plus de 38 milliard 4,3 milliar $ d'investissement cette anne a Tanger, dans le domaine immoblier touristique industuelle....
la ville change de visage et avec ce rithm sa va devenir une des plus importante ville du royaume.
Pourquoi Tanger attire les investisseurs
· Tourisme et promotion immobilière, les secteurs en poupe
· Addoha investit 1,8 milliard de DH dans le logement
· Châabi débloque 3,3 milliards de DH dans l’hôtellerie
C’est une véritable manne économique qui tombe sur la ville de Tanger. Lors de la dernière visite de SM le Roi, une série de projets multimillionnaires ont été présentés au Monarque (cf. www.leconomiste.com). Touristiques ou résidentiels, ces derniers représentent près de 10 milliards de DH d’investissements. Et au total, pour l’ensemble de la région et sur les douze derniers mois, les engagements financiers sont évalués à plus de 38 milliards de DH dans ces secteurs. En tête de file, le groupe immobilier Addoha qui vient de lancer un ambitieux programme résidentiel à Al Irfane, l’un des nouveaux pôles urbains de la ville de Tanger. Addoha compte en effet construire 9.000 logements économiques sur 30 hectares pour un investissement global de 1,8 milliard de DH. Le groupe qui vient de faire une entrée historique en Bourse projette également la réalisation d’une série d’équipements de proximité dont une mosquée, un complexe culturel, des établissements scolaires et autres. Il s’agit pour le promoteur de profiter du potentiel de la zone nord. «D’ici les trois prochaines années, les régions représenteront pas moins de 50% des réalisations du groupe», affirment les responsables de Addoha.
Par ailleurs, ce premier projet du groupe dans la région nord est une aubaine en matière de création d’emplois. Le projet Al Irfane qui doit être finalisé dans 5 ans, emploiera quelque 2.700 personnes, tous secteurs confondus durant la période du chantier, soit l’équivalent des emplois générés par la plus grosse entreprise de la zone franche de Tanger (TFZ). Un chantier qui va aussi renforcer la capacité immobilière de la ville.
De fait, avec les projets de zones franches et le mégaport de Tanger-Med, le besoin de logements pour la main d’œuvre et les cadres est en expansion. A titre indicatif, pour la demande de la population locale il est de 11.000 logements par an et seulement la moitié est satisfaite.
Sur un autre registre, l’offre hôtelière connaît un nouveau virage avec l’investissement réalisé par Ynna, la holding de Châabi immobilier. En effet, le groupe vise haut avec son projet nommé «Le littoral» et qui représente la bagatelle de 3 milliards de DH.
Trois hôtels, deux appart-hôtels ainsi que des résidences et des villas touristiques sont prévus sur 64 hectares. S’ajoute à cela, à Ghandouri, celui d’un complexe touristique de taille moyenne d’un montant global de 291 millions de DH. C’est la filiale du groupe, Châabi Liliskane qui se chargera de la construction du projet.
Par ailleurs, Holmarcom, holding financière avec des participations dans des domaines variés tels l’industrie ou le transport aérien, lancera un projet mitoyen à Ghandouri: le Cap Tingis, un projet de 60 hectares et dont l’enveloppe s’élève à 1,5 milliard de DH. Il s’agit de villas, d’appartements et d’un hôtel du luxe. A noter que d’autres projets ont été présentés dans le site de Ghandouri pour un montant global de 1,1 milliard de DH. L’objectif est d’augmenter la capacité litière des infrastructures touristiques. Aujourd’hui, celle-ci ne dépasse pas les 7.000 lits, soit 5,8% de la capacité nationale. «Et seulement 4.000 sont commercialisables», indique l’Office national marocain du tourisme, (ONMT). Championne nationale il y a quelques décennies, la ville a perdu en trente ans près de la moitié de sa capacité.
A moyen terme, les projets lancés permettront à la destination de dépasser le minimum pour rentrer dans le circuit de la commercialisation et retrouver ses heures de gloire.
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L’industrie aussi
Le secteur industriel bénéficie aussi de l’intérêt des investisseurs. Aussi, l’extension de la zone franche de Tanger, l’un des principaux pôles économiques de la région, a été décidée dernièrement (cf:www.leconomiste.com). Ainsi, ce sont 60 hectares qui vont s’ajouter aux 105 déjà commercialisés et vont permettre de nouveaux investissements. A terme, cette extension permettra d’assurer près de 16.000 nouveaux postes d’emploi.
la ville change de visage et avec ce rithm sa va devenir une des plus importante ville du royaume.
