...
si je suis...
celle, ou celui
que tu veux
même un peu
alors, me reste
tous ces gestes
qui font vœu
parfois deux
comme un jeu
tendre et mieux
à leurs yeux
lumineux,
si je suis...
la partie
que tu penses
dans l'enfance
alors, me rejoint
tout ce rien
si commun
que tout bien
parfois tient
à leurs mains,
enfantin,
si je suis...
par la vie
qui se brille
plus de mille
alors, me rêve
et s'achève
d'une trêve
bien moins brève
qui soulève
où s'élève
rêves,
si je suis...
aujourd'hui
un des airs
une chimère
alors, me plaît
les voyages le reflet
des visages imparfaits
qui tu sais
au plus loin au plus près
se revient à jamais
sans toujours ni secret
à la paix,
si je suis...
à ceux ci
que tu vois
d'un émoi
alors, me réveille
sans pareil
le soleil
la merveille
le matin le miel
la fleur l'étincelle
le printemps l'hirondelle
chacun(e) éternel(le)
si je suis...
encore ici
que tu saches
sans relâche
alors me vit
et revit
l'infini
à l'azur indécis
d'un regard sans défi
moins noirci
que blanchi
plus joli
que l'aigri
qui sourit
et merci.
au pied d'un arbre de belle nature, qui saurait à ses branches dire le sens et le sol des feuilles qui toujours s'en accueillent chaque fois et autrement d'un côté comme de l'autre, d'une saison, après l'hiver, et bien avant également...
Salam, merci...
si je suis...
celle, ou celui
que tu veux
même un peu
alors, me reste
tous ces gestes
qui font vœu
parfois deux
comme un jeu
tendre et mieux
à leurs yeux
lumineux,
si je suis...
la partie
que tu penses
dans l'enfance
alors, me rejoint
tout ce rien
si commun
que tout bien
parfois tient
à leurs mains,
enfantin,
si je suis...
par la vie
qui se brille
plus de mille
alors, me rêve
et s'achève
d'une trêve
bien moins brève
qui soulève
où s'élève
rêves,
si je suis...
aujourd'hui
un des airs
une chimère
alors, me plaît
les voyages le reflet
des visages imparfaits
qui tu sais
au plus loin au plus près
se revient à jamais
sans toujours ni secret
à la paix,
si je suis...
à ceux ci
que tu vois
d'un émoi
alors, me réveille
sans pareil
le soleil
la merveille
le matin le miel
la fleur l'étincelle
le printemps l'hirondelle
chacun(e) éternel(le)
si je suis...
encore ici
que tu saches
sans relâche
alors me vit
et revit
l'infini
à l'azur indécis
d'un regard sans défi
moins noirci
que blanchi
plus joli
que l'aigri
qui sourit
et merci.
au pied d'un arbre de belle nature, qui saurait à ses branches dire le sens et le sol des feuilles qui toujours s'en accueillent chaque fois et autrement d'un côté comme de l'autre, d'une saison, après l'hiver, et bien avant également...
Salam, merci...
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