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La situation au nord du mali accelere l'affaiblissement du leadership regional de l'algerie

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  • La situation au nord du mali accelere l'affaiblissement du leadership regional de l'algerie

    Avant même le début de la guerre au Nord‑Mali, l’Algérie apparaît déjà comme la grande perdante des évènements qui se déroulent dans la région du Sahel. D’abord sur le plan opérationnel. Alors que les pays de la Cédéao et leurs alliés africains qui poussent à une intervention ne mobiliseront que 3 300 militaires, l’Algérie devra déployer au moins 50 000 hommes pour espérer sécuriser sa frontière sud, selon une estimation obtenue par TSA auprès de sources concordantes. Le pays ne possède aucun système de surveillance électronique des frontières.
    Un véritable défi opérationnel pour l’armée nationale populaire (ANP) qui n’a jamais eu à gérer ce type de situation depuis sa création. Mais aussi un coût financier élevé. L’opération de la Cédéao, qui sera appuyée par la France et les États‑Unis, devrait être rapide. Dès les premiers bombardements, les terroristes d’Aqmi et du Mujao vont sans doute se disperser dans le vaste désert du Sahel. Mais l’Algérie devra maintenir pendant de nombreux mois, voire des années, une forte présence militaire à ses frontières sud pour éviter une infiltration massive de terroristes sur son territoire. Le coût d’un tel déploiement est difficile à chiffrer. Mais il sera considérable.

    La situation au Sahel a également porté un coup dur à l’ambition de puissance régionale de l’Algérie. Les responsables du pays réalisent qu’il ne suffit pas d’avoir l’armée la plus puissante et la mieux équipée de la région pour imposer ses vues aux voisins. L’Algérie a rapidement découvert qu’elle n’avait aucune influence sur les « autres pays du champ ». Cette structure, créée pour asseoir la domination régionale de l’Algérie et écarter la France et son allié marocain du dossier du Sahel, s’est avérée inefficace. Elle a même accentué l’isolement diplomatique de l’Algérie : la communauté internationale a préféré traiter avec la Cédéao et l’Union africaine (UA).

    La cause ? Le Mali, la Mauritanie et le Niger écoutent davantage Paris qu’Alger. Et pour cause : ces pays dépendent économiquement davantage de la France que de l’Algérie. Malgré ses centaines de milliards de dollars engrangés ces dernières années grâce au prix du pétrole, l’Algérie n’a pas réussi à se doter d’une économie solide pour servir ses intérêts. Or, sans puissance économique, il est difficile de prétendre à un leadership régional.

    Sonatrach, qui aurait pu être la force de frappe d’Alger dans la région, s’est montrée incapable de sortir des frontières de l’Algérie. Miné par la mauvaise gestion et la corruption, le groupe pétrolier a réalisé quelques investissements timides en Mauritanie et affiché des ambitions au Mali. Mais c’est insuffisant pour une politique de leadership régional. Les autres groupes publics algériens sont incapables de fonctionner correctement en Algérie et, à plus forte raison, de partir à la conquête de l’Afrique. Quant aux groupes privés, ils sont bridés par une législation qui leur interdit d’investir à l’étranger !

    Résultat, c’est la France et le Maroc qui ont pris l’initiative. Illustration de cette situation : dans les télécommunications, c’est Maroc Télécom et Orange qui se font concurrence dans les pays du Sahel. Pendant que le ministère algérien des Finances s’est engagé dans d’interminables négociations pour racheter Djezzy !

    Au lieu de prêter 5 milliards de dollars au FMI et de chercher à brider les investissements en modifiant régulièrement les lois, Alger aurait été mieux inspiré de développer son économie pour être mieux écouté par ses voisins. Dans le monde, les exemples de pays devenus leaders régionaux ou mondiaux grâce à l’économie sont nombreux : la Chine, l’Inde, la Turquie, la Corée du Sud… Mais aucun pays n’est devenu leader en dépensant des dizaines de milliards de dollars dans des achats d’armes.
    TSA

  • #2
    Magnifique exercice !

