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AU VUE DE CES ARTICLES
je suis tres séptique et je pense que ces fausses études ONT ETES DIRIGEES POUR PROPAGER LE VIRUS DU SIDA DANS LE MONDE MUSULMAN!
Rien que cela- UNE SORTE DE DESTRUCTION MASSIVE AVEC LE TEMPS.
A mon avis tant qu aucune étude n a été faite DANS NOS HOPITAUX ICI Meme
je suis tres séptique et je pense que ces fausses études ONT ETES DIRIGEES POUR PROPAGER LE VIRUS DU SIDA DANS LE MONDE MUSULMAN!
Rien que cela- UNE SORTE DE DESTRUCTION MASSIVE AVEC LE TEMPS.
A mon avis tant qu aucune étude n a été faite DANS NOS HOPITAUX ICI Meme
AU VUE DE CES ARTICLES
je suis tres séptique et je pense que ces fausses études ONT ETES DIRIGEES POUR PROPAGER LE VIRUS DU SIDA DANS LE MONDE MUSULMAN!
Rien que cela- UNE SORTE DE DESTRUCTION MASSIVE AVEC LE TEMPS.
A mon avis tant qu aucune étude n a été faite DANS NOS HOPITAUX ICI Meme il ne faudrait pas croire ce genre de mesure de propagation du sida dans nos pays
La circoncision pour lutter contre le sida ?
22/07/2011
Un nouvel espoir point dans le monde de la santé, et en particulier dans la lutte contre le SIDA.
Une équipe de chercheurs vient de confirmer les bénéfices de la circoncision dans la prévention contre le virus.
Un optimisme fondé sur des études valides
Cette affirmation s'appuie sur les résultats de plusieurs études menées en Afrique du Sud, dont une de grande ampleur. Toutes s’accordent sur le fait que la circoncision diminue le risque de contamination d’environ 60%.
Selon Bertrand Auvert, responsable de l’étude effectuée de 2007 à 2010 sur 20 000 hommes circoncis, « c'est un espoir dans notre lutte contre cette infection. Réduire le nombre de nouvelles infections va réduire les décès dus au SIDA mais aussi les besoins en traitements antirétroviraux ».
La circoncision : une solution efficace
Cet engouement, exprimé lors de la conférence internationale sur le Sida, paraît justifié en termes de coût, et de mortalité.
En effet, la circoncision, qui consiste en l'ablation du prépuce, nécessite une intervention qui ne dure qu'une vingtaine de minutes, et ne coûte que 40 euros.
Si l’on applique la circoncision de façon plus vaste dans les pays fortement contaminés, le nombre de nouvelles personnes infectées pourra être divisé par deux.
Cette baisse d’envergure de l’infection devrait rebondir, indirectement, tôt ou tard sur les femmes.
La balle est dans le camp des politiques
Fort de ces résultats, Bertrand Auvert lance un appel aux autorités : « Cette étude montre enfin que la généralisation de la circoncision devrait être une priorité de santé publique en Afrique australe et de l'Est et qu'un engagement politique fort est nécessaire ».
Le préservatif reste essentiel
Cependant, un bémol a été prononcé à plusieurs reprises lors de la conférence internationale sur le Sida. Le risque de telles pratiques serait d’omettre les techniques de prévention habituelles contre le Sida.
Ainsi, cette découverte forte heureuse ne doit pas faire reconsidérer l’intérêt du préservatif... bien au contraire. Aux moyens de prévention déjà connus, la circoncision devra être intégrée comme aide complémentaire.
Auteur : Ada Picard
Source :
Communiqué de presse du 20 juillet 2011, Le programme de circoncision masculine à Orange Farm en Afrique du Sud (étude ANRS 12126) ralentit fortement l’infection des hommes par le VIH, ANRS (Agence Nationale de Recherche sur le Sida et les hépatites virales).
je suis tres séptique et je pense que ces fausses études ONT ETES DIRIGEES POUR PROPAGER LE VIRUS DU SIDA DANS LE MONDE MUSULMAN!
Rien que cela- UNE SORTE DE DESTRUCTION MASSIVE AVEC LE TEMPS.
A mon avis tant qu aucune étude n a été faite DANS NOS HOPITAUX ICI Meme il ne faudrait pas croire ce genre de mesure de propagation du sida dans nos pays
La circoncision pour lutter contre le sida ?
22/07/2011
Un nouvel espoir point dans le monde de la santé, et en particulier dans la lutte contre le SIDA.
Une équipe de chercheurs vient de confirmer les bénéfices de la circoncision dans la prévention contre le virus.
Un optimisme fondé sur des études valides
Cette affirmation s'appuie sur les résultats de plusieurs études menées en Afrique du Sud, dont une de grande ampleur. Toutes s’accordent sur le fait que la circoncision diminue le risque de contamination d’environ 60%.
Selon Bertrand Auvert, responsable de l’étude effectuée de 2007 à 2010 sur 20 000 hommes circoncis, « c'est un espoir dans notre lutte contre cette infection. Réduire le nombre de nouvelles infections va réduire les décès dus au SIDA mais aussi les besoins en traitements antirétroviraux ».
La circoncision : une solution efficace
Cet engouement, exprimé lors de la conférence internationale sur le Sida, paraît justifié en termes de coût, et de mortalité.
En effet, la circoncision, qui consiste en l'ablation du prépuce, nécessite une intervention qui ne dure qu'une vingtaine de minutes, et ne coûte que 40 euros.
