Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’implication Marocaine au Mali a coléré l’Algérie

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • L’implication Marocaine au Mali a coléré l’Algérie

    L’Algérie refuse de voir le Maroc s’impliquer aux discussions sur la crise malienne, considérant cela comme atteinte à son prestige dans la sous-région.

    «La présence marocaine aux discussions sur la crise malienne suscite l'hostilité de la part de l'Algérie» s’est lamenté, mercredi 21 novembre, le journal algérien, le quotidien d’Oran.

    La publication algérienne a considéré que «Le Maroc aux relations tendues avec l'Algérie n'est pourtant ni un pays du champ, ni membre de la CEDEAO, ni de l'Union africaine. Ceux qui l'ont invité à participer aux discussions sur la crise malienne et aux préparatifs de l'intervention militaire au nord du Mali, ne l'ont pas fait par méconnaissance de ce que la présence marocaine susciterait d'hostilité de la part de l'Algérie».

    Accusant en sous-entendu la France, le régime algérien, considère selon le quotidien d’Oran, la présence du Maroc dans ce dossier, comme une atteinte à son statut autoproclamé, de puissance régionale, concernée avant tous, par la crise au nord Mali voisin.

    «L’Algérie s'estime directement visée par ce qui s'échafaude souterrainement….. A bon droit et dans la défense de son intérêt national en s'activant à faire la démonstration que la solution politique à la crise malienne est possible. Ce qu'elle est parvenue à établir en ralliant le MNLA et le groupe armé Ansar Eddine à l'option du dialogue politique avec Bamako » peut on lire dans cette analyse.

    Pour le régime d‘Alger, les parties qui ont invité le Maroc à intervenir sur le dossier malien, veulent amoindrir l’influence algérienne, et faire le lit d’une intervention militaire étrangère dans la région pour encercler, dit il, l’Algérie par le Sud et laisser libre cours au Maroc, pour façonner la région selon ses intérêts.

    «Des calculs qui ne présagent rien de bon pour la stabilité de cette région et au delà de celle du nord de l'Afrique où Algérie et Maroc sont en rivalité de leadership et où les situations ne manquent pas qui attiseront le climat conflictuel de leurs relations» conclut le journal algérien.

    e.marrakech

  • #2
    Le Maroc est le dernier souci de l'Algérie, il n'a aucun poids pour influer sur les choses au Mali ... à part exécuter les plans de Paris, Washington et possiblement de Tel-Aviv.
    Sournois et 'khabit' comme il est, il est juste bon de le surveiller du coin de l’œil.
    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

    Commentaire


    • #3
      e.marrakech.info
      Rouya tu aurais pas aussi un bulletin émanant de pizza.info.com ???

      Commentaire


      • #4
        oui okba tu as raison, le probleme c'est un probleme algerien avec les terroristes au nord du mali. Le maroc lui n'est qu'une puissance economic dans ce pays, les groupes marocains controle les grandes banques du pays mais aussi les telecom .........

        alors si tu es malien, tu seras du cote du pays qui creent la zizane pour tous ces voisin en creant des groupes terroriste et independentiste ou il sera du cote du premier investisseur de la region ??? .

        c'est tres simple met toi a la place des maliens ou un citoyen d'un pays de la region et repond a cette petite question.

        Commentaire


        • #5
          pff un nouveau territoire inonder de kif, créer du terrorisme contre les ressortissants touareg algériens et faire le gentil toutou en face de la france et des US.... mhemed 6 n'est pas un roi c'est un cireur de chaussures !

          Commentaire


          • #6
            les gens ont compris que le régime algerien flippe, ils vont pas l'attendre toute la vie, y a un pays qui attend de recouvrir son integrité territoriale.