    Il n'est pas donné à tout journaliste de réunir, dans le même papier et, sur quelques paragraphes : Mali, Sonatrach, Maroc Telecom, leadership algérien, investissement, terrorisme, FMI, Union africaine, France, Corée du Sud, EU, Djezzy, Cedeao, Turquie ...

    Bravo l'artiste.

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    • #3
      Au lieu de prêter 5 milliards de dollars au FMI et de chercher à brider les investissements en modifiant régulièrement les lois, Alger aurait été mieux inspiré de développer son économie pour être mieux écouté par ses voisins. Dans le monde, les exemples de pays devenus leaders régionaux ou mondiaux grâce à l’économie sont nombreux : la Chine, l’Inde, la Turquie, la Corée du Sud… Mais aucun pays n’est devenu leader en dépensant des dizaines de milliards de dollars dans des achats d’armes.


      Un pays est fort et est une puissance: lorsqu'il l'est économiquement

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      • #4
        A travers l'intervention armée au Mali, c'est l'Algérie qui est visée...

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        • #5
          le plan qui tue !

          A travers l'intervention armée au Mali, c'est l'Algérie qui est visée...
          Salam, Exactement
          Les vieux mammouths d'el mouradia n'ont pas bien saisis les enjeux et leurs tactique laisse à désirer. 50 ans de pouvoir sans partage ça n'aide pas à aérer les neurones, l'Algérie paiera tôt ou tard, les erreurs commises en haut lieu, les autres nations c'est pas les partis locaux, qu'on amadou avec ne réception aux petits fours...
          Des pays comme l'Arabie saoudite, le Qatar, la ligue arabe, sont aux aguets, et n'attendent qu'un signal (des troubles) pour fondre sur l'agneau algérien...
          Le régime algérien demeure plus l'unique pouvoir socialiste issu de la période des décolonisations, unique survivance des anciennes alliances de l'ère soviétique, un régime que les pétromonarchies du Golfe finiront pas déstabiliser, la grosse majorité du peuple n'attend que ça, le jour du déclenchement, ni l'armée, ni la police ni la gendarmerie ne suffiront à stoper la force motrice de 30 millions d'algériens, on va dire que le reste, soit 5 ou 6 millions de personnes sont acquises au pouvoir.

          Le wahabisme, aidé de son frère siamois ultra-radical, le salafisme, veulent construire un empire, pour cela ils doivent renverser tous les régimes arabes socialistes ou laïcs, ce fut le cas en Tunisie (Laïc), en Egypte (Laïc et socialiste depuis le Nasserisme), en Lybie (Socialisto-nationalo-islamique), au Yemen (Nasseriste), en Syrie (Baas), les américains s'étaient chargés de l'Irak en 2003 (Baas)... Il ne reste donc plus que qu'un seul pays qui va à l'encontre de l'idéologie wahabite : l'ALGERIE !

          On peut s'attendre à ce que la crise Syrienne finie, les vautours du golf se tourneront vers l'Algérie, à moins qu'une guerre en Iran vienne retarder l'échéance !

          Rien ni personne ne pourra arrêter une insurrection populaire, en Algérie plus qu'ailleurs, le pays est connu pour abriter la population la plus guerrière du monde arabe (avec le Yemen et les populations de la corne de l'Afrique), drs, gendarmerie, police, ANP... Tout sera emporté ! Avec la bénédiction des pays de la rive nord de la méditerranée ! On peut même dire que si le régime Algérien ne se démocratise pas, pour solidifier sa base, il est juste en sursis ! Le printemps arabe n'est qu'un vaste plan de recomposition politique et stratégique du monde arabe, certainement décidé lors de la période néoconservatrice de l'ère Bush !

          wa Allah wa aallam !

