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IBM s’intéresse au secteur bancaire algérien

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  • IBM s’intéresse au secteur bancaire algérien

    IBM (International Business Machines) s’intéresse au marché bancaire algérien. C’est ce qu’a affirmé Hamid Djaballah, Manager General d’IBM Algérie, lundi matin, lors d’une rencontre avec des journalistes à l’hôtel Sofitel d’Alger. « On est près à travailler dès cet après-midi » sur ce qui touche aux banques algériennes a-t-il affirmé tout en précisant « je souhaiterai qu’on aille plus vite (…) nous demandons d’être sollicité ». Une offre de service qui survient quatre jours après les déclarations du premier ministre. Abdelmalek Sellal avait chargé le gouverneur de la banque d’Algérie et l’ensemble des banques « de proposer, mais surtout de mettre en œuvre immédiatement un nouveau règlement qui permettra de fluidifier le système bancaire et des facilitations en termes d’octroi de crédits et de gestion quotidienne».Dans cette optique Hamid Djaballah demande de hâter « les mouvements d’accélération de rénovation du système bancaire » après avoir constaté qu’« il y a un besoin et les solutions existent».

    Le numéro un d’IBM Algérie est d’autant à l’aise d’aborder le sujet puisqu’il a connu le monde des banques bien avant qu’il ne prenne son poste à Alger en mars dernier. Il a ainsi rappelé qu’il a eu à gérer le portefeuille d’une banque pendant 7 ans quand il était ingénieur consultant à Paris tout en lançant « la banque est dans les gênes d’IBM ».Les ambitions de la multinationale pour le marché algérien concernent d’autres secteurs également. En plus du secteur bancaire, Hamid Djaballah a cité les transports, l’énergie, et l’industrie en mentionnant avec assurance qu’« en termes de technologie nous restons numéro un ».

    Toutefois une question s’impose : le fait qu’IBM n’ait qu’un bureau de liaison en Algérie (ouvert en 2007) n’est il pas un signe de « désintéressement » ? Pour le Manager général cela ne pose aucun problème « notre taille est élastique ». Il affirma que « toutes les ressources » de la maison mère sont à la disposition du bureau d’Alger et que ça ne dépend que de l’importance des projets « s’il faut ramener 150 experts sur le terrain alors on va les déployer ». La rénovation du système bancaire algérien se fera-t-elle en collaboration avec IBM ?Sur ses activités « concrètes » d’IBM Algérie, Hamdi Djaballah exposa quelques exemples. Il évoquera un projet « mixte avec une entreprise de l’Ouest » qu’il n’a pas voulu cité « et dans lequel 8 à 9 experts interviennent aujourd’hui ».Par ailleurs l’essentiel des actions de la multinationale semble concentré sur le monde de la recherche universitaire « notre objectif est de renforcer les synergies entre recherche, innovation et création de valeur pour répondre aux grands enjeux de la société et permettre une étroite collaboration autour des projets de recherche ».
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

  • #2
    IBM s’intéresse au secteur bancaire algérien

    Tant mieux.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #3
      Pratiquement toutes les banques algériennes, publiques et privées, utilisent des serveurs IBM pour leurs opérations de Core-Banking.

      La question du bureau de liaison est pertinente. Si IBM veut se développer davantage en Algérie, il faut qu’elle crée une filiale comme dans les autres pays voisins d’autant que le marché algérien est plus important.
      Dernière modification par shadok, 29 novembre 2012, 23h55.
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #4
        ...

        il y a une liaison qualifiée juste en face, question posée, cela peut prétendre des échanges plus rapides et moins coûteux, réponse logique, à savoir si toutefois il n'est pas déjà des écrans de bonnes mesures pour former quelques assistances à distance, un traitement téléphonique n'a pas toujours suffit des progrès, encore et toujours de s'appliquer des mobiles et des modèles, tactiles et réduits...

        Salam, merci...
        ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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        • #5
          Envoyé par shadok
          La question du bureau de liaison est pertinente. Si IBM veut se développer davantage en Algérie, il faut qu’elle crée une filiale comme dans les autres pays voisins d’autant que le marché algérien est plus important.
          C'est déjà le cas depuis 5 ans.

          Pour rappel c'est toi qui avait posté l'info sur ce forum en 2007.

          http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=49552

          ∑ (1/i²) = π²/6
          i=1

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          • #6
            IBM, Microsoft, Oracle, Unix...on peut avoir autant de noms avec pignon sur rue mais la question est : y a t il une véritable volonté de doter le pays de NTIC pour contribuer à une bonne gouvernance?

            l'informatisation est une arme à double tranchant, aider à la gestion mais aussi un outil de transparence et c'est peut être cette aspect qui peut déranger et que de 5 ans en 5 ans on se retrouve à la même place.

            si on veut VRAIMENT aller de l'avant avec les NTIC, c'est des dizaines de milliers d'emplois directs et indirects oui on peut commencer avec les COTS pour diminuer les risques, pour commencer, puis une fois la culture acquise, aller avec du développement local. je l’espère de tout coeur.
            Dernière modification par rouge et or, 30 novembre 2012, 05h47.

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