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Le Maroc doit rembourser aux Algériens 20 milliards de dollars

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  • Le Maroc doit rembourser aux Algériens 20 milliards de dollars

    Le site d'information du quotidien algérien Echorouk a publié jeudi une déclaration du porte-parole du ministère des Affaires étrangères algérien, selon laquelle le Maroc est appelé à rembourser les Algériens “expulsés” en 1973. La déclaration intervient alors que Youssef Amrani, ministre délégué chargé des Affaires étrangères, avait déclaré lundi, que les Marocains avaient été victimes d’une “expulsion collective” de l'Algérie.

    Le ministère des Affaires étrangères algérien a répliqué, hier, aux déclarations du ministre délégué marocain chargé des Affaires étrangères, Youssef Amrani, au sujet des “biens marocains en Algérie”, en accusant le Maroc d’entraver les conventions signées à ce sujet, rapporte Echoroukonline, le site d'information du quotidien algérien Echorouk.
    Selon ce dernier, le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères, Amar Belani, a affirmé, dans une déclaration écrite, qu’il convenait de rappeler au ministre marocain les centaines d’algériens qui ont été “repoussés” du Maroc ainsi que leurs biens “confisqués sans toucher aucune indemnisation”.
    D'après le site d'information, “des milliers d’hectares de terrains agricoles et des centaines de propriétés et de biens immobiliers appartenant à des Algériens ont été nationalisés, à la date du 2 mars 1973, sans pour autant les indemniser”.
    Les Marocains étaient “locataires”
    Le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères a ajouté, toujours selon le site d'information, que la majorité des Marocains ayant quitté l’Algérie en 1975, “ne possédaient pas de biens dans le pays, mais ils louaient plutôt des terrains et des immobiliers appartenant au domaine de l’État algérien ou à un tiers”.
    Echorouk souligne également que le royaume doit donner au près de 14.000 Algériens “spoliés de leurs biens et de leurs terrains” des indemnisations estimées à 20 milliards de dollars.
    Pour rappel, le ministre délégué chargé des affaires étrangères, Youssef Amrani, s'était prononcé sur l'affaire lundi dernier, en répondant à une question orale à la Chambre des représentants. Le ministre a déclaré que les informations selon lesquelles les Marocains expulsés d’Algérie auraient abandonné leurs biens sont “dénuées de tout fondement” et ont pour but de “justifier l’annexion de ces biens au domaine public de l’État algérien”.
    Selon ses propos, les Marocains n’avaient pas laissé derrière eux leurs biens en Algérie mais “ils ont été victimes d’une expulsion collective arbitraire” en ajoutant que “le dossier des Marocains expulsés d’Algérie est placé parmi les priorités des questions sociales en suspens” avec le voisin.Voila sa donne la lumière pour les anciens responsables et pour l'histoire des deux voisins.

    Echorouk

  • #2
    la diplomatie marocaine l avait cherché en propageant la propagande ..
    j avais bien dit qu elle allait attiré la foudre sur elle , ainsi les points sur " i " ..

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...02&postcount=1
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #3
      Le Maroc remboursera quand l'Algérie remboursera les expulsions de 1975.
      Allah al watan al malik

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      • #4
        salam

        le bon sens veut qu'on respecte la chronologie et petit rappel en Algérie il faut être algérien pour posséder des terres et des biens ou associé avec un algérien

        maintenant s'il y a eu injustice je suis pour la réparation de celle-ci, mais tenons nous à la chronologie pour arriver à une solution

        wa salam

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        • #5
          lol, il y a un changement de ton à Alger, ils mettent les points sur les "i" maintenant...

          Beh oui mais fallait s'en douter avec toutes les crasses que fait le makhzen, en plus la crise malienne a vraiment foutue le bourdon à Alger, le peuple n'aime pas la faiblesse cumulée de l'équipe Bouteflika, il convenait de réagir, fort et rapidement...

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          • #6
            Echorouk a publié jeudi une déclaration du porte-parole du ministère des Affaires étrangères algérien, selon laquelle le Maroc est appelé à rembourser les Algériens “expulsés” en 1973.
            C'est L'algérie qui devra rembourser plus de 30 mrd $ au Maroc pour l'expulsion de milliers de marocains d'algérie , car ils ont été humilié spoilé et expulser sans raison

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            • #7
              posté par AZPARIS 95

              Le Maroc remboursera quand l'Algérie remboursera les expulsions de 1975.
              .
              peut étre quelques miettes ( des cas rares )
              les marocains étaient des " Khammassa " chez les colons français , ainsi aprés l indépendance ont continué chez les algériens à travailler le sol dans l agriculture .. ...

              le porte parole , Par respect pour ne dire autre chose afin d offusquer ..
              Le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères a ajouté, toujours selon le site d'information, que la majorité des Marocains ayant quitté l’Algérie en 1975, “ne possédaient pas de biens dans le pays, mais ils louaient plutôt des terrains et des immobiliers appartenant au domaine de l’État algérien ou à un tiers”.
              .
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

              Commentaire


              • #8
                selon laquelle le Maroc est appelé à rembourser les Algériens “expulsés” en 1973
                magh91


                LE MAROC N'A EXPULSE AUCUN ALGERIEN:

                Je defie quiconque qui prouve le contraire.

