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Un kg de sardine fortement protéinée à 20 DA (soit 22 centimes d'euro) ? Cela sent la fraude!
Le service de contrôle de Maâtkas (s'il existe) ne semble pas s'inquiéter que l'on mette la santé de la population en danger...
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Maâtkas - Le poisson à… 20 DA le kg
La vente de sardines et autres poissons, au rabais, en ces jours de canicule, ne cesse de défrayer la chronique ces temps-ci à Maâtkas et à Souk El-Tenine. En effet, si pour certaines bourses, cette opportunité reste une excellente aubaine pour se permettre des protéines animales, pour d’autres la crainte quant à la qualité de ces produits de mer demeure omniprésente. Ainsi, tout le monde n’est pas près d’oublier cette pathologie du botulisme qui avait fait son lot de victimes à l’est du pays durant l’été 1999 suite à la consommation de casher avarié.
Dans cette circonscription de Maâtkas où pourtant l’interdiction de la vente de poissons au delà de 10 heures à travers ses deux communes a été décrétée par les autorités locales en plus des mesures draconiennes d’hygiène et de prophylaxie imposées aux vendeurs, il n’en demeure pas moins qu’aucun de ces arrêtés communaux n’a été respecté. Aussi, l’on continue à écouler, à des heures avancées de la journée et sous un soleil de plomb, ces poissons moyennant, quelquefois, des prix défiant toute concurrence. 20 DA, voire 15 ou 10 DA le kilogramme, sont les prix proposés à la criée par les vendeurs pour appâter le maximum de monde, et ce à ciel ouvert sans aucune protection.
C’est dire que ni les élus ni encore les commissions d’hygiène communales et de daïra n’ont pu venir à bout de cette pratique. L’absence des services de sécurité inhibe, à plus d’un titre, la volonté des autorités à mettre fin à cette vente, pour le moins très dangereuse, de ces poissons. Aussi, il est vivement conseillé aux citoyens de s’approvisionner en ce produit de mer tôt le matin et bien choisir les poissons frais tout en ignorant ces prix alléchants durant les heures avancées du jour. Il y a va de la santé publique car le poisson pourrait être aussi un… poison !
source: la dépêche de kabylie
Le service de contrôle de Maâtkas (s'il existe) ne semble pas s'inquiéter que l'on mette la santé de la population en danger...
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Maâtkas - Le poisson à… 20 DA le kg
La vente de sardines et autres poissons, au rabais, en ces jours de canicule, ne cesse de défrayer la chronique ces temps-ci à Maâtkas et à Souk El-Tenine. En effet, si pour certaines bourses, cette opportunité reste une excellente aubaine pour se permettre des protéines animales, pour d’autres la crainte quant à la qualité de ces produits de mer demeure omniprésente. Ainsi, tout le monde n’est pas près d’oublier cette pathologie du botulisme qui avait fait son lot de victimes à l’est du pays durant l’été 1999 suite à la consommation de casher avarié.
Dans cette circonscription de Maâtkas où pourtant l’interdiction de la vente de poissons au delà de 10 heures à travers ses deux communes a été décrétée par les autorités locales en plus des mesures draconiennes d’hygiène et de prophylaxie imposées aux vendeurs, il n’en demeure pas moins qu’aucun de ces arrêtés communaux n’a été respecté. Aussi, l’on continue à écouler, à des heures avancées de la journée et sous un soleil de plomb, ces poissons moyennant, quelquefois, des prix défiant toute concurrence. 20 DA, voire 15 ou 10 DA le kilogramme, sont les prix proposés à la criée par les vendeurs pour appâter le maximum de monde, et ce à ciel ouvert sans aucune protection.
C’est dire que ni les élus ni encore les commissions d’hygiène communales et de daïra n’ont pu venir à bout de cette pratique. L’absence des services de sécurité inhibe, à plus d’un titre, la volonté des autorités à mettre fin à cette vente, pour le moins très dangereuse, de ces poissons. Aussi, il est vivement conseillé aux citoyens de s’approvisionner en ce produit de mer tôt le matin et bien choisir les poissons frais tout en ignorant ces prix alléchants durant les heures avancées du jour. Il y a va de la santé publique car le poisson pourrait être aussi un… poison !
source: la dépêche de kabylie
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