L'un des indicateurs les plus révélateurs du dernier classement mondial de la compétitivité 2012/2013 (publié par le Forum économique mondial) est celui de la qualité des intitutions. Dans le cas de l'Algérie, la qualité des institutions est catastrophique au vu de leur classement: 141 sur 144 pays édudiés (voir tableau ci-dessous). Autrement dit, en matière de qualité des institutions, l'Algérie se retrouve dans "la ligue des pays ratés" comme le Tchad, le Yémen, Haiti...etc. Un facteur qui a fortement plombé la compétitivité de l'Algérie (110ème sur 144).
Un cadre adminstratif et légal inadéquat, une bureaucratie excessive, une corruption galopante, manque de transparence et de confiance, une justice dépendante du pouvoir politique...etc, font que les institutions algériennes sont très médiocres et incapables de jouer leur rôle pour booster le développement économique et d'attirer les investisseurs étrangers en Algérie.
Un cadre adminstratif et légal inadéquat, une bureaucratie excessive, une corruption galopante, manque de transparence et de confiance, une justice dépendante du pouvoir politique...etc, font que les institutions algériennes sont très médiocres et incapables de jouer leur rôle pour booster le développement économique et d'attirer les investisseurs étrangers en Algérie.
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