Faute de terrain : L’allemand Henkel renonce à investir dans les matériaux de construction en Algérie
Hamid Guemache - TSA
Le géant allemand Henkel renonce à investir dans les matériaux de construction en Algérie, faute de terrain, a‑t‑on appris mercredi 5 décembre de sources sûres. « Il aurait fallu plus de deux ans pour obtenir un terrain à Bouira dans une nouvelle zone industrielle non encore aménagée.
Pour les Allemands, ce retard inexplicable n’est pas de bon augure pour la concrétisation du projet », explique une source proche du projet.
Le groupe allemand devait créer une usine de production de ciment, de colle et de produits de traitement de façades d’immeubles en partenariat avec le groupe privé algérien ʺLes Faïenceries algériennesʺ. « Les Allemands sont découragés par les lenteurs bureaucratiques de l’administration algérienne », affirme‑t‑il.
Un coup dur pour le gouvernement algérien qui cherche à attirer des investissements dans la production pour réduire la facture des importations.
Ce projet de joint‑venture entre les groupes algérien et allemand a connu des péripéties qui ont fini par décourager les Allemands. L’usine devait entrer en production début 2011, mais faute de terrain, elle n’a pas été réalisée à ce jour. Les ʺFaïenceries algériennesʺ ont tenté de l’implanter dans un terrain obtenu en concession à MS’ila, mais l’administration a refusé, arguant du fait que ce terrain a été attribué au groupe algérien et non à la société algéro‑allemande.
Hamid Guemache - TSA
Le géant allemand Henkel renonce à investir dans les matériaux de construction en Algérie, faute de terrain, a‑t‑on appris mercredi 5 décembre de sources sûres. « Il aurait fallu plus de deux ans pour obtenir un terrain à Bouira dans une nouvelle zone industrielle non encore aménagée.
Pour les Allemands, ce retard inexplicable n’est pas de bon augure pour la concrétisation du projet », explique une source proche du projet.
Le groupe allemand devait créer une usine de production de ciment, de colle et de produits de traitement de façades d’immeubles en partenariat avec le groupe privé algérien ʺLes Faïenceries algériennesʺ. « Les Allemands sont découragés par les lenteurs bureaucratiques de l’administration algérienne », affirme‑t‑il.
Un coup dur pour le gouvernement algérien qui cherche à attirer des investissements dans la production pour réduire la facture des importations.
Ce projet de joint‑venture entre les groupes algérien et allemand a connu des péripéties qui ont fini par décourager les Allemands. L’usine devait entrer en production début 2011, mais faute de terrain, elle n’a pas été réalisée à ce jour. Les ʺFaïenceries algériennesʺ ont tenté de l’implanter dans un terrain obtenu en concession à MS’ila, mais l’administration a refusé, arguant du fait que ce terrain a été attribué au groupe algérien et non à la société algéro‑allemande.
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