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CONSEIL DES DROITS DE L'HOMME DE L'ONU Le Maroc indésirable!

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  • CONSEIL DES DROITS DE L'HOMME DE L'ONU Le Maroc indésirable!

    CONSEIL DES DROITS DE L'HOMME DE L'ONU

    Le Maroc indésirable!


    Par Mohamed TOUATI - Mercredi 05 Decembre 2012 -

    Le vrai visage d'un royaume aux abois
    Epinglé à plusieurs reprises sur la question du respect des droits de l'homme, pris en flagrant délit en ce qui concerne la pratique de la torture, le Makhzen vient d'être sanctionné de façon retentissante.
    Les portes du Conseil des droits de l'homme de l'Organisation des Nations unies sont restées fermées pour le Royaume alaouite. Sa demande d'admission a été rejetée. Plus qu'un échec pour la diplomatie marocaine: une claque! Les rapports du Centre Robert Kennedy pour la justice et les droits de l'homme (RFK Center) dont une délégation a séjourné au Sahara occidental et dans les camps de réfugiés sahraouis du 25 au 31 août et du rapporteur spécial de l'ONU sur la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui s'est rendu au Maroc et au Sahara occidental entre les 15 et 22 septembre 2012, qui ont fait état de la pratique de la torture, ne sont pas restés lettre morte. Comme des témoins à charge dont les dépositions ne souffrent aucune contestation, ils ont joué un rôle de premier plan dans la décision de l'institution internationale.
    Le document du RFK Center avait recensé des cas de disparition, de torture, de détention arbitraire, de menaces, d'exécutions extrajudiciaires... par les forces d'occupation marocaines. Le rapporteur spécial de l'ONU avait, quant à lui, évoqué des «témoignages crédibles faisant état de pressions physiques et mentales excessives sur des détenus au cours d'interrogatoires». «Il ne devrait pas être surprenant que des actes équivalant à la torture soient commis à l'occasion d'événements particulièrement intenses, tels que des grandes manifestations...», avait ajouté Juan Mendez, lors de la conférence de presse qu'il avait tenue à Rabat à la fin de sa mission. La sentence est tombée: mis au banc des accusés, le Maroc vient d'être définitivement condamné. Son intrusion au sein du Conseil des droits de l'homme aurait décrédibilisé l'Organisation des Nations unies et terni son image. «Des États ont cherché à se faire élire à la Commission non pas pour défendre les droits de l'homme mais pour se soustraire aux critiques, ou pour critiquer les autres» avait déjà fait remarquer dans un rapport de mars 2005 Kofi Annan, alors Secrétaire général des Nations unies. Le Maroc en est l'exemple type. Il a tiré à boulets rouges sur l'Algérie pour sa position sur le Sahara occidental. Il a fait de l'ouverture des frontières une condition à la tenue du Sommet de l'UMA qui aurait dû se tenir en octobre à Tunis...et a tenté de diaboliser le Front Polisario qu'il a accusé d'avoir des accointances avec le terrorisme islamiste au Sahel. Plus de prérogatives pour la Minurso? C'est en tous les cas ce qu'espèrent les responsables sahraouis. Le rejet de l'admission du Maroc au Conseil des droits de l'homme de l'ONU «devrait ouvrir la voie à l'élargissement du mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l'homme dans les territoires occupés que nous revendiquons», a déclaré lundi à Londres Limam Mohamed Ali, le représentant du Front Polisario au Royaume-Uni. «Nous nous réjouissons de cette décision qui conforte le bien-fondé des rapports établis par l'ONU sur les violations des droits de l'homme au Sahara occidental» a-t-il ajouté.
    Le Front Polisario qui s'est battu bec et ongles pour l'instauration d'un mécanisme de surveillance du respect des droits de l'homme, pense que l'heure est venue pour la concrétisation d'un tel dispositif. «La Minurso devrait rapporter de façon périodique au Conseil de sécurité de l'ONU les exactions commises par les autorités marocaines dans nos territoires et les violations des droits de l'homme perpétrées à l'encontre des Sahraouis comme les enlèvements, la torture et les violences physiques subies par la population», a souligné le diplomate sahraoui.
    Le rejet de l'admission du Maroc au Conseil des droits de l'homme de l'ONU aura, par ailleurs, pour effet de décrédibiliser le retrait de confiance dont a fait l'objet l'envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara occidental au mois de mai dernier. Le représentant personnel du SG de l'ONU avait remis un rapport, sur la situation qui prévaut au Sahara occidental, présenté par Ban Ki-moon au Conseil de sécurité. Le document faisait état de l'extraction d'aveux aux Sahraouis, sous la torture, par les forces marocaines et mettait en exergue les difficultés rencontrées par la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso)... Christopher Ross, qui compte rassembler Marocains et Sahraouis autour de la table des négociations, bénéficie d'une autre corde à son arc pour trouver une solution juste et durable au conflit du Sahara occidental qui permette l'autodétermination du peuple sahraoui...