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          • #6
            La situation au nord du mali accelere l'affaiblissement du leadership regional de l'algerie

            Par TSA
            .
            décrypte la réponse :

            ONU : L’intervention militaire au Mali pas avant septembre 2013
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              Alors que les pays de la Cédéao et leurs alliés africains qui poussent à une intervention ne mobiliseront que 3 300 militaires, l’Algérie devra déployer au moins 50 000 hommes pour espérer sécuriser sa frontière sud, selon une estimation obtenue par TSA auprès de sources concordantes
              en tout cas avec ou sans intervention de la cedeao,l’Algérie est obliger de déployer ses soldats a la frontière,bonjour les dépenses !
              c'est dommage l'Algerie a tout les moyens de jouer le leaderships de toute la région et fédérer autour d'elle tout les pays du Maghreb et du Sahel pour mener une opération a partir de ses ses frontières vers Bamako , pour pourchasser les terroristes loin de nos frontières ,le junte se la joue seul ,résultat de courses, l'intervention militaire de la cedeao commencera a Bamako pour pourchasser les terroristes vers....... l'Algerie :22:.

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              • #8
                @Nourraja

                Non, et pas question de céder non plus aux sirènes de la "flatterie" en allant envahir un pays voisin et y faire le gendarme pour le compte de tiers. On est tous solidaires de cette position en Algérie.
                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                • #9
                  harrachi
                  Non, et pas question de céder non plus aux sirènes de la "flatterie" en allant envahir un pays voisin et y faire le gendarme pour le compte de tiers. On est tous solidaires de cette position en Algérie.
                  pour le compte de qui ? ,c'est la sécurité de l’Algérie et les pays de la région qui en cause aujourd'hui ,les européens ont peur d'un feu qui va nous cramer avant que sa chaleur éteint leurs cotes ,
                  plus le temps passe ,plus les terroristes s'organisent et acquerirent plus d'arme ,de plus en plus sophistiqués.est c'est l’Algérie qui est dans le viseur de cette chose de Mujao ,donc il faut agir et vite .sinon les européens vont le faire a notre place et nous on va subir comme des étrangers, c'est malheureusement ce qui se passe aujourd'hui .
                  On est tous solidaires de cette position en Algérie
                  c'est quoi la position de l'Algerie au juste ,aider ansar-eddine pour pourchasser le Mujao ,et après ?aider le mnla contre ansar-eddine ou aider le mali copntre le mnla ?

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                  • #10
                    @Nourraja

                    ... c'est la sécurité de l’Algérie et les pays de la région qui en cause aujourd'hui ...

                    La sécurité de l'Algérie s'assure par les algériens sur le territoire algérien. On dehors de ces limites, on peut aider éventuellement si les concernés le demandent, mais jamais avec les pieds de nos hommes et leur armes en territoire étranger.

                    ... c'est quoi la position de l'Algerie au juste ...

                    Que ses troupes n'ont pas à intervenir sur le sol d'un autre pays souverain, et encore moins pour le compte de tiers ou à leur profit.
                    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                    • #11
                      salam harrachi
                      La sécurité de l'Algérie s'assure par les algériens sur le territoire algérien.
                      bon courage ,vous préférer mener la guerre sur votre territoire.les attentats de Tamanraste en dit longue sur l’état des renseignement dans cette région :22: .


                      on peut aider éventuellement si les concernés le demandent, mais jamais avec les pieds de nos hommes et leur armes en territoire étranger.
                      personne n'a demander a Algerie de mener une guerre toute seul au mali, c'est dans le cadre d'une coalition qui regroupe tout les pays de la région(maghreb plus Sahel) sous l’égide des Nation Unis,pour une mission claire , aider l'armée Mali a recuperer ces terres ,pour une durée précise prolongeable a la demande du Mali . en tout cas c'est ma vision des choses

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                      • #12
                        Pour que TSA et toi mettiez une sourdine .

                        Voilà de quoi tempêrer ton ardeur de voir l'Algérie perdre le bras de fer diplomatique entre elle et les va-t-en guerre .

