Les entreprises italiennes sont "prêtes" à s’installer en Algérie à travers des partenariats avec les opérateurs algériens afin de donner "une impulsion nouvelle à la coopération économique entre les deux pays", a indiqué mardi l’ambassadeur d’Italie en Algérie, Michele Giacomelli.
"Nous voulons lancer des partenariats profitables aux deux parties. Il y a de grandes opportunités d’investissement dans ce domaine où les entreprises italiennes vont apporter leurs savoir-faire et maîtrise des technologies", a ajouté M. Giaciomelli, lors d’un workshop sur l’industrie plastique, à Alger.
Pour sa part, le directeur du Bureau pour la promotion des échanges de l’ambassade d’Italie (ICE) à Alger, Guiseppe Agostinacchio, a affirmé que le marché algérien intéressait "fortement" les entreprises italiennes qui sont "en quête de partenariat pour s’y installer".
"Quelque 160 entreprises italiennes sont présentes en Algérie depuis quelques années, mais nous tenons encore à renforcer notre position et donner un nouveau souffle au développement de cette filière", a-t-il ajouté.
Jugeant la règle 51/49%, régissant l’investissement étranger de "pénalisante" pour cette filière, M. Agostinacchio a indiqué, en outre, que les opérateurs italiens vont "tenter de s’adapter, d’autant que la dernière loi de finances comporte des dispositions favorisant les investissements directs étrangers (IDE)".
Plus d’une soixantaine de chefs d’entreprises algériennes spécialisées publiques et privées ont pris part à cet atelier afin de découvrir les récentes innovations technologiques et tenter de créer des partenariats dans ce créneau.
2.200 entreprises algériennes exercent dans cette filière industrielle selon des données officielles.
Salima B. 28.11.2012
"Nous voulons lancer des partenariats profitables aux deux parties. Il y a de grandes opportunités d’investissement dans ce domaine où les entreprises italiennes vont apporter leurs savoir-faire et maîtrise des technologies", a ajouté M. Giaciomelli, lors d’un workshop sur l’industrie plastique, à Alger.
Pour sa part, le directeur du Bureau pour la promotion des échanges de l’ambassade d’Italie (ICE) à Alger, Guiseppe Agostinacchio, a affirmé que le marché algérien intéressait "fortement" les entreprises italiennes qui sont "en quête de partenariat pour s’y installer".
"Quelque 160 entreprises italiennes sont présentes en Algérie depuis quelques années, mais nous tenons encore à renforcer notre position et donner un nouveau souffle au développement de cette filière", a-t-il ajouté.
Jugeant la règle 51/49%, régissant l’investissement étranger de "pénalisante" pour cette filière, M. Agostinacchio a indiqué, en outre, que les opérateurs italiens vont "tenter de s’adapter, d’autant que la dernière loi de finances comporte des dispositions favorisant les investissements directs étrangers (IDE)".
Plus d’une soixantaine de chefs d’entreprises algériennes spécialisées publiques et privées ont pris part à cet atelier afin de découvrir les récentes innovations technologiques et tenter de créer des partenariats dans ce créneau.
2.200 entreprises algériennes exercent dans cette filière industrielle selon des données officielles.
Salima B. 28.11.2012
Commentaire