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D'apres moi elle se moque des Palestinéens.....elle veut un état pour la Palestine, mais sans les palestinéens. Plusieur ministres palestinéens croupissent dans les geôles israeliens....des dizaines de palestinéens meurent chaque jours, et elle se permet d'affirmer ça?
En tous les cas Mahmoud Abbas (je suppose) d'apres la photo a tout compris et semble lui dire : << Arretes de te moquer, de moi conne-di (CONDI) espece de......(je garde le mot pour moi)>> Condi c'est son petit nom, juste pour les intimes comme Bush.....Un peu d'humour dans la politique...
En tous les cas Mahmoud Abbas (je suppose) d'apres la photo a tout compris et semble lui dire : << Arretes de te moquer, de moi conne-di (CONDI) espece de......(je garde le mot pour moi)>> Condi c'est son petit nom, juste pour les intimes comme Bush.....Un peu d'humour dans la politique...
RAMALLAH (Reuters) - Après son entretien avec le président palestinien Mahmoud Abbas en Cisjordanie, la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a insisté sur la nécessité de continuer à travailler à la création d'un Etat palestinien.
"Même au moment où nous travaillons à la résolution de la situation au Liban, nous devons rester concentrés sur ce qui se passe ici, dans les territoires palestiniens (...) Sur notre désir de revenir (...) à la vision de deux Etats vivant en paix l'un à côté de l'autre", a-t-elle dit lors d'une conférence de presse.
Les relations entre Israël et les autorités palestiniennes se sont considérablement dégradées après l'enlèvement d'un soldat israélien par un commando d'activistes palestiniens il y a un mois. L'offensive lancée par Tsahal dans les territoires palestiniens pour le récupérer a fait 121 morts.
Abbas, qui tente de sauver les négociations engagées avec le Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir, a, lui, déclaré qu'il espérait que le soldat israélien serait bientôt libéré.
"De notre côté, nous ferons le maximum d'efforts pour relancer le processus de paix et pour garantir la libération du soldat", a-t-il dit.
"Nous espérons qu'Israël prendra conscience de la souffrance des 10.000 familles palestiniennes dont les fils et les filles sont dans les prisons israéliennes", a-t-il ajouté.
Mais l'Etat juif a rejeté toute possibilité d'un échange de prisonniers et a de nouveau largué des tracts à Gaza mardi, prévenant qu'il allait intensifier ses attaques sur les stocks d'armes et les chefs activistes.
MANIFESTATIONS ANTI-RICE
Selon un responsable palestinien, Rice a également réaffirmé à Abbas que l'aide des puissances occidentales, suspendues depuis l'arrivée du Hamas au pouvoir, ne reprendrait que quand le gouvernement accepterait les principes édictés par le "quartet" (Etats-Unis, Russie, Union européenne et Onu): la reconnaissance d'Israël, le renoncement à la violence et des négociations de paix.
Le Premier ministre palestinien, Ismail Haniyeh, a fait savoir qu'il rejetait l'idée d'"un nouveau Moyen-Orient" défendue par Rice.
"Il semble que pour les Etats-Unis, un nouveau Moyen-Orient commence par la destruction du Liban et par les assassinats du plus grand nombre de Palestiniens", a-t-il dit.
En signe de protestation à la venue de la chef de la diplomatie américaine, de nombreux commerçants palestiniens de Ramallah, en Cisjordanie, avaient baissé leurs rideaux mardi.
Plusieurs formations politiques avaient appelé à cette grève, dont le Fatah, le parti d'Abbas, et le Hamas.
"Je lui dis 'retourne d'où tu viens'", s'enflamme Amin Manasrah, un épicier de 45 ans. "Elle ne fera rien pour le bien des Palestiniens ou des Libanais".
"Elle est persona non grata en Palestine", insiste le chauffeur de taxi Khaled Rajab. "Nous n'avons rien de personnel contre elle mais contre son aveuglement total en faveur d'Israël".
Un responsable américain a indiqué que malgré la grève et une petite manifestation à Ramallah, Rice ne s'était pas sentie malvenue.
"Même au moment où nous travaillons à la résolution de la situation au Liban, nous devons rester concentrés sur ce qui se passe ici, dans les territoires palestiniens (...) Sur notre désir de revenir (...) à la vision de deux Etats vivant en paix l'un à côté de l'autre", a-t-elle dit lors d'une conférence de presse.
Les relations entre Israël et les autorités palestiniennes se sont considérablement dégradées après l'enlèvement d'un soldat israélien par un commando d'activistes palestiniens il y a un mois. L'offensive lancée par Tsahal dans les territoires palestiniens pour le récupérer a fait 121 morts.
Abbas, qui tente de sauver les négociations engagées avec le Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir, a, lui, déclaré qu'il espérait que le soldat israélien serait bientôt libéré.
"De notre côté, nous ferons le maximum d'efforts pour relancer le processus de paix et pour garantir la libération du soldat", a-t-il dit.
"Nous espérons qu'Israël prendra conscience de la souffrance des 10.000 familles palestiniennes dont les fils et les filles sont dans les prisons israéliennes", a-t-il ajouté.
Mais l'Etat juif a rejeté toute possibilité d'un échange de prisonniers et a de nouveau largué des tracts à Gaza mardi, prévenant qu'il allait intensifier ses attaques sur les stocks d'armes et les chefs activistes.
MANIFESTATIONS ANTI-RICE
Selon un responsable palestinien, Rice a également réaffirmé à Abbas que l'aide des puissances occidentales, suspendues depuis l'arrivée du Hamas au pouvoir, ne reprendrait que quand le gouvernement accepterait les principes édictés par le "quartet" (Etats-Unis, Russie, Union européenne et Onu): la reconnaissance d'Israël, le renoncement à la violence et des négociations de paix.
Le Premier ministre palestinien, Ismail Haniyeh, a fait savoir qu'il rejetait l'idée d'"un nouveau Moyen-Orient" défendue par Rice.
"Il semble que pour les Etats-Unis, un nouveau Moyen-Orient commence par la destruction du Liban et par les assassinats du plus grand nombre de Palestiniens", a-t-il dit.
En signe de protestation à la venue de la chef de la diplomatie américaine, de nombreux commerçants palestiniens de Ramallah, en Cisjordanie, avaient baissé leurs rideaux mardi.
Plusieurs formations politiques avaient appelé à cette grève, dont le Fatah, le parti d'Abbas, et le Hamas.
"Je lui dis 'retourne d'où tu viens'", s'enflamme Amin Manasrah, un épicier de 45 ans. "Elle ne fera rien pour le bien des Palestiniens ou des Libanais".
"Elle est persona non grata en Palestine", insiste le chauffeur de taxi Khaled Rajab. "Nous n'avons rien de personnel contre elle mais contre son aveuglement total en faveur d'Israël".
Un responsable américain a indiqué que malgré la grève et une petite manifestation à Ramallah, Rice ne s'était pas sentie malvenue.
le reste je veux même pas en entendre parler.
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