Pourquoi Tanger attire les investisseurs
· Tourisme et promotion immobilière, les secteurs en poupe
· Addoha investit 1,8 milliard de DH dans le logement
· Châabi débloque 3,3 milliards de DH dans l’hôtellerie
C’est une véritable manne économique qui tombe sur la ville de Tanger. Lors de la dernière visite de SM le Roi, une série de projets multimillionnaires ont été présentés au Monarque (cf. www.leconomiste.com). Touristiques ou résidentiels, ces derniers représentent près de 10 milliards de DH d’investissements. Et au total, pour l’ensemble de la région et sur les douze derniers mois, les engagements financiers sont évalués à plus de 38 milliards de DH dans ces secteurs. En tête de file, le groupe immobilier Addoha qui vient de lancer un ambitieux programme résidentiel à Al Irfane, l’un des nouveaux pôles urbains de la ville de Tanger. Addoha compte en effet construire 9.000 logements économiques sur 30 hectares pour un investissement global de 1,8 milliard de DH. Le groupe qui vient de faire une entrée historique en Bourse projette également la réalisation d’une série d’équipements de proximité dont une mosquée, un complexe culturel, des établissements scolaires et autres. Il s’agit pour le promoteur de profiter du potentiel de la zone nord. «D’ici les trois prochaines années, les régions représenteront pas moins de 50% des réalisations du groupe», affirment les responsables de Addoha.
Par ailleurs, ce premier projet du groupe dans la région nord est une aubaine en matière de création d’emplois. Le projet Al Irfane qui doit être finalisé dans 5 ans, emploiera quelque 2.700 personnes, tous secteurs confondus durant la période du chantier, soit l’équivalent des emplois générés par la plus grosse entreprise de la zone franche de Tanger (TFZ). Un chantier qui va aussi renforcer la capacité immobilière de la ville.
De fait, avec les projets de zones franches et le mégaport de Tanger-Med, le besoin de logements pour la main d’œuvre et les cadres est en expansion. A titre indicatif, pour la demande de la population locale il est de 11.000 logements par an et seulement la moitié est satisfaite.
Sur un autre registre, l’offre hôtelière connaît un nouveau virage avec l’investissement réalisé par Ynna, la holding de Châabi immobilier. En effet, le groupe vise haut avec son projet nommé «Le littoral» et qui représente la bagatelle de 3 milliards de DH.
Trois hôtels, deux appart-hôtels ainsi que des résidences et des villas touristiques sont prévus sur 64 hectares. S’ajoute à cela, à Ghandouri, celui d’un complexe touristique de taille moyenne d’un montant global de 291 millions de DH. C’est la filiale du groupe, Châabi Liliskane qui se chargera de la construction du projet.
Par ailleurs, Holmarcom, holding financière avec des participations dans des domaines variés tels l’industrie ou le transport aérien, lancera un projet mitoyen à Ghandouri: le Cap Tingis, un projet de 60 hectares et dont l’enveloppe s’élève à 1,5 milliard de DH. Il s’agit de villas, d’appartements et d’un hôtel du luxe. A noter que d’autres projets ont été présentés dans le site de Ghandouri pour un montant global de 1,1 milliard de DH. L’objectif est d’augmenter la capacité litière des infrastructures touristiques. Aujourd’hui, celle-ci ne dépasse pas les 7.000 lits, soit 5,8% de la capacité nationale. «Et seulement 4.000 sont commercialisables», indique l’Office national marocain du tourisme, (ONMT). Championne nationale il y a quelques décennies, la ville a perdu en trente ans près de la moitié de sa capacité.
A moyen terme, les projets lancés permettront à la destination de dépasser le minimum pour rentrer dans le circuit de la commercialisation et retrouver ses heures de gloire.
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L’industrie aussi
Le secteur industriel bénéficie aussi de l’intérêt des investisseurs. Aussi, l’extension de la zone franche de Tanger, l’un des principaux pôles économiques de la région, a été décidée dernièrement (cf:www.leconomiste.com). Ainsi, ce sont 60 hectares qui vont s’ajouter aux 105 déjà commercialisés et vont permettre de nouveaux investissements. A terme, cette extension permettra d’assurer près de 16.000 nouveaux postes d’emploi.
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