                Commentaire


                • #9
                  j'en conais baucoup de famille on etai piller de leur terre et volé et chasser meme du maroc .

                  Commentaire


                  • #10
                    Le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères a ajouté, toujours selon le site d'information, que la majorité des Marocains ayant quitté l’Algérie en 1975, “ne possédaient pas de biens dans le pays, mais ils louaient plutôt des terrains et des immobiliers appartenant au domaine de l’État algérien ou à un tiers”.


                    DU DBIZ ET SEULEMENT DU DBIZ

                    Heureusement que SNP 75 et Mr HAROICHI responsables de l'A.D.M.A. sont encore en vie

                    Commentaire


                    • #11
                      Pour AGHBAL

                      Les Algériens spoliés au Maroc

                      On estime les terres des Algériens spoliés au Maroc à 47.000 hectares appartenant à plus de 1. 000 terriens et propriétaires de biens immobiliers sur tout le territoire chérifien.

                      Après une période de silence, les Algériens, terriens et propriétaires de biens immobiliers, «nationalisés» sans indemnisation, à la faveur d’un dahir (loi royale) du 2 mars 1973 ordonnant un «transfert à l’État marocain des immeubles agricoles appartenant aux personnes physiques étrangères ou aux personnes morales» (même si, en réalité, ce texte n’a puni que les ressortissants algériens) reviennent à la charge après la visite du chef de la diplomatie marocaine à Alger.

                      M. Abdou Bousmaha, représentant de ses compatriotes expropriés et propriétaire de biens à Guercif (Maroc oriental) affirme: «Nous avons accueilli l’élection du nouveau gouvernement marocain avec l’espoir de voir, enfin, notre dossier traité. C’est un des contentieux inextricables qui opposent nos deux Etats.

                      Ces derniers temps, nous avons remarqué qu’un certain esprit d’apaisement et de rapprochement guide les responsables des deux côtés; notre souhait était que notre dossier, qui concerne des milliers de familles algériennes, soit mis sur la table des discussions».

                      Un autre Algérien dépossédé, Omar T., nous rappelle que «une convention a été signée le 15 mai 1963 entre les deux pays. Pour ne reprendre que deux articles (les 2 et 5) de ce texte, il est clairement indiqué que les ressortissants des deux États installés chez le voisin jouissent des mêmes droits que les nationaux. L’article 2 est explicite et ne souffre d’aucune ambigüité chacune des parties contractantes s’engage à traiter les nationaux de l’autre partie selon les principes de réciprocité et de non-discrimination par rapport à ses propres nationaux…».

                      Mais, apparemment, entre les textes signés et paraphés et la réalité des choses, il existe un océan. Ces victimes de l’injustice marocaine, qui ont tenté de créer une association pour «défendre leurs biens collectivement et non séparément», mais qui ont échoué en raison des tracasseries administratives, se fient, aujourd’hui, directement aux deux gouvernements pour rappeler leurs droits bafoués.
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                      • #12
                        AGHBAL
                        LE MAROC N'A EXPULSE AUCUN ALGERIEN:

                        Je defie quiconque qui prouve le contraire.
                        ABGHAL tu n'est certainement pas Marocain !!!!!!



                        La marocanisation : un crime

                        Sur le plan humain, la marocanisation a été dramatique et des familles entières ont été spoliées. Quinze ans après, le Maroc annonce sa volonté de privatiser et d'ouvrir ses frontières. Depuis, nos gouvernants déroulent le tapis rouge devant les investisseurs étrangers. Qu'a-t-on gagné dans l'affaire? Une classe de profiteurs inaptes à la concurrence loyale.