Si l’on applique la circoncision de façon plus vaste dans les pays fortement contaminés, le nombre de nouvelles personnes infectées pourra être divisé par deux.
Cette baisse d’envergure de l’infection devrait rebondir, indirectement, tôt ou tard sur les femmes.
La balle est dans le camp des politiques
Fort de ces résultats, Bertrand Auvert lance un appel aux autorités : « Cette étude montre enfin que la généralisation de la circoncision devrait être une priorité de santé publique en Afrique australe et de l'Est et qu'un engagement politique fort est nécessaire ».
Le préservatif reste essentiel
Cependant, un bémol a été prononcé à plusieurs reprises lors de la conférence internationale sur le Sida. Le risque de telles pratiques serait d’omettre les techniques de prévention habituelles contre le Sida.
Ainsi, cette découverte forte heureuse ne doit pas faire reconsidérer l’intérêt du préservatif... bien au contraire. Aux moyens de prévention déjà connus, la circoncision devra être intégrée comme aide complémentaire.
Auteur : Ada Picard
Source :
Communiqué de presse du 20 juillet 2011, Le programme de circoncision masculine à Orange Farm en Afrique du Sud (étude ANRS 12126) ralentit fortement l’infection des hommes par le VIH, ANRS (Agence Nationale de Recherche sur le Sida et les hépatites virales).
ANTE – Selon l’OMS cette intervention permettrait de réduire…
La circoncision serait un moyen efficace de lutter contre le sida. Elle permettrait de réduire la transmission sexuelle du virus, selon des experts dont les recommandations ont été rendues publiques, mercredi par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS ) et l'Onusida .
«Ces recommandations représentent un pas en avant dans la prévention du VIH, a déclaré le Dr Kevin De Cock, directeur du département du VIH/SIDA à l'OMS. Néanmoins, il faudra attendre quelques années pour observer un effet positif de cet investissement sur l'épidémie.»
Etudes en Afrique
Selon trois études conduites en Afrique, au Kenya, en Ouganda et en Afrique du Sud, la circoncision divise au moins par deux (-60%) les risques d'infection par le virus du sida (VIH). Elle devrait surtout être utile dans les zones d'hyperendémie, c'est-à-dire là où la fréquence de l'infection dans la population générale dépasse 15%, avec une propagation du virus principalement hétérosexuelle, et où plus de 80% des hommes ne sont pas circoncis.
Des millions de vies pourraient ainsi être sauvées, en particulier en Afrique Noire, si la circoncision se généralisait, affirment l'OMS et l'agence spécialisée pour le sida des Nations unies.
Une projection optimiste à condition de renforcer les services de santé et l’accompagnement médical dans les pays concernés. La phase de cicatrisation après une circoncision étant capitale pour en tirer les bénéfices, les experts préconisent de «s'abstenir de tout rapport sexuel pendant au moins six semaines après l'intervention».
Une prévention parmi d’autres
Certaines questions restent en suspens. Ainsi, on ignore si la circoncision réduit la transmission du VIH de l'homme à la femme, même si à terme une réduction de la proportion d'hommes infectés devrait diminuer pour les femmes la probabilité d'être contaminées.
Enfin, l’OMS insiste sur deux points: la circoncision atténue la transmission du virus, mais n’assure pas une protection à 100%. Il est donc nécessaire de poursuivre l’utilisation du préservatif et de recourir au dépistage en cas de doute
Sa. C. avec AFP
La circoncision serait un moyen efficace de lutter contre le sida. Elle permettrait de réduire la transmission sexuelle du virus, selon des experts dont les recommandations ont été rendues publiques, mercredi par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS ) et l'Onusida .
«Ces recommandations représentent un pas en avant dans la prévention du VIH, a déclaré le Dr Kevin De Cock, directeur du département du VIH/SIDA à l'OMS. Néanmoins, il faudra attendre quelques années pour observer un effet positif de cet investissement sur l'épidémie.»
Etudes en Afrique
Selon trois études conduites en Afrique, au Kenya, en Ouganda et en Afrique du Sud, la circoncision divise au moins par deux (-60%) les risques d'infection par le virus du sida (VIH). Elle devrait surtout être utile dans les zones d'hyperendémie, c'est-à-dire là où la fréquence de l'infection dans la population générale dépasse 15%, avec une propagation du virus principalement hétérosexuelle, et où plus de 80% des hommes ne sont pas circoncis.
Des millions de vies pourraient ainsi être sauvées, en particulier en Afrique Noire, si la circoncision se généralisait, affirment l'OMS et l'agence spécialisée pour le sida des Nations unies.
Une projection optimiste à condition de renforcer les services de santé et l’accompagnement médical dans les pays concernés. La phase de cicatrisation après une circoncision étant capitale pour en tirer les bénéfices, les experts préconisent de «s'abstenir de tout rapport sexuel pendant au moins six semaines après l'intervention».
Une prévention parmi d’autres
Certaines questions restent en suspens. Ainsi, on ignore si la circoncision réduit la transmission du VIH de l'homme à la femme, même si à terme une réduction de la proportion d'hommes infectés devrait diminuer pour les femmes la probabilité d'être contaminées.
Enfin, l’OMS insiste sur deux points: la circoncision atténue la transmission du virus, mais n’assure pas une protection à 100%. Il est donc nécessaire de poursuivre l’utilisation du préservatif et de recourir au dépistage en cas de doute
Sa. C. avec AFP