Il est tombé du ciel
comme une fleur de l’été
Poussée par le vent des alizés
Je n’avais rien sentis,
juste frémis
Dans le ciel de l’été
nul ne peut y aller
Sans s’y bruler
Et pourtant
une effluve familière
un regard point inconnu
Une vérité toute nue qui s’offre
à la douceur de l'été
Souffle mon bel olivier
Apres je te récolterai
Ramassant à la terre
Ce qui fait ta fierté
Je me souris de ton vent
Je repasse lentement
Un souffle d’un instant
Ciel fécond de la nuit
Chasse les ombres qui s’installent
Je souris en pensant
A ce temps tendrement
Il n’y a pas plus beau paysage
Que la pluie un soir d’été
Douce odeur de la terre
qui doucement revit.
morjane
26/07/06
comme une fleur de l’été
Poussée par le vent des alizés
Je n’avais rien sentis,
juste frémis
Dans le ciel de l’été
nul ne peut y aller
Sans s’y bruler
Et pourtant
une effluve familière
un regard point inconnu
Une vérité toute nue qui s’offre
à la douceur de l'été
Souffle mon bel olivier
Apres je te récolterai
Ramassant à la terre
Ce qui fait ta fierté
Je me souris de ton vent
Je repasse lentement
Un souffle d’un instant
Ciel fécond de la nuit
Chasse les ombres qui s’installent
Je souris en pensant
A ce temps tendrement
Il n’y a pas plus beau paysage
Que la pluie un soir d’été
Douce odeur de la terre
qui doucement revit.
morjane
26/07/06
Commentaire