Récemment élu par le Guinness book des records homme possédant les plus gros bras au monde, Moustapha Ismail se bat pour sauvegarder sa réputation. Ses bras d'une circonférence de presque 80 cm ne sont pas le résultat de prises répétées de stéroïdes.
Moustafa Ismail, un culturiste du Massachusetts d'origine égyptienne, possède les bras les plus gros du monde selon le Guinness des Records. Ce bodybuildeur, que l'on surnomme "le Popeye égyptien", mange plus de trois kilos de protéine (de la volaille, des fruits de mer et du lait frappé entre autres), quatre kilos de glucides et boit onze litres d'eau chaque jour pour entretenir ses bras qui mesurent 78 centimètres de circonférence.
Certains pensent qu'il se dope
Mais une controverse a suivi ce titre. De nombreuses personnes ont accusé Moustafa Ismail d'utiliser des stéroïdes ou d'autres méthodes artificielles de dopage pour avoir des biceps et des triceps aussi gros. Mais ce dernier insiste pour dire qu'ils sont entièrement naturels et que c'est le résultat d'un régime spécial et de séances d'entraînement intensives. Dans les colonnes du Huffington Post, il déclare : "La critique est une forme de motivation pour moi, ce n'est pas quelque chose qui va me poser problème."
"Je déteste les épinards"
Moustapha Ismail, 24 ans, s’entraîne quotidiennement à Milford dans la banlieue de Boston. Mais contrairement au personnage du dessin animé Popeye, il aime "le poulet, le bœuf, mais déteste les épinards". Le culturiste a commencé à travailler ses muscles dans sa ville natale égyptienne d'Alexandrie avant son déménagement aux États-Unis en 2007 et son installation à Franklin, au sud-ouest de Boston. Son obsession pour la musculation a commencé au mariage de son oncle quand un invité s'est moqué de son embonpoint.
Il a alors décidé de tout mettre en œuvre pour sculpter son corps. Pour payer son adhésion à la salle de musculation et ses produits diététiques, il avait deux jobs dans une station-service. Mais ce dernier a dû renoncer à l'un d'eux car sa femme considérait qu'il faisait beaucoup trop d'efforts et qu'il était en train de s'épuiser. Précisons que la jeune femme ne s'appelle pas Olive...
Source: Huffingtonpost.ca
Moustafa Ismail, un culturiste du Massachusetts d'origine égyptienne, possède les bras les plus gros du monde selon le Guinness des Records. Ce bodybuildeur, que l'on surnomme "le Popeye égyptien", mange plus de trois kilos de protéine (de la volaille, des fruits de mer et du lait frappé entre autres), quatre kilos de glucides et boit onze litres d'eau chaque jour pour entretenir ses bras qui mesurent 78 centimètres de circonférence.
Certains pensent qu'il se dope
Mais une controverse a suivi ce titre. De nombreuses personnes ont accusé Moustafa Ismail d'utiliser des stéroïdes ou d'autres méthodes artificielles de dopage pour avoir des biceps et des triceps aussi gros. Mais ce dernier insiste pour dire qu'ils sont entièrement naturels et que c'est le résultat d'un régime spécial et de séances d'entraînement intensives. Dans les colonnes du Huffington Post, il déclare : "La critique est une forme de motivation pour moi, ce n'est pas quelque chose qui va me poser problème."
"Je déteste les épinards"
Moustapha Ismail, 24 ans, s’entraîne quotidiennement à Milford dans la banlieue de Boston. Mais contrairement au personnage du dessin animé Popeye, il aime "le poulet, le bœuf, mais déteste les épinards". Le culturiste a commencé à travailler ses muscles dans sa ville natale égyptienne d'Alexandrie avant son déménagement aux États-Unis en 2007 et son installation à Franklin, au sud-ouest de Boston. Son obsession pour la musculation a commencé au mariage de son oncle quand un invité s'est moqué de son embonpoint.
Il a alors décidé de tout mettre en œuvre pour sculpter son corps. Pour payer son adhésion à la salle de musculation et ses produits diététiques, il avait deux jobs dans une station-service. Mais ce dernier a dû renoncer à l'un d'eux car sa femme considérait qu'il faisait beaucoup trop d'efforts et qu'il était en train de s'épuiser. Précisons que la jeune femme ne s'appelle pas Olive...
Source: Huffingtonpost.ca
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