  • #2
    Le Maroc n'était pas candidat.

    L'Algérie ne fait pas partie de ce conseil.

    La GB non plus.

    Que peut on en déduire ?

    Je vous pose la question.
    La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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    • #3
      megamax. si tu ajoutes que ce truc a ete sous la presidence de la lybie de kadaffi avant sa chute.

      La Libye fait main basse sur les droits de l'homme à l'ONU

      Libération fr

      C'est un peu comme si un mafioso faisait main basse sur la Cour suprême. La Libye, l'un des pays les moins recommandables du monde, a été élue hier à la présidence de la Commission des droits de l'homme des Nations unies. Une élection en forme de coup de grâce pour cette institution bureaucratique qui avait déjà perdu beaucoup de sa crédibilité ces dernières années en se montrant de plus en plus réticente à condamner fermement les violations de certains pays.

      Indignation. Najat Al-Hajjaji, ambassadrice de Libye auprès de l'ONU à Genève, a été élue par 33 voix sur 53. La Libye a sans doute pu compter sur les voix de Cuba, du Soudan et de l'Algérie. Trois Etats de la Commission ont voté contre (Etats-Unis, Canada et Guatemala), et dix-sept se sont abstenus, parmi lesquels, vraisemblablement, les sept pays de l'Union européenne membres de la Commission, dont la France. Les familles des 170 victimes de l'attentat libyen contre le DC 10 d'UTA (en 1989) se disent «indignées» par le soutien apporté par la France, qui a été remerciée nommément par le ministère des Affaires étrangères libyen alors qu'il rendait hommage, hier, aux pays «amis» qui avaient «refusé les pressions».

      Contrairement à la tradition depuis quarante-six ans, selon laquelle le président était désigné par acclamation, il a été procédé à un vote à bulletin secret, à la demande des Etats-Unis qui comptaient ainsi s'opposer au choix de la Libye. La candidature de Tripoli avait été proposée par le groupe des pays africains, à qui il revenait cette année de le faire.

      Prisonniers politiques. «C'est une victoire éclatante», a aussitôt triomphé le gouvernement libyen, que le rapport 2002 d'Amnesty International fustigeait de long en large. Les prisonniers politiques se comptent par centaines et beaucoup ont été incarcérés sans inculpation ni jugement. Le «contexte» libyen est tout aussi édifiant : la liberté d'expression est strictement limitée, la législation interdit la formation de partis politiques ainsi que toute critique du régime. Des faits que le porte-parole du ministère libyen des Affaires étrangères, Hassouna al-Chaouch, a absous hier d'un trait en déclarant que l'élection de son pays représente une «reconnaissance mondiale historique du dossier vierge de la Libye dans le domaine des droits de l'homme».

      Le haut commissaire des Nations unies pour les droits de l'homme, le Brésilien Sergio Vieira de Mello, soutient la demande de militants qui proposent qu'un pays remplisse un certain nombre de critères pour pouvoir siéger à la Commission. Les membres pourraient ainsi être obligés de signer et ratifier tous les traités et conventions relatifs aux droits de l'homme et accepter la possibilité pour les enquêteurs de l'ONU de se rendre dans le pays.
      Dernière modification par auscasa, 05 décembre 2012, 10h00.

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      • #4
        Le journalisme aux ordres dans toute sa splendeur !

        Une vrai honte ! :22:
        Communist until you get rich, Feminist until you get married, Atheist until the airplane starts falling ...

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        • #5
          le Makhzen vient d'être sanctionné de façon retentissante.
          le probléme c'est que pendant quelques secondes , ils (les journaleux) arrivent à me faire croire leur conneries .0.......
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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          • #6
            un journaleux algérien qui arrivent à parler des droits de l'Homme dans le pays voisin, on aura tout vu. t9azdir en plein jour

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            • #7
              un journaleux algérien qui arrivent à parler des droits de l'Homme dans le pays voisin, on aura tout vu>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>d autres journaleux marocains n ont pas honte non plus de parler des autres pays concernant les droits de l homme
              بارد وسخون
              M.Alhayani

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              • #8
                d autres journaleux marocains n ont pas honte non plus de parler des autres pays concernant les droits de l homme
                ils sont tous dans le meme panier; des leches Q du makhzen... et des tiers mondistes convaincus

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                • #9
                  Ce n'ai pas du tout vrai

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                  • #10
                    Le Maroc est éjecté de partout sauf du sahara.C'est bizarre!moi j'ai dit biazarre c'est bien bizarre.
                    Mohamed Touati ancien journaliste dans Hebdo libéré,ancien capitaine de sécurité militaire de son vrai nom Aissa Khilladi,elle est là,la bizarerrie.

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