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Le correspondant du quotidien Liberté à Annaba B.Badis a fait l’objet aujourd’hui lundi de menaces de mort lors d’une opération de démolition d’un bidonville en plein centre de Berrahal, 30Km du chef lieu de wilaya.
C’est parce qu’il a dénoncé des constructions sauvages dans cette commune où il réside que des individus occupant ce lieu illicite ont tenté de l’intimider en proférant à son encontre et sa famille des menaces de mort. « J’étais aujourd’hui en couverture de l’évènement lorsque cinq individus inconnus m’ont traité de tous les noms allant jusqu’à me menacer de mort avec ma famille » se plaint le journaliste du quotidien Liberté qui a aussitôt déposé une plainte auprès de la sureté de daïra de Berrahal.
Qualifiée de capitale de l’insécurité, cette dernière qui abrite une zone industrielle est très influencée par le pouvoir de l’argent. Bien qu’ordonnée personnellement par le wali, cette opération de démolition n’a pas eu lieu et le P/APC, selon des sources proches du service technique de la commune, a failli à sa mission en évitant de signer la réquisition de la force publique et bloqué les engins mobilisés pour l’opération.
Pis, parmi les occupants des habitations illicites figure un employé de la DUC de Berrahal qui semble être à l’origine de toute cette anarchie. Les autorités locales et les services de sécurité sont appelés à situer les responsabilités dans cette énième atteinte à la liberté d’expression.
Par Gaidi Mohamed Faouzi - El Watan.
C’est parce qu’il a dénoncé des constructions sauvages dans cette commune où il réside que des individus occupant ce lieu illicite ont tenté de l’intimider en proférant à son encontre et sa famille des menaces de mort. « J’étais aujourd’hui en couverture de l’évènement lorsque cinq individus inconnus m’ont traité de tous les noms allant jusqu’à me menacer de mort avec ma famille » se plaint le journaliste du quotidien Liberté qui a aussitôt déposé une plainte auprès de la sureté de daïra de Berrahal.
Qualifiée de capitale de l’insécurité, cette dernière qui abrite une zone industrielle est très influencée par le pouvoir de l’argent. Bien qu’ordonnée personnellement par le wali, cette opération de démolition n’a pas eu lieu et le P/APC, selon des sources proches du service technique de la commune, a failli à sa mission en évitant de signer la réquisition de la force publique et bloqué les engins mobilisés pour l’opération.
Pis, parmi les occupants des habitations illicites figure un employé de la DUC de Berrahal qui semble être à l’origine de toute cette anarchie. Les autorités locales et les services de sécurité sont appelés à situer les responsabilités dans cette énième atteinte à la liberté d’expression.
Par Gaidi Mohamed Faouzi - El Watan.