont compris qu’il s’agit d’une occasion spéciale qui va permettre de modifier la situation politique et stratégique au Liban et au Moyen-Orient dans son ensemble», a-t-il ajouté. Le président Bush a également établi un lien entre cette agression israélienne et la confrontation engagée contre la Syrie et l’Iran qu’il accuse de soutenir le Hezbollah, tout en dénonçant l’Iran pour «ses ambitions (...) nucléaires et son aide à des groupes terroristes».
Il a affirmé que Rice devrait faire «clairement comprendre qu’une solution de la crise exige d’affronter le groupe (de résistance) et les pays qui le soutiennent». Les Etats-Unis chercheraient à provoquer une fracture entre la Syrie et l’Iran, a affirmé hier le New York Times, citant des responsables gouvernementaux.
Mme Rice a refusé, vendredi, d’appeler à un cessez-le-feu au Liban. L’actuel conflit au Proche-Orient constitue «un sommet d’absurdités», a affirmé le ministre grec des Affaires étrangères, appelant une nouvelle fois à un «cessez-le-feu immédiat».
- Le jeune independant
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