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OLLI-PEKKA KALLASVUO, le président de Nokia depuis le 1er mai, a présenté hier ses premiers résultats pour le numéro un mondial des téléphones mobiles, avec un tiers du marché mondial. Ils sont bons. Le chiffre d'affaires progresse de 22 %, à 9,8 milliards d'euros, le résultat opérationnel de 50 %, à 1,5 milliard d'euros, et le bénéfice net de 43 %, à 1,1 milliard.
Ces performances ont été soutenues par la livraison de 78,4 millions de téléphones mobiles, en croissance de 29 %, tirées par les ventes au Moyen-Orient, en Chine et dans le reste de l'Asie. Le groupe finlandais a aussi engrangé quelque 276 millions de résultats exceptionnels, liés au règlement de son différend avec l'opérateur turc Telsim.
Dans ces conditions, Nokia pourrait franchir, « pour la première fois au dernier trimestre 2006, le seuil de 100 millions de téléphones mobiles », estime la société d'études Strategy Analytics.
Néanmoins, la palme de la croissance revient à l'américain Motorola, en position très incertaine il y a deux ans encore. De fait, la firme dirigée par Ed Zander vient d'annoncer une croissance de 53 % du nombre de téléphones mobiles livrés au deuxième trimestre, avec un nouveau record de 51,9 millions d'appareils. Sa part du marché mondial, estimée à 22,1 %, « est la plus élevée depuis 1998 », précise Strategy Analytics.
Samsung distancé sur les pays émergentsSi les deux industriels suivent leur rythme actuel de progression, « Motorola pourrait potentiellement prendre le dessus sur Nokia en 2007 », prévoient les experts. La firme américaine s'est renforcée aux États-Unis, en Amérique latine et dans plusieurs pays émergents d'Asie. Elle vient de réaliser un chiffre d'affaires trimestriel record, à 10,9 milliards de dollars (+ 29 %), dont 7,1 milliards de dollars pour les portables (+ 46 %).
Nokia et Motorola se partagent à présent 55,5 % du marché mondial des téléphones mobiles. Le groupe américain a gagné des points sur le sud-coréen Samsung, qui tarde à se lancer dans la bataille dans les pays émergents, où les marges sont plus faibles. Strategy Analytics souligne d'autre part la performance de Sony Ericsson, qui s'est installé à la quatrième place, devant LG, avec des livraisons en hausse de 33 %.
source: le figaro
Ces performances ont été soutenues par la livraison de 78,4 millions de téléphones mobiles, en croissance de 29 %, tirées par les ventes au Moyen-Orient, en Chine et dans le reste de l'Asie. Le groupe finlandais a aussi engrangé quelque 276 millions de résultats exceptionnels, liés au règlement de son différend avec l'opérateur turc Telsim.
Dans ces conditions, Nokia pourrait franchir, « pour la première fois au dernier trimestre 2006, le seuil de 100 millions de téléphones mobiles », estime la société d'études Strategy Analytics.
Néanmoins, la palme de la croissance revient à l'américain Motorola, en position très incertaine il y a deux ans encore. De fait, la firme dirigée par Ed Zander vient d'annoncer une croissance de 53 % du nombre de téléphones mobiles livrés au deuxième trimestre, avec un nouveau record de 51,9 millions d'appareils. Sa part du marché mondial, estimée à 22,1 %, « est la plus élevée depuis 1998 », précise Strategy Analytics.
Samsung distancé sur les pays émergentsSi les deux industriels suivent leur rythme actuel de progression, « Motorola pourrait potentiellement prendre le dessus sur Nokia en 2007 », prévoient les experts. La firme américaine s'est renforcée aux États-Unis, en Amérique latine et dans plusieurs pays émergents d'Asie. Elle vient de réaliser un chiffre d'affaires trimestriel record, à 10,9 milliards de dollars (+ 29 %), dont 7,1 milliards de dollars pour les portables (+ 46 %).
Nokia et Motorola se partagent à présent 55,5 % du marché mondial des téléphones mobiles. Le groupe américain a gagné des points sur le sud-coréen Samsung, qui tarde à se lancer dans la bataille dans les pays émergents, où les marges sont plus faibles. Strategy Analytics souligne d'autre part la performance de Sony Ericsson, qui s'est installé à la quatrième place, devant LG, avec des livraisons en hausse de 33 %.
source: le figaro