            Commentaire


            • #7
              puissance regionale qui importe tout et qui n'exporte rien

              Commentaire


              • #8
                Le maroc lui n'est qu'une puissance economic dans ce pays, les groupes marocains controle les grandes banques du pays mais aussi les telecom
                Ben si c'est le cas il revient aux maliens de nationaliser ou de mettre dehors les fauteurs de troubles.
                Pauvres maliens, faire affaire avec n'importe qui a un prix.

                mhemed 6 n'est pas un roi c'est un cireur de chaussures !
                Un peu de respect, c'est le Roi des cireurs de chaussures.
                وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                Commentaire


                • #9
                  Il peut le faire par des négociations pour commencer...
                  Puis ce capitaine Senegho c'est bien lui qui a créer une partition du Mali en faisant un coup d'état et en précipitant la déflagration de son armée, tout ça c'est pas le fait des algériens, c'est bien la connerie des maliens qui les a menées là où ils en sont !

                  Commentaire


                  • #10
                    djéma3 Lafna qui le dit ????

                    @Dabachi
                    c est djéma3 Lafna qui le dit pour la consommation marocaine pour attiser encore plus la haine contre le voisin ( Media Tahtaha des charmeurs de serpents )

                    Pour ton info
                    la vérité a été dite par ton Othmani :


                    l officiel de la diplomatie marocaine ..

                    Une position maintes fois réitérées par l'Algérie et partagée par le Maroc, qui souhaite épuiser « toutes les solutions pacifiques ».
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                    Commentaire


                    • #11
                      le régime algérien, considère selon le quotidien d’Oran, la présence du Maroc dans ce dossier, comme une atteinte à son statut autoproclamé, de puissance régionale
                      Puissance de carton

                      Commentaire


                      • #12
                        le régime algérien, considère selon le quotidien d’Oran, la présence du Maroc dans ce dossier, comme une atteinte à son statut autoproclamé, de puissance régionale
                        Belle lecture et compréhension des journaux algériens ... le Quotidien d'Oran! là alors.
                        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                        Commentaire


                        • #13
                          les gens ont compris que le régime algerien flippe, ils vont pas l'attendre toute la vie, y a un pays qui attend de recouvrir son integrité territoriale.
                          j'ai plutôt l'impression que tu ne comprend rien a rien
                          Une délégation du MNLA au Quai d'Orsay
                          Nouvel Obs, 22/11/2012 17h18
                          - Une délégation de rebelles touareg du MNLA sera reçue jeudi après-midi à Paris au ministère des Affaires étrangères dans le cadre de la résolution du conflit dans le nord du Mali occupé par des groupes islamistes armés, a annoncé le porte-parole du Quai d'Orsay Philippe Lalliot.

                          Cette rencontre officielle avec des "hauts fonctionnaires" du ministère aura lieu à la demande du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) dont une délégation est arrivée mercredi dans la capitale française, a précisé M. Lalliot lors d'un point de presse.

                          Elle survient alors que Paris est en pointe dans les préparatifs d'une force armée internationale - composée de soldats africains et soutenue par les Occidentaux - devant intervenir avec l'aval de l'ONU dans le nord du Mali pour en chasser les groupes armés islamistes.

                          Ces groupes, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Ansar Dine et le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) contrôlent totalement la partie nord du Mali depuis la fin juin, après en avoir chassé les touareg du MNLA.

                          Le MNLA s'est jusqu'ici opposé au déploiement d'une force internationale, assurant être en mesure de "faire le travail" lui-même, avec l'appui logistique des occidentaux.

                          Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a indiqué jeudi matin que l'ONU allait "donner son feu vert début décembre" à une intervention armée dans le nord du Mali. Mais, a-t-il rappelé, "il faut d'abord reconstituer les forces maliennes et que les pays voisins fournissent des éléments. C'est une affaire qui relève d'abord des Africains".

                          Selon Philippe Lalliot, "le dialogue que soutient la communauté internationale ne peut être envisagé qu'avec les groupes qui renoncent à la violence et acceptent l'intégrité territoriale du Mali".

                          "L'établissement d'un dialogue entre les autorités de Bamako et les groupes non-terroristes du Nord Mali est urgent, au moment où le Conseil de Sécurité des Nations unies, à la demande de l'Union africaine, s'apprête à autoriser le déploiement d'une force africaine", a déclaré le porte-parole français.

