A jedi, mes larmes ne s’arrêtent pas ce soir
Et je ne sais pas pourquoi…
J’ai beau poser sur mes joues ce mouchoir
Rien n’y fait, je ne sais pas pourquoi…
Je tremble de pleurer, et je me fatigue à m’éponger
J’ai envie d’être dans tes bras, comme autrefois
Rien ne pouvait m’atteindre, rien, il n’y avait que toi et moi
Mes yeux aveuglés par les larmes te réclament
Et te dessinent, dans ces souvenirs brumeux
J’aimerais tant être dans tes bras, comme autrefois…
Ce n’est pas le froid hivernal, c’est ce froid sentimental
Qui me donne envie d’être réchauffée par ta voix
D’être soutenue par ton regard et de me sentir aimé par ton amour…
A jedi, j’ai envie d’être dans tes bras comme autrefois…
Recroquevillée, pliée dans mon lit
Je me rêve à nouveau dans le reflet de tes yeux gris
Je veux que tu me prennes sous ton grand burnous blanc
Aussi pur que tout mes débuts, mes premiers moments
Enveloppe moi a jedi, rassure moi a jedi…
Je veux être dans tes bras comme autrefois…
J’envie toutes ces petites qui sont encore derrières ces chibanis
Savent-elles qu’un jour, elles pleureront à leur tours ces bras
Dans lesquels aujourd’hui elles se lancent, en toute insouciance…
Et finiront comme moi, sans insolence, à réclamer ce non droit
Elles voudront elles aussi, se retrouver dans ces bras…
A jedi, tout était si simple, si beau, si clair quand j’étais sur tes épaules
Le monde était à moi, car j’étais dans tes bras…
Aujourd’hui je panse mes blessures seules, sans toi
Mes yeux sont rouges ce soir, d’avoir trop peiné sans toi
Et pour me consoler… Cette nuit je n’y arriverai pas car…
Même après tout ce temps, femme enfant,
Je ne puis m’empêcher de t’aimer, sans ta présence ici bas
Rien ne change, ni mon cœur, ni mon amour…
Seul tes bras…demeurent un mythe, demeurent sans moi…
Et je ne sais pas pourquoi…
J’ai beau poser sur mes joues ce mouchoir
Rien n’y fait, je ne sais pas pourquoi…
Je tremble de pleurer, et je me fatigue à m’éponger
J’ai envie d’être dans tes bras, comme autrefois
Rien ne pouvait m’atteindre, rien, il n’y avait que toi et moi
Mes yeux aveuglés par les larmes te réclament
Et te dessinent, dans ces souvenirs brumeux
J’aimerais tant être dans tes bras, comme autrefois…
Ce n’est pas le froid hivernal, c’est ce froid sentimental
Qui me donne envie d’être réchauffée par ta voix
D’être soutenue par ton regard et de me sentir aimé par ton amour…
A jedi, j’ai envie d’être dans tes bras comme autrefois…
Recroquevillée, pliée dans mon lit
Je me rêve à nouveau dans le reflet de tes yeux gris
Je veux que tu me prennes sous ton grand burnous blanc
Aussi pur que tout mes débuts, mes premiers moments
Enveloppe moi a jedi, rassure moi a jedi…
Je veux être dans tes bras comme autrefois…
J’envie toutes ces petites qui sont encore derrières ces chibanis
Savent-elles qu’un jour, elles pleureront à leur tours ces bras
Dans lesquels aujourd’hui elles se lancent, en toute insouciance…
Et finiront comme moi, sans insolence, à réclamer ce non droit
Elles voudront elles aussi, se retrouver dans ces bras…
A jedi, tout était si simple, si beau, si clair quand j’étais sur tes épaules
Le monde était à moi, car j’étais dans tes bras…
Aujourd’hui je panse mes blessures seules, sans toi
Mes yeux sont rouges ce soir, d’avoir trop peiné sans toi
Et pour me consoler… Cette nuit je n’y arriverai pas car…
Même après tout ce temps, femme enfant,
Je ne puis m’empêcher de t’aimer, sans ta présence ici bas
Rien ne change, ni mon cœur, ni mon amour…
Seul tes bras…demeurent un mythe, demeurent sans moi…
Commentaire