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la Banque d'Algérie
Les crédits bancaires accordés à l'économie nationale en 2012 devraient atteindre les 6.000 milliards de dinars (75,8 Soixante-quinze milliards huit cent dix-huit millions de dollars), contre 5.000 milliards de dinars (63,1 Soixante-trois milliards cent quatre-vingt-deux millions de dollars) accordés durant l’année écoulée, soit une augmentation de 20%.
C’est ce que prévoit Abderrezak Trabelsi, délégué général de l’Association des banques et établissements financiers (ABEF).
Dans un entretien accordé à l’Eco magazine qui sera publié dans sa prochaine édition du ( 15 au 30 décembre), notre interlocuteur, a précisé que « nous ne sommes pas loin des 6.000 milliards de dinars (75,8 Soixante-quinze milliards huit cent dix-huit millions de dollars), alors que l’année n’est pas encore achevée».
L’Algérie est parmi un nombre extrêmement réduit de pays (Pas plus de 4 pays) où les crédits ont connu une croissance à deux chiffres pendant toutes ces années de crises, explique t-il, en avançant que la croissance moyenne tourne autour des 15% ces dernières années. C’est le secteur privé qui s’est taillé la part du lion en matière de crédits accordés à l’économie durant l’exercice 2012, informe t-il.
Abderrezak Trabelsi, a par ailleurs, évoqué le problème de la répartition du crédit. Il dira à ce propos que le crédit est très concentré sur un nombre réduit d’entreprises. «Ce sont les grandes entreprises qui éligibles aux crédits bancaires qui ont bénéficié de ces crédits », ajoute t-il.
Nassima B. 06/12.2012
Les crédits bancaires accordés à l'économie nationale en 2012 devraient atteindre les 6.000 milliards de dinars (75,8 Soixante-quinze milliards huit cent dix-huit millions de dollars), contre 5.000 milliards de dinars (63,1 Soixante-trois milliards cent quatre-vingt-deux millions de dollars) accordés durant l’année écoulée, soit une augmentation de 20%.
C’est ce que prévoit Abderrezak Trabelsi, délégué général de l’Association des banques et établissements financiers (ABEF).
Dans un entretien accordé à l’Eco magazine qui sera publié dans sa prochaine édition du ( 15 au 30 décembre), notre interlocuteur, a précisé que « nous ne sommes pas loin des 6.000 milliards de dinars (75,8 Soixante-quinze milliards huit cent dix-huit millions de dollars), alors que l’année n’est pas encore achevée».
L’Algérie est parmi un nombre extrêmement réduit de pays (Pas plus de 4 pays) où les crédits ont connu une croissance à deux chiffres pendant toutes ces années de crises, explique t-il, en avançant que la croissance moyenne tourne autour des 15% ces dernières années. C’est le secteur privé qui s’est taillé la part du lion en matière de crédits accordés à l’économie durant l’exercice 2012, informe t-il.
Abderrezak Trabelsi, a par ailleurs, évoqué le problème de la répartition du crédit. Il dira à ce propos que le crédit est très concentré sur un nombre réduit d’entreprises. «Ce sont les grandes entreprises qui éligibles aux crédits bancaires qui ont bénéficié de ces crédits », ajoute t-il.
Nassima B. 06/12.2012
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