                          "Cette rencontre sera pour nous l'occasion de rappeler au MNLA la part d'effort qu'il doit effectuer, en renonçant à sa revendication d'indépendance, pour que la paix soit durablement rétablie au Mali", a-t-il ajouté.

                          Le MNLA et le groupe islamiste armé Ansar Dine ont fait vendredi une offre de dialogue à Bamako pour sortir de la crise.

                          Alors que le MNLA plaide désormais pour une "autodétermination" du nord du Mali, Ansar Dine a de son côté fait d'importantes concessions, annonçant notamment renoncer à imposer dans tout le Mali la charia (loi islamique) - que les islamistes armés appliquent avec une extrême rigueur -, sauf dans son fief du Kidal (nord-est).

                          La Cédéao prête à accorder l'autonomie du Nord-Mali aux rebelles touareg
                          Slateafrique.com, 18h46
                          Quelle sera la place du Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA) dans la bataille contre les groupes armés affiliés à al-Qaida qui contrôlent aujourd’hui le Nord-Mali?

                          «Les fonctionnaires ouest-africains poussent le gouvernement du Mali à offrir aux Touaregs l’autonomie des territoires du nord en échange de leur participation aux combats contre les terroristes liés à al-Qaida» explique ainsi le quotidien britannique le Guardian.


                          La Cédéao (Communauté Economique des Etats d'Afrique de l'Ouest) aurait aussi formulé l’espoir de voir les membres du MNLA convaincre «les membres modérés de l'un des puissants groupes islamistes» (comprenons Ansar Dine) de se joindre à eux dans le combat qui les opposent à Aqmi (al-Qaida au Maghreb Islamique).

                          Le quotidien britannique estime pourtant que si l'octroi d'une autonomie aux Touaregs dans le Nord-Mali devait avoir lieu, cela pourrait favoriser l’émergence d’autres mouvements séparatistes à différents endroits d’Afrique de l’Ouest, et s’inscrirait dans une rupture par rapport aux revendications touareg formulées depuis l’indépendance de 1960.

                          «L'autonomie n’est pas exclue. Mais il doit y avoir un accord solide entre toutes les parties. La priorité est de se débarrasser de tous les terroristes qui n'ont pas le droit d'être (dans le nord du Mali). Lorsque cela sera le cas, l'Etat malien pourra déterminer le cadre dans lequel les conditions de l'autonomie pourraient être accordées» a confié au Guardian un fonctionnaire malien engagé dans les négociations.

                          Des négociations qui risqueront de durer encore longtemps selon le Guardian, estimant que les affrontements entre le MNLA et le Mujao (Mouvement pour l’Unicité du Jihad en Afrique de l’Ouestproche d’al-Qaida) la semaine dernière ont fragilisé une situation déjà précaire.

                          Selon l'un des principaux négociateurs pour la Cédéao, une solution à moyen terme est toutefois envisageable:

                          «L'idée est que, après la libération du nord, le Mali donnera à l'Azawad une certaine autonomie. Le modèle le plus probable est le Niger, où les Touaregs d'Agadez et de Zindar sont semi-autonomes»

                          Il semble malgré cela complexe de pouvoir distinguer dès à présent la valeur de chaque groupe engagé dans les négociations.


                          «C'est une question très, très délicate de savoir qui laisser sur le côté. C'est un mariage de convenance pour le moment, car certains groupes intéressants peuvent travailler avec le gouvernement maintenant, mais se retourner contre eux demain» a ainsi expliqué un diplomate africain, lui aussi engagé dans les pourparlers.

                          La promesse d’une intervention militaire ne débutant pas avant septembre 2013 a en plus alourdi considérablement le contexte de ces négociations.
                          Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                          alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

                          Commentaire


                          • #14
                            la campagne mediatique contre le voisin ..

                            «La présence marocaine aux discussions sur la crise malienne suscite l'hostilité de la part de l'Algérie»

                            Par le quotidien d Oran ..


