Salam, Bonjour,
ANA …
...jamais si peu sortie des bois, telle une diva vêtue de soie et vivant ses toits, pour cet endroit et cet Instant là, du nom d’ANA, il était un roi du grand état de son aura et du seul constat de sa grande joie qui, chaque fois du bout des doigts sans faire plagiat ni autre dada par ses appas, faisait débat d’un bel éclat des derboukas comme un ciel choix des beaux carats d’une vive voix, tenue venue par les patois de son bras droit sans dire pourquoi ni tout dégâts, mais sachant les proies plus loin là bas bien tant béat sous l’air sans poids de son delta, mais si encore voilà lumière réa sans haut fracas d'alinéa tout fit amas des apparats du magistrat quoi qu’il en soit des toutes noix d’un arbre loi et rien eut plat ni même droit parmi les trois sans pas des délicats faisant l’émoi au jeu de l’oie, laissant mille voies et toutes fois des tas aussi venus des quoi toujours en soi, et, cette fois, à ses côtés draps, celui qui voit sous l’apparat du son des fa cessant les la de tout brouhaha, s’approchant de moi, il m’a dit tout bas, laissez moi le cœur qui bat, …
Salam, merci…
ANA …
...jamais si peu sortie des bois, telle une diva vêtue de soie et vivant ses toits, pour cet endroit et cet Instant là, du nom d’ANA, il était un roi du grand état de son aura et du seul constat de sa grande joie qui, chaque fois du bout des doigts sