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Ce 10 novembre 2012, vers 15h30, l’artillerie des forces armées de l’occupation a tiré des obus sur un terrain de football situé à 1500 de la frontière qui borde la bande de Gaza. Des enfants y jouaient. Deux ont été tués instantanément, Mohamed Ussama Hassan Harara, âgé de 16 ans et Ahmed Mustapha Khaled Harara âgé de 17 ans. Des voisins se sont alors précipités sur les lieux porter secours. L’armée d’occupation tire alors trois obus. Deux morts additionnelles sur le champ, Ahmed Kamal Al Dirdissawi, âgé de 18 ans et Matar Emad Abde Rahman. 38 civils ont été blessés, parmi eux 8 enfants. 10 sont des blessés graves.
Pendant ce temps, une collection d’Imams de mosquées de France rendent visite à l’État responsable de ces crimes. Ils prétendent représenter l’immigration musulmane de France. La délégation est menée par l’inénarrable Chalghoumi de Drancy aussi incompétent en langue française qu’en langue arabe au point qu’il est licite de s’interroger sur la validité de sa conduite de la prière. Car il ne s’agit de rien d’autre, un Imam est un membre honorable et suffisamment versé dans la connaissance de l’Islam choisi pour conduire la prière. Il n’est ni le doyen ni le plus savant et il n’est pas prévu que cette fonction se transforme en situation de rente encore moins de représentation. Chalghoumi est allé assurer l’État criminel de ses sympathies et les télévisions collaboratrices donnent en boucle l’information.
Les musulmans de France tiennent à affirmer qu’ils n’ont jamais donné mandat à cet individu pour qu’il en soit l’ambassadeur, encore moins auprès d’une entité usurpatrice de territoires, raciste, irrespectueuse des règles élémentaires du droit international.
Si Chalghoumi tient à être le collaborateur d’assassins, qu’il le soit en son nom propre et il est aisé d’imaginer qu’il reçoit des prébendes et qu’il a cure pour jouer ce rôle.
Les musulmans de France ne peuvent se ranger du côté de l’injuste et de la barbarie. Sans haine, car celle-ci n’appartient pas au répertoire politique et psychologique musulman. Ils présentent leurs condoléances les plus attristées aux familles endeuillées et leur solidarité la plus résolue, la plus ferme au peuple palestinien meurtri et bafoué dans ses droits.
Badia Benjelloun
13 novembre 2012
ISM France
Pendant ce temps, une collection d’Imams de mosquées de France rendent visite à l’État responsable de ces crimes. Ils prétendent représenter l’immigration musulmane de France. La délégation est menée par l’inénarrable Chalghoumi de Drancy aussi incompétent en langue française qu’en langue arabe au point qu’il est licite de s’interroger sur la validité de sa conduite de la prière. Car il ne s’agit de rien d’autre, un Imam est un membre honorable et suffisamment versé dans la connaissance de l’Islam choisi pour conduire la prière. Il n’est ni le doyen ni le plus savant et il n’est pas prévu que cette fonction se transforme en situation de rente encore moins de représentation. Chalghoumi est allé assurer l’État criminel de ses sympathies et les télévisions collaboratrices donnent en boucle l’information.
Les musulmans de France tiennent à affirmer qu’ils n’ont jamais donné mandat à cet individu pour qu’il en soit l’ambassadeur, encore moins auprès d’une entité usurpatrice de territoires, raciste, irrespectueuse des règles élémentaires du droit international.
Si Chalghoumi tient à être le collaborateur d’assassins, qu’il le soit en son nom propre et il est aisé d’imaginer qu’il reçoit des prébendes et qu’il a cure pour jouer ce rôle.
Les musulmans de France ne peuvent se ranger du côté de l’injuste et de la barbarie. Sans haine, car celle-ci n’appartient pas au répertoire politique et psychologique musulman. Ils présentent leurs condoléances les plus attristées aux familles endeuillées et leur solidarité la plus résolue, la plus ferme au peuple palestinien meurtri et bafoué dans ses droits.
Badia Benjelloun
13 novembre 2012
ISM France
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