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Le secrétaire général du Rassemblement National Démocratique (RND), Ahmed Ouyahia a plaidé ce vendredi pour le levée du gel de l’application de la peine de mort en Algérie.
Il a précisé que l’Algérie devrait exclure du moratoire qu’elle a ratifié et qui est en vigueur depuis 1993, les personnes condamnées dans des affaires liées à la prise d’otage, au détournement des deniers publics et au trafic de drogue.
Ouyahia s’exprimait au cours d’un meeting électoral animée à Tizi Ouzou dans le cadre de la campagne électorale pour les élections locales du 29 novembre prochain.
Pour défendre cette revendication, il a cité l’exemple de l’exécution des auteurs de l’enlèvement de l’un des enfants d’un cadre de la banque d’Algérie durant les années 70 qui avaient exigé de l’argent en contrepartie de la remise en liberté de l’otage, allusion faite aux kidnappings dans la région de Kabylie.
Le secrétaire général, dans son discours prononcé devant ses militants, avertit quant à l’urgence de saisir l’aisance financière du pays pour bâtir une économie moins dépendante de la rente pétrolière qu’il dit “une ressource” qui a fin.
Il n’a pas manqué l’occasion pour rappeler que son parti n’est pas dans l’opposition mais il est partie prenante du pouvoir, mettant en exergue les grandes réalisations dans les différents domaines socio-économiques.
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Il a précisé que l’Algérie devrait exclure du moratoire qu’elle a ratifié et qui est en vigueur depuis 1993, les personnes condamnées dans des affaires liées à la prise d’otage, au détournement des deniers publics et au trafic de drogue.
Ouyahia s’exprimait au cours d’un meeting électoral animée à Tizi Ouzou dans le cadre de la campagne électorale pour les élections locales du 29 novembre prochain.
Pour défendre cette revendication, il a cité l’exemple de l’exécution des auteurs de l’enlèvement de l’un des enfants d’un cadre de la banque d’Algérie durant les années 70 qui avaient exigé de l’argent en contrepartie de la remise en liberté de l’otage, allusion faite aux kidnappings dans la région de Kabylie.
Le secrétaire général, dans son discours prononcé devant ses militants, avertit quant à l’urgence de saisir l’aisance financière du pays pour bâtir une économie moins dépendante de la rente pétrolière qu’il dit “une ressource” qui a fin.
Il n’a pas manqué l’occasion pour rappeler que son parti n’est pas dans l’opposition mais il est partie prenante du pouvoir, mettant en exergue les grandes réalisations dans les différents domaines socio-économiques.
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