                        La Vie éco a publié la semaine dernière un intéressant dossier sur les erreurs dans les choix économiques du Maroc. Pour ma part, il y a un épisode que je considère déterminant : la marocanisation. Par ses effets multiples, la manière scandaleuse dont elle a été menée, cette décision a réellement plombé l’économie marocaine.
                        Le premier reproche que l’on puisse faire est qu’elle est l’exemple type de la primauté du politique sur l’économique. Si les décolonisations ont souvent été suivies par ce genre de mesures, cela s’est fait immédiatement après l’indépendance et dans le cadre de choix économiques étatistes.
                        Au Maroc, on a attendu 1973 pour le faire, alors même que le choix libéral était affiché, malgré l’extension du secteur public.
                        La marocanisation répondait à une stratégie politique. A savoir créer une base sociale, la fameuse classe moyenne au régime déboussolé par deux tentatives de putsh, une infiltration foquiste(*) et une effervescence sociale sans précédent.
                        C’est dans cette ambiance que la loi fut édictée, ouvrant la course à l’affairisme. Les étrangers ont été tout simplement spoliés. La date limite, trop rapprochée, leur mettait le couteau sur la gorge. Les règles de change de l’époque, c’est à dire l’obligation de passer par un compte «capital», dont les sorties de devises étaient hyper encadrées, les poussait vers l’usage du noir.
                        Dans ces conditions, la marocanisation a été le signal de départ de tous les brigandages. La SNI a eu la part du lion, avant d’être elle-même volée par les puissants du moment. Des transactions sur des sociétés de bois, par exemple, sont encore dans toutes les mémoires. Des PMI florissantes se sont retrouvées entre les mains d’une pègre qui, dès le lendemain, allait exiger et obtenir protection sur protection.
                        Le cas le plus navrant est celui des services. Des commis se sont retrouvés courtiers en assurances, des serveurs patrons de restaurants, des garçons, à peine dégrossis, ont eu entre les mains des bars, brasseries qu’ils ont vite fait de transformer en tripots.
                        Les services liés au tourisme, en particulier, ont été la première victime de la marocanisation. La baisse de qualité, par manque de professionnalisme, la disparition d’une animation clean, ont appauvri nos villes et joué en défaveur de l’évolution de notre tourisme. C’est un fait indiscutable et cela, même atténué, continue d’être flagrant.
                        Sur un autre plan, la présence de ces «patrons» était un élément de modernité sociale. Par leur mode de vie, par leur manière d’être, ils imprégnaient leur entourage. Le Maârif ou Aïn Sebaâ, à Casablanca, ont dépéri après leur départ forcé. Leur attitude vis-à-vis de leur petit commerce était diamétralement opposée à celle de leurs successeurs. Ceux-ci ont vite fait de transformer les bénéfices en pierres, animant une spéculation immobilière des plus frénétiques.
                        Sur le plan humain, c’était un véritable drame. Des familles installées depuis des générations, pour les Italiens et les Ibériques, des siècles avant la colonisation, ont été spoliées et renvoyées dans des pays qui leur étaient étrangers. De vieux couples ont été obligés de refaire leur vie ailleurs, en ruminant leur impuissance face à l’injustice.
                        Quinze ans après, le Maroc annonçait sa volonté de privatiser et d’ouvrir ses frontières. Depuis cette date, nos gouvernants déroulent le tapis rouge aux investisseurs étrangers. Qu’a-t-on gagné dans l’affaire ? Une classe de profiteurs inaptes à la concurrence loyale qui périclite sous nos yeux. Quant à la classe moyenne on n’en a toujours pas trouvé trace !.

                        Jamal Berraoui
                        .lavieeco.
                        "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                        • #13
                          j'en conais baucoup de famille on etai piller de leur terre et volé et chasser meme du maroc .
                          slytds31

                          En 1963, il y a eu des cas d'expulsion pour rendre la monnaie à feu Benbella, mais pas autres choses

                          Mais depuis 1963, il n'y a eu aucune expulsion d'Algériens à partir du Maroc

                          Justement, c'est là ou les gouvernants d'Alger se sont trompés au delà du cou parce qu'ils croyaient que le Maroc allait faire la même chose

                          Commentaire


                          • #14
                            @AGHBAL
                            évite -nous de parler de n importe quoi ?
                            l abghalisation laisse la à l Ouest
                            On parle de la spoliation des algériens ( par Dahir hassanien du 2 mars 1973 ) et spoliation des marocain ( par dahir mensonger , relit ci-dessous )
                            http://www.algerie-dz.com/forums/sho...02&postcount=1
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                            Commentaire


                            • #15
                              LE MAROC N'A EXPULSE AUCUN ALGERIEN:

                              Je defie quiconque qui prouve le contraire.
                              ABGHAL tu n'est certainement pas Marocain !!!!!!
                              AARROU



                              AGHBAL PARLE ET CONFIRME QU'EN 1973, LE MAROC N'A EXPULSE AUCUN ALGERIEN

                              Ne joues pas ويل للمصلين et tu t'arrêtes

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