                            .................................................. ........................................
                            @Dabachi
                            donne la date de cet article du quotidien d Oran ..!
                            Ou bien y a que Mar -kech avait trouvé un conteur au Tahtaha de Djéma3Lafna pour récolter cette info bidon ???
                            Uniquement pour la consommation marocaine qu elle sera médiatise par les marrakchis de Djéma3 Lafna ..
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                            Commentaire


                            • #15



                              Nord-Mali: Une intervention aux buts inavoués


                              Par Kharroubi Habib





                              Comment l'Algérie ne doit pas s'inquiéter d'une intervention militaire à ses frontières dont la France, son ex-puissance colonisatrice, en est l'instigatrice et le Maroc l'un des Etats conviés à participer à ses préparatifs ?


                              L'Algérie ne veut pas de guerre dans son voisinage immédiat. Son hostilité à cet état de choses, elle l'a clairement exprimée. Que ce soit quand les bruits de bottes militaires ont commencé à se faire entendre dans la séquence de la crise libyenne ou maintenant que se profile la perspective d'une intervention armée au Nord-Mali en guise d'aide au gouvernement malien pour récupérer cette région de son pays tombée sous contrôle des groupes armés terroristes et narcotrafiquants. Les craintes qu'elle a exprimées quant aux conséquences néfastes pour la région d'une intervention militaire étrangère dans l'affaire libyenne, n'ont pas été prises en compte par les partisans de cette option. Elles se sont pourtant toutes révélées fondées et si le Sahel est devenu un chaudron explosif, la situation créée en Libye par l'intervention militaire n'y est pas étrangère.
                              Constante dans son opposition au principe de l'intervention militaire étrangère à ses frontières, l'Algérie s'y est opposée encore plus fermement s'agissant de celle qui se prépare pour le nord du Mali. Parce que consciente qu'elle entraînera d'inévitables répercussions sur sa sécurité nationale. Là aussi sa position se heurte à celle des partisans de l'option miliaire dont certains se sont impliqués dans la crise malienne à la poursuite de buts inavoués mais dont les autorités algériennes soupçonnent à juste titre qu'ils sont dangereux pour l'intérêt national du pays et sa stabilité.
                              Comment l'Algérie ne doit pas s'inquiéter d'une intervention militaire à ses frontières dont la France, son ex-puissance colonisatrice, en est l'instigatrice et le Maroc l'un des Etats conviés à participer à ses préparatifs ? Ce royaume voisin aux relations tendues avec l'Algérie n'est pourtant ni un pays du champ, ni membre de la CEDEAO, ni de l'Union africaine. Ceux qui l'ont invité à participer aux discussions sur la crise malienne et aux préparatifs de l'intervention militaire au nord du Mali, ne l'ont pas fait par méconnaissance de ce que la présence marocaine susciterait d'hostilité de la part de l'Algérie. Leur geste fait que non seulement ils ont ignoré ce que l'Algérie prône, à savoir qu'il y a une possibilité de solution à la crise malienne autre que le tout militaire, mais qu'ils ont sciemment offert au Maroc l'opportunité de la prendre à revers à sa frontière sud.
                              L'Algérie s'estime donc directement visée par ce qui s'échafaude souterrainement par le biais de l'intervention annoncée. A bon droit et dans la défense de son intérêt national en s'activant à faire la démonstration que la solution politique à la crise malienne est possible. Ce qu'elle est parvenue à établir en ralliant le MNLA et le groupe armé Ansar Eddine à l'option du dialogue politique avec Bamako. Ne pas tenir compte dans ces conditions de la position et des préconisations algériennes reviendrait à lui signifier qu'il n'est pas tenu compte de son statut de puissance régionale phare concernée par ce qui se passe au Sahel dont elle est frontalière et qui plus est lui montrer que l'on favorise les tentatives du Maroc d'instaurer son influence dans cette zone au détriment de la sienne. Des calculs qui ne présagent rien de bon pour la stabilité de cette région et au delà de celle du nord de l'Afrique où Algérie et Maroc sont en rivalité de leadership et où les situations ne manquent pas qui attiseront le climat conflictuel de leurs relations.


                              Le Quotidien d’Oran

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X