                        TIENS-TOI BIEN




                        Nord-Mali

                        Prodi écarte une action militaire avant septembre 2013

                        Par : R. I./Agences

                        Alors que la France n’épargne aucun effort pour obtenir en décembre le feu vert du Conseil de sécurité pour une intervention militaire au nord du Mali, après l’approbation du plan d’opération par les chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, lors du sommet d’Abuja au Nigeria, il y a quelques jours, l’envoyé spécial de l’ONU au Sahel, Romano Prodi, a déclaré, hier à Rabat, que les experts s’accordent à dire qu’une action militaire dans le nord du Mali ne sera possible qu’en septembre 2013. “Tous les experts (politique et militaire) sont d’accord pour dire qu’une intervention militaire ne pourrait avoir lieu qu’en septembre 2013”, a affirmé M. Prodi, qui s’exprimait en français lors d’une conférence de presse après des entretiens avec le ministre marocain des Affaires étrangères, Saâd Eddine El-Othmani.
                        À propos de cette intervention armée internationale pour chasser les terroristes, l’ancien président du Conseil italien a estimé “qu’il faut préparer une action militaire pour être crédible et ma mission c’est de faire tout pour la paix et éviter la guerre”, plaidant pour la recherche d’une solution politique au Mali et dans le Sahel. De son côté, le chef de la diplomatie marocaine a affirmé que son pays n’est pas enthousiaste pour une action militaire, indiquant que la stratégie du royaume vis-à-vis du Mali privilégie d’abord un règlement politique. Il a précisé que le Maroc souhaitait épuiser toutes les solutions pacifiques avec le soutien des pays voisins et de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest. Les déclarations de Romano Prodi interviennent après celles faites quelques heures auparavant par le président François Hollande, qui a exclu toute “discussion avec des groupes liés au terrorisme” dans le nord du Mali contrôlé par des islamistes armés dont certains liés à Al-Qaïda, à l’issue d’un entretien avec le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz. “J’ai souligné qu’il y avait des progrès, grâce à la pression des Africains eux-mêmes par rapport à la perspective d’une intervention” de troupes africaines dans le nord du Mali “et qu’il y avait un dialogue politique”, a déclaré à la presse le chef de l’État français. Mais ce dialogue politique doit “être lui-même éclairci, c’est-à-dire qu’il ne peut pas y avoir une discussion avec des groupes qui sont liés au terrorisme”, a-t-il souligné. Selon un communiqué de l’Élysée, M. Hollande a aussi “souligné le rôle actif de la France au sein du Conseil de sécurité des Nations unies en faveur de l’adoption d’une résolution, au cours du mois de décembre, autorisant le déploiement d’une force africaine au Mali”. Mohamed Ould Abdel Aziz a affirmé qu’il partageait “avec la France la même volonté d’en terminer avec ce foyer de terrorisme au Sahel”. “La situation est extrêmement difficile” mais “je crois que nous allons pouvoir traiter et régler définitivement ce problème” du terrorisme “qui mine le développement de notre région”, a-t-il déclaré aux côtés du président français. “L’approche actuelle, c’est d’engager des forces mais aussi de continuer à dialoguer et à discuter pour essayer d’engager un processus qui puisse mettre fin” à cette situation, a-t-il poursuivi.
                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                        • #13
                          Mon " cher " haddou

                          Il faut ecouter plusieurs sons de cloches .

                          En voici un autre et j'espére que tu n'auras pas trop mal aux oreilles .

                          Crise malienne

                          Pas de désaccord entre Paris et Alger, selon Laurent Fabius


                          le 21.11.12 | 10h00


                          Laurent Fabius a rappelé hier, à la faveur d’une rencontre avec la presse étrangère, qu’il n’y avait pas de désaccord entre Paris et Alger sur la crise du Nord-Mali et que celle-ci avait une dimension politique, mais aussi sécuritaire.


