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Maroc: des journalistes manifestent contre des violences policières

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  • Maroc: des journalistes manifestent contre des violences policières

    Plusieurs dizaines de journalistes marocains se sont rassemblés jeudi à Rabat pour protester contre la violence des forces de l'ordre à l'égard de la presse lors de manifestations, selon un journaliste de l'AFP.

    Devant le siège du ministère de la Justice à Rabat, une centaine de personnes, pour la plupart des journalistes mais aussi des militants des droits de l'Homme, ont appelé au respect de la liberté d'expression, à l'occasion de la journée nationale de la presse.

    Ils ont évoqué des violences policières commises mardi à Casablanca, la capitale économique du royaume, durant une manifestation du mouvement du 20-Février, né l'an dernier dans le contexte du Printemps arabe et qui revendique des réformes politiques profondes et plus de justice sociale.

    "Les policiers m'ont fait tomber au sol et ont commencé à me frapper. J'ai perdu conscience et je me suis réveillé aux urgences", a raconté à l'AFP Lahcen Oussimouh, journaliste au quotidien Al Ahdath Almaghribia.

    "Le comportement de la police vis-à-vis des journalistes est une violation à tous les niveaux, constitutionnel et juridique", a estimé le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) dans un communiqué.

    Interrogé sur le sujet lors d'un colloque organisé jeudi à Rabat, le ministre de la Communication, Mustapha el-Khalfi, porte-parole du gouvernement, a présenté ses regrets.

    Il a déclaré avoir pris contact, ainsi que le ministre de la Justice Mustapha Ramid, avec le SNPM et a promis des mesures pour éviter que de tels actes se reproduisent.

    Mi-octobre, le SNPM avait déjà dénoncé des violences contre des journalistes lors de la dispersion d'une manifestation de greffiers à Casablanca.
    Maroc

  • #2
    Peux-tu mettre la source de ton article .

    Cela évitera d'eventuelles " réclamations" .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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    • #3
      C'est pas la peine iska ,il n'y a pas de mal a ce que les journalistes réclament plus de liberté ,sinon ,comment on accédera a la démocratie ,pas avec la baraka et laam zine

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      • #4
        C'est pas la peine iska
        Désolé , mais j'aime bien connaitre la source , pour mieux juger ( même si mon jugement peut n'avoir aucune valeur)
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #5
          Désolé , mais j'aime bien connaitre la source , pour mieux juger ( même si mon jugement peut n'avoir aucune valeur)
          http://www.france24.com/fr/20121115-...ces-policieres

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          • #6
            Désolé Hboy, mais cela ne sort pas , page introuvable selon google .
            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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            • #7
              Voici un article de ya biladi

              Maroc : La police agresse des journalistes et des photographes à Casablanca



              Publié le 15.11.2012 à 13h17 | Par Mohammed Jaabouk


              Le 22 août à Rabat, des journalistes venus couvrir une manifestation à Rabat d’un groupe opposé à la cérémonie d’allégeance, ont été agressés par les forces de l’ordre. Le remake de ce scénario s’est produit, mardi à Casablanca. Un incident de plus qui coïncide avec la commémoration de la journée nationale de la presse.


              Le 13 novembre à 20 heures, Place Prince à Casablanca. Des membres du Mouvement du 20 février ont choisi ce lieu, très fréquenté, pour organiser un sit-in réclamant la libération des détenus politiques. La manifestation a été vite dispersée par les forces de l’ordre. L’intervention n’a pas épargné des journalistes et des photographes, venus pour couvrir cet évènement.
              Notre confrère Oussi Mouh Lahcen du quotidien arabophone Al Ahdath Al Magrhibia a été roué de coups sur tout son corps, notamment la tête, causant son évanouissement. Il a dû, être, évacué vers l’hôpital Ibn Rochd pour effectuer un diagnostic de son état de santé. Le médecin traitant son cas lui a prescrit une semaine de repos. Trois photographes, Mourad Bourja, Mohamed Mouâniss et Ahmed El Jarfi, ont certes eu plus de chance ; ils ont été frappés et leurs appareils photos endommagés. Visiblement, la police ne veut pas de preuves attestant de son intervention.

              Le syndicat de la presse dénonce

              Cette nouvelle agression des forces de l’ordre contre des journalistes a coïncidé avec la célébration, le 14 novembre, de la journée nationale de la presse. Dans un communiqué, le syndicat nationale de la presse marocaine (SNPM) fustige ce recours à la matraque, annonce l’organisation d’une campagne visant la protection des hommes et des femmes travaillant dans les médias et la rédaction d’un mémorandum qu’elle compte adresser au chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane, et au CNDH.
              Par ailleurs, le SNPM a appelé les associations des droits de l’Homme a davantage de soutien et de solidarité avec les journalistes. Hier, devant le siège du ministère de la Justice, à l’initiative du SNPM, un sit-in a été organisé réclamant la protection des journalistes des agressions des forces de l’ordre.

              Arrestation de membres du M20

              Le sit-in du mardi 13 novembre a connu également son lot de victimes dans les rangs du Mouvement du 20 février. Un militant, Rabiî Houmazene, a été arrêté et conduit dans les locaux de la police avant sa libération. Par ailleurs, hier, le procès de cinq membres du M20F a été ajourné au 28 de ce mois.
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #8
                La police utiliser comme bras armé du pouvoir contre tout ennemies interne tel des journalistes qui ne suivent pas les rails de la manipulation du peuple.

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                • #9
                  excélent, la democratie au maroc ne peut avancer sans que le pouvoir de la presse impose respect responsabilité et libérté

                  Commentaire


                  • #10
                    y a aussi, pour les arabophones, dans le journal electronique hespress où le secretaire de l'union des journalistes au Maroc parle de ces excés.
                    Le Makhzen est dur , dur
                    La haine aveugle

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                    • #11
                      pauvres journalistes !

                      Maroc: des journalistes manifestent contre des violences policières
                      On est pas sorti encore de l'auberge ! nos klab lgourna continuent à agir comme des voyous

                      Il faut que les policiers s'auto éduquent

                      Commentaire

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