MAROC: Déficit commercial 19 milliards de dollars à fin octobre 2012

[MEK]

Le déficit commercial du maroc s’est aggravé de 10 % à fin octobre 2012 à cause principalement de l’augmentation des importations qui ont totalisé plus de 313,95 milliards de dirhams (36,4 milliards de dollars), alors que les exportations ont représenté 150,048 milliards de dirhams.

Le solde commercial est déficitaire de 163,9 milliards de dirhams (19,03. Dix-neuf milliards trente et un millions de dollars), contre un déficit de 148,9 milliards de dirhams (17,28. Dix-sept milliards deux cent quatre-vingt-neuf millions) à fin octobre 2011, soit une aggravation importante de 10 % ou de 14,93 milliards de dirhams.

Cette accentuation du déficit est due à une augmentation des importations énergétiques de 14,7 %, représentant une hausse de 10,95 milliards de dirhams. Le taux de couverture s’établit à 47,8 % contre 49,4 % à fin octobre 2011.


Mohamed HAFIDI

[absent]

Le Maroc va droit au mur avec une économie dictée par les discours mensongers de Mohamed6.

On ne comprend pas pourquoi un pays qui se trouve a quelques kms de l'Europe qui est le foyer de la renaissance n'a jamais été influencé par ces grands évenements et mutations mondiaux alors que des pays comme le Japon ou Sangapour qui se trouvaient a des milliers de KMs de l'Europe ont bien bénéficié du développement industriel et économique.

[haddou]

On ne comprend pas pourquoi un pays qui se trouve a quelques kms de l'Europe et le foyer de la renaissance n'a jamais été influencé par ces grands évenements et mutations mondiaux alors que des pays comme le Japon ou Sangapour qui se trouvaient a des milliers de KMs de l'Europe ont bien bénéficié du développement industriel et économique.

PAR YARMORACEN

PARCE QUE LE JAPON A FAIT SA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE APRÈS LE RETOUR DE SES ÉTUDIANTS DES PAYS OCCIDENTAUX ,QUI ONT ACQUIS LE SAVOIR ,C’ÉTAIT L’ÈRE MEIJI, PAR CONTRE CHEZ NOUS ,LES ÉTUDIANTS ENVOYÉS ONT ÉTÉ IGNORES ET TRAITES DE MÉCRÉANTS PAR LES OULÉMAS EN 1894 ,

[Aldo Johnson]

C'est alertant pour l'etat mais pour le marocain lambda ca change rien à sa vie.
Ils sont habitués à la crise et on connu des temps beaucoup plus dure que cette crise economique.
Ils ont appris à ne pas demander grand chose et vivre de peu.
Le marocain le matin tu lui donnes du pain de l'huile d'olive un verre de thé qq cigarettes il est content il a pas besoin de grand chose.
C'est l'une des forces de ce pays et qu'importe l'atmosphere eco cela change pas grand chose pr la majorité des marocains Ils ont appris depuis longtemps à se serrer la ceinture

[Cell]

Le CSTNVPM fait bien son boulout à ce que je vois

continuez comme ca c'est bien

CSTNVPM : comité de Suivi de Tout ce qui Ne Vas Pas au Maroc

[Alryib3]

Et la balance des paiements? Quel est son déficit?

Cell: c'est ridicule. Parler de la situation économique du Maroc équivaut à dénigrer le Maroc maintenant?

[djet 7]

Meme la gande Turquie ,immense empire et en europe ,a rater lamentablement ,la renaissance et la revolution industrielle,pourqu'oi ,?s'a n'arrive qu'aux musulmans(désolé pour le HS)

[okba30]

Au lieu de descendre, en 2012 le déficit a augmenté à 10% du PIB, les prévisions 2013 seront dures à atteindre.

Le Maroc veut ramener son déficit public à 4,8 % du PIB en 2013

Le gouvernement marocain a indiqué hier qu’il avait pour objectif de ramener le déficit public à 4,8 % du produit intérieur brut (PIB) en 2013, contre 6,1 % en 2011, et qu’il tablait sur un taux de croissance de 4,5 % dans l’élaboration du prochain budget.
Le projet de loi de finances 2013, en cours de réalisation, « table sur un taux de croissance de 4,5 % », a déclaré le ministre de l’Économie et des Finances, Nizar Baraka, dans un long entretien à l’agence de presse MAP. « Dans une logique d’efficience, de rationalisation et d’amélioration de l’efficacité de la dépense publique », le but est « de réduire le déficit budgétaire à 4,8 % en 2013 contre 6,1 % en 2011 », a ajouté M. Baraka.



Après avoir enregistré pendant plusieurs années des taux de croissance de 4 à 5 %, le Maroc devra se contenter en 2012 d’une hausse du PIB inférieure à 3 %, selon des prévisions d’organismes officiels.
Le ministre a par ailleurs abordé les grandes pistes du gouvernement pour soutenir l’emploi, alors que la Banque mondiale (BM) a appelé Rabat à prendre « très au sérieux » le chômage des jeunes, qui atteint environ 30 %. Dans une logique de « diversification productive », le gouvernement veut développer « des secteurs à forte valeur ajoutée », telles « l’industrie pharmaceutique, la chimie et parachimie », ou encore « l’industrie mécanique ». Il a également marqué la volonté de « maintenir un effort de recrutement au niveau de la Fonction publique dans le cadre du projet de loi de finances 2013 ».

(L’Orient-Le Jour)