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BEJAIA - Le port de Béjaïa a marqué un nouveau record de croissance, en traitant, en 10 mois d’activité, 16,066 millions de tonnes de marchandises, contre 10,781 millions de tonnes à la même période de 2011, soit une évolution de 49,01 %, indique un bilan de l’entreprise portuaire de Béjaïa (EPB), arrêté au 31 octobre dernier.
Ce record a été favorisé autant par l’augmentation du trafic de marchandises général, qui passe de 3,5 à 8,2 millions de tonnes que par celui des hydrocarbures, qui s’est établi à 7,8 millions de tonnes contre 3,1 millions de tonnes à la même période de 2011.
Cette jauge, jamais atteinte, laisse augurer un record historique à la fin de l’année avec des prévisions de l’ordre de 10 millions de tonnes pour les marchandises générales et plus de 8 millions de tonnes pour les hydrocarbures, a-t-on précisé.
En fait, tous les indicateurs se sont, quasiment, inscrits en hausse. Hormis les céréales, et quelques biens agricoles importés, siège d’un léger fléchissement, tous les autres produits ont connu une évolution. C’est le cas des minerais et produits métallurgiques, notamment les métaux ferreux (+18,91 %). C’est aussi le cas des matériaux de construction, notamment le ciment, dont le niveau d’importation a sextuplé (326.000 tonnes contre 56.000) ou encore les engrais et produits chimiques (+14,18%), a-t-on souligné.
Cette forte progression (hors hydrocarbures) du trafic a été réalisée, essentiellement par les opérations au débarquement. A l’embarquement (exportation), le trafic reste modeste, avec un volume inférieur à 500.000 tonnes, apanage pour l’essentiel de produits alimentaires, notamment le sucre (209.400 tonnes), les oléagineux (23.480 tonnes) et les marchandises diverses (215.436 tonnes).
Le trafic conteneurs, durant cette période, a pour sa part connu une croissance à deux chiffres, estimée à 19,72 %, comparativement à la même période en 2011.
190.601 boites EVP (équivalent vingt pieds) ont été manutentionnées, soit un volume de marchandises conteneurisées de 1,311 millions de tonnes.
APS
Ce record a été favorisé autant par l’augmentation du trafic de marchandises général, qui passe de 3,5 à 8,2 millions de tonnes que par celui des hydrocarbures, qui s’est établi à 7,8 millions de tonnes contre 3,1 millions de tonnes à la même période de 2011.
Cette jauge, jamais atteinte, laisse augurer un record historique à la fin de l’année avec des prévisions de l’ordre de 10 millions de tonnes pour les marchandises générales et plus de 8 millions de tonnes pour les hydrocarbures, a-t-on précisé.
En fait, tous les indicateurs se sont, quasiment, inscrits en hausse. Hormis les céréales, et quelques biens agricoles importés, siège d’un léger fléchissement, tous les autres produits ont connu une évolution. C’est le cas des minerais et produits métallurgiques, notamment les métaux ferreux (+18,91 %). C’est aussi le cas des matériaux de construction, notamment le ciment, dont le niveau d’importation a sextuplé (326.000 tonnes contre 56.000) ou encore les engrais et produits chimiques (+14,18%), a-t-on souligné.
Cette forte progression (hors hydrocarbures) du trafic a été réalisée, essentiellement par les opérations au débarquement. A l’embarquement (exportation), le trafic reste modeste, avec un volume inférieur à 500.000 tonnes, apanage pour l’essentiel de produits alimentaires, notamment le sucre (209.400 tonnes), les oléagineux (23.480 tonnes) et les marchandises diverses (215.436 tonnes).
Le trafic conteneurs, durant cette période, a pour sa part connu une croissance à deux chiffres, estimée à 19,72 %, comparativement à la même période en 2011.
190.601 boites EVP (équivalent vingt pieds) ont été manutentionnées, soit un volume de marchandises conteneurisées de 1,311 millions de tonnes.
APS