Dans le sillage des actions menées par la médiation burkinabé de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) pour le règlement de la crise du Mali dont le nord est occupé depuis quelques mois par des divers groupes armés, le médiateur de la Cédéao et président du Burkina Faso, Blaise Campaoré a reçu en audience le premier ministre malien, Cheick Modibo Diarra. Ce dernier a déclaré à l’issue de son entretien avec le président burkinabé que le dialogue était inévitable avec les groupes touareg du Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA) et d’Ansar Eddine.
“Le dialogue est inévitable, les gens qui composent le MNLA et Ansar Eddine sont nos compatriotes, ce sont des Maliens même si certains ne trouvent pas leurs positions défendables” a dit Cheick Modibo Diarra à sa sortie du palais présidentiel de Ouagadoudou.
Le premier ministre qui souhaite que les conditions d’un dialogue soient réunies rapidement, considère que le futur dialogue permettra de distinguer les revendications légitimes de celles qui ne le sont pas. “Ces discussions ne concerneront pas les terroristes et les narcotrafiquants qui pour la plupart ne sont pas des citoyens maliens”, a-t-il insisté. Comprendre les terroristes d’Aqmi et du Mujao.
Au moment où la France et ses alliés de la Cédéao se préparent activement pour lancer une guerre contre les groupes armés qui occupent le nord du Mali depuis plusieurs mois, notamment Aqmi et le Mujao, les partisans du dialogue continuent les initiatives afin d’empêcher cette guerre qui risque d’être dévastatrice pour les habitants du Nord-Mali.
Le MNLA et Ansar Eddine composés de Touareg maliens ont déjà fait une offre de dialogue au gouvernement malien avec l’objectif de mettre fin à la crise, avec notamment des concessions que personne n’imaginait, il y a seulement quelques mois. Mais le bruit de bottes se fait de plus en plus bruyant de ce côté-ci du continent africain, la France et certains pays de la région n’étant pas vraiment intéressés par l’idée de dialogue et de paix.
********
“Le dialogue est inévitable, les gens qui composent le MNLA et Ansar Eddine sont nos compatriotes, ce sont des Maliens même si certains ne trouvent pas leurs positions défendables” a dit Cheick Modibo Diarra à sa sortie du palais présidentiel de Ouagadoudou.
Le premier ministre qui souhaite que les conditions d’un dialogue soient réunies rapidement, considère que le futur dialogue permettra de distinguer les revendications légitimes de celles qui ne le sont pas. “Ces discussions ne concerneront pas les terroristes et les narcotrafiquants qui pour la plupart ne sont pas des citoyens maliens”, a-t-il insisté. Comprendre les terroristes d’Aqmi et du Mujao.
Au moment où la France et ses alliés de la Cédéao se préparent activement pour lancer une guerre contre les groupes armés qui occupent le nord du Mali depuis plusieurs mois, notamment Aqmi et le Mujao, les partisans du dialogue continuent les initiatives afin d’empêcher cette guerre qui risque d’être dévastatrice pour les habitants du Nord-Mali.
Le MNLA et Ansar Eddine composés de Touareg maliens ont déjà fait une offre de dialogue au gouvernement malien avec l’objectif de mettre fin à la crise, avec notamment des concessions que personne n’imaginait, il y a seulement quelques mois. Mais le bruit de bottes se fait de plus en plus bruyant de ce côté-ci du continent africain, la France et certains pays de la région n’étant pas vraiment intéressés par l’idée de dialogue et de paix.
********
Commentaire