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bonsoir amis du soir,
Pleurer est le refuge des laiderons, mais la ruine des jolies femmes
Les hommes veulent toujours être le premier amour d’une femme. C’est là leur sotte vanité. Nous, femmes, avons de ces choses un instinct plus subtil. Ce qui nous plaît, c’est être le dernier amour d’un homme.
Les hommes ignorent ce dont les femmes sont capables par amour ( allah yahfèd)
-Vous admettrez, que les femmes donnent aux hommes l’or de leur vie.
-C’est possible, mais, invariablement, elles le reprennent en petite monnaie. C’est là l’ennui. Les femmes, comme l’a dit un jour un Français spirituel, nous inspirent le désir de réaliser des chefs-d’œuvre, mais nous empêchent toujours de les mener à bien.
Lord Illingworth : Vingt ans de passion donnent à une femme des allures de ruine, mais vingt ans de mariage font d’elle une sorte de monument public.
Mrs Allonby :Vingt ans de passion! Croyez-vous que cela existe?
Lord Illingworth : Pas de nos jours. Les femmes sont devenues trop spirituelles. Rien de tel pour gâcher une histoire d’amour que le sens de l’humour chez la femme.
(Une femme sans importance)
Nous autre femmes, comme l’a dit quelqu’un, aimons avec nos oreilles, tout comme vous, les hommes, aimez avec vos yeux, s’il vous arrive jamais d’aimer.
(Le Portrait de Dorian Gray)
Je vois que, lorsque les hommes aiment les femmes, ils ne leur donnent qu’un peu de leur vie, mais que les femmes, elles, quand elles aiment, donnent tout.
Les hommes sont capables d’aimer ce qui leur est inférieur- ce qui est indigne, souillé, déshonoré. Nous, les femmes, nous adorons quand nous aimons; et quand nous perdons notre adoration, nous perdons tout.
(Un mari idéal)
Les femmes raffolent du danger! Une femme flirtera avec n’importe qui aussi longtemps que les gens la regarderont.
La seule façon, pour une femme, de parvenir à réformer un homme, c’est de l’ennuyer si profondément qu’il perde tout intérêt à la vie.
Être adoré est assommant. Les femmes nous traitent exactement comme l’humanité traite ses dieux. Elles nous adorent et nous demandent sans cesse de faire quelque chose pour elles.
qu'est ce que vous en pensez ?
Pleurer est le refuge des laiderons, mais la ruine des jolies femmes
Les hommes veulent toujours être le premier amour d’une femme. C’est là leur sotte vanité. Nous, femmes, avons de ces choses un instinct plus subtil. Ce qui nous plaît, c’est être le dernier amour d’un homme.
Les hommes ignorent ce dont les femmes sont capables par amour ( allah yahfèd)
-Vous admettrez, que les femmes donnent aux hommes l’or de leur vie.
-C’est possible, mais, invariablement, elles le reprennent en petite monnaie. C’est là l’ennui. Les femmes, comme l’a dit un jour un Français spirituel, nous inspirent le désir de réaliser des chefs-d’œuvre, mais nous empêchent toujours de les mener à bien.
Lord Illingworth : Vingt ans de passion donnent à une femme des allures de ruine, mais vingt ans de mariage font d’elle une sorte de monument public.
Mrs Allonby :Vingt ans de passion! Croyez-vous que cela existe?
Lord Illingworth : Pas de nos jours. Les femmes sont devenues trop spirituelles. Rien de tel pour gâcher une histoire d’amour que le sens de l’humour chez la femme.
(Une femme sans importance)
Nous autre femmes, comme l’a dit quelqu’un, aimons avec nos oreilles, tout comme vous, les hommes, aimez avec vos yeux, s’il vous arrive jamais d’aimer.
(Le Portrait de Dorian Gray)
Je vois que, lorsque les hommes aiment les femmes, ils ne leur donnent qu’un peu de leur vie, mais que les femmes, elles, quand elles aiment, donnent tout.
Les hommes sont capables d’aimer ce qui leur est inférieur- ce qui est indigne, souillé, déshonoré. Nous, les femmes, nous adorons quand nous aimons; et quand nous perdons notre adoration, nous perdons tout.
(Un mari idéal)
Les femmes raffolent du danger! Une femme flirtera avec n’importe qui aussi longtemps que les gens la regarderont.
La seule façon, pour une femme, de parvenir à réformer un homme, c’est de l’ennuyer si profondément qu’il perde tout intérêt à la vie.
Être adoré est assommant. Les femmes nous traitent exactement comme l’humanité traite ses dieux. Elles nous adorent et nous demandent sans cesse de faire quelque chose pour elles.
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