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Elle tue son mari violent qui s'avère être une femme
Une Canadienne a découvert, après avoir tué son mari qui la battait, que l'homme était en fait une femme portant une prothèse à la place du pénis.
Derrière le mari violent se cachait une femme. Elizabeth Rudavsky a vécu une histoire digne d'un mauvais film de série B. En 2003, cette femme âgée à l'époque de 27 ans avait mortellement poignardé Angelo Heddington, 30 ans, qui la violentait fréquemment. Et c'est quand les ambulanciers ont retiré le pantalon de celui qu'elle pensait être son mari que Elizabeth a découvert le pot aux roses, explique-t-elle dans une émission télé consacrée à son histoire.
Les deux tourtereaux avaient eu une romance éclair, suivie d'un mariage forcé, après seulement quatre mois de fréquentations. Rapidement, la situation avait dérapé et les violences domestiques avaient commencé, à tel point qu'Elizabeth avait déjà un œil au beurre noir sur les photos de la lune de miel du couple.
Un homme-femme violent récidiviste
C'est à l'occasion d'un documentaire pour l'émission «Fatal Vows», consacré à cette histoire effrayante, que les dessous de l'affaire ressortent. Elizabeth Rudavsky explique à la chaîne Discovery Channel qu'en sept mois de mariage, elle n'avait jamais vu Angelo nu, car il insistait pour avoir des relations sexuelles dans l'obscurité. Angelo, née Angela, prétextait une brûlure aux parties génitales, infligée par une ancienne petite amie.
Pendant l'enquête de police, Elizabeth a déclaré qu'elle avait été réellement amoureuse de celle qu'elle pensait être son mari, malgré le haut degré de violence qu'il/elle lui infligeait: elle aurait notamment été violée à l'aide d'un tuyau métallique. A une occasion, Angelo/Angela avait battu tellement fort sa femme qu'elle a souffert d'une embolie pulmonaire. Elizabeth a même perdu 32 kg à cause de cette relation, selon le «Daily Mail».
Les charges contre Elizabeth, accusée d’assassinat au second degré, ont été abandonnées lorsque l'enquête a prouvé qu'elle avait agi dans le cadre de la légitime défense. Angelo/Angela avait déjà un passif de violent récidiviste. Au moins trois de ses relations passées avaient porté plainte pour mauvais traitement. L'individu avait également eu des romances avec des hommes.
(cga)
Une Canadienne a découvert, après avoir tué son mari qui la battait, que l'homme était en fait une femme portant une prothèse à la place du pénis.
Derrière le mari violent se cachait une femme. Elizabeth Rudavsky a vécu une histoire digne d'un mauvais film de série B. En 2003, cette femme âgée à l'époque de 27 ans avait mortellement poignardé Angelo Heddington, 30 ans, qui la violentait fréquemment. Et c'est quand les ambulanciers ont retiré le pantalon de celui qu'elle pensait être son mari que Elizabeth a découvert le pot aux roses, explique-t-elle dans une émission télé consacrée à son histoire.
Les deux tourtereaux avaient eu une romance éclair, suivie d'un mariage forcé, après seulement quatre mois de fréquentations. Rapidement, la situation avait dérapé et les violences domestiques avaient commencé, à tel point qu'Elizabeth avait déjà un œil au beurre noir sur les photos de la lune de miel du couple.
Un homme-femme violent récidiviste
C'est à l'occasion d'un documentaire pour l'émission «Fatal Vows», consacré à cette histoire effrayante, que les dessous de l'affaire ressortent. Elizabeth Rudavsky explique à la chaîne Discovery Channel qu'en sept mois de mariage, elle n'avait jamais vu Angelo nu, car il insistait pour avoir des relations sexuelles dans l'obscurité. Angelo, née Angela, prétextait une brûlure aux parties génitales, infligée par une ancienne petite amie.
Pendant l'enquête de police, Elizabeth a déclaré qu'elle avait été réellement amoureuse de celle qu'elle pensait être son mari, malgré le haut degré de violence qu'il/elle lui infligeait: elle aurait notamment été violée à l'aide d'un tuyau métallique. A une occasion, Angelo/Angela avait battu tellement fort sa femme qu'elle a souffert d'une embolie pulmonaire. Elizabeth a même perdu 32 kg à cause de cette relation, selon le «Daily Mail».
Les charges contre Elizabeth, accusée d’assassinat au second degré, ont été abandonnées lorsque l'enquête a prouvé qu'elle avait agi dans le cadre de la légitime défense. Angelo/Angela avait déjà un passif de violent récidiviste. Au moins trois de ses relations passées avaient porté plainte pour mauvais traitement. L'individu avait également eu des romances avec des hommes.
(cga)
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