                          Paris.
                          De notre correspondante


                          Interrogé par El Watan sur le dialogue intermalien qui se tiendra courant novembre à Bamako et sur la déclaration de son homologue algérien, Mourad Medelci, sur l’urgence de l’entame de négociations entre les parties concernées, Laurent Fabius a indiqué qu’il est «tout à fait d’accord avec (son) ami et collègue algérien (…) qu’il faut combattre les groupes terroristes, mais qu’il ne faut pas oublier la dimension politique».
                          Laurent Fabius, qui était l’invité de l’Association de la presse étrangère (APE), a rappelé qu’à Alger, «un des premiers déplacements que j’ai faits à l’étranger, j’ai eu l’occasion de rencontrer M. Bouteflika, nous avons eu l’occasion de parler d’un certain nombre de sujets et je me rappelle que la presse algérienne titrait ’Désaccord entre la France et l’Algérie sur la question du Mali’. Nous avons souri avec mon collègue et ami Mourad Medelci, parce que nous avions trouvé que nous avions énormément de points d’accord».
                          Le fond de la question, selon le ministre français des Affaires étrangères, est qu’«au nord du Mali, il y a le terrorisme, le refus de l’intégrité du Mali par certains mouvements et cela a des conséquences désastreuses puisque le Mali est coupé en deux, puisque les groupes terroristes violent, torturent, assassinent». Cette situation «qui, longtemps, n’a peut-être pas été perçue, l’a été de plus en plus par les Africains eux-mêmes et par la communauté internationale», a poursuivi M. Fabius.
                          Pour résoudre cette situation, il y a, selon le MAE français, trois actions à entreprendre : «La Cédéao et l’Union africaine jouent un rôle excellent dans cette affaire ; l’Europe et la communauté internationale peuvent assurer un appui ; les Algériens évidemment sont directement concernés. C’est d’abord aux Africains d’avancer sur ces trois domaines. D’abord, il faut consolider la solution politique, c’est-à-dire qu’il faut qu’il y ait un dialogue entre les autorités du Mali et celles du Nord qui refusent la violence et le terrorisme. Il y a des populations du Nord et même des organisations qui acceptent, davantage maintenant qu’il y a quelques mois, de rejeter le terrorisme et de respecter l’intégrité du Mali.»
                          Par ailleurs, note M. Fabius, «les forces de sécurité maliennes sont devenues extrêmement faibles, il faut les reconstituer, c’est une affaire qui concerne les Maliens, mais l’Europe a décidé hier d’aider à leur formation (…). Et puis il y a les groupes terroristes. Il faudra les combattre». Le troisième volet est «un volet de développement, un volet humanitaire parce que le Mali, comme un certain nombre de pays voisins, a besoin de se développer (…). La communauté européenne et internationale doit les aider».


                          Nadjia Bouzeghrane
                          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                          • #14
                            ayayay, l encerclement de l algerie se concretise, il a commencé en Libye, il prend son cours au sud, à l ouest c ets déjà fait!!!!!khrat alikom
                            Dernière modification par saaid, 21 novembre 2012, 12h43.
                            بارد وسخون
                            M.Alhayani

                            Commentaire


                            • #15
                              Mon " cher " haddou

                              Il faut ecouter plusieurs sons de cloches


                              par iska


                              NE TIRE PAS LES CONCLUSIONS,ET, NE CROIS SURTOUT PAS QUE JE SUIS UN ADEPTE DE LA GUERRE ,LOIN DE LA

                              SOIS TRANQUILE MON CHER ISKA QUE C'EST POUR ENRICHIR LE DEBAT,MAIS, PERSONNE N'ECARTE UNE INTERVENTION MILITAIRE

                              DANS UNE INTERVIEW ACCORDEE PAR ROMANO PRODI A L'ECONOMISTE D'AUJOURD'HUI ,IL DECLARE .
                              MON BUT EST DE CHERCHER LA PAIX ,MON EXPERTISE EST NOTAMMENT ATTENDUE SUR LA CRISE QUI SECOUE LE NORD DU MALI
                              CES DEUX DERNIERES SEMAINES ,J'AI VISITE L'UNION AFRICAINE A ADDIS ABEBA,L'EGYPTE,L'ALGERIE,LES ETATS UNIS,LA FRANCE ET MAINENANT LE MAROC
                              IL FAUT PREPARER L'INTERVENTION MILITAIRE ,PARCE QUE AUTREMENT NOUS NE SERONS PAS CREDIBLES , CECI ETANT, LES EFFORTS QUE JE MENE CONVERGENT TOUS VERS LA PAIX ET VERS DES ACCORDS . MA CONVICTION ; LA GUERRE NE RAMENE NI DEVELOPPEMENT NI CONDITIONS TOLERABLES POUR LE PEUPLE DU SAHEL FIN DE LA CITATION


                              MON CHER ISKA ,DONC PREPARER LA PAIX ON FAISANT LA PRESSION SUR LES GROUPES TERRORISTES
                              Dernière modification par haddou, 21 novembre 2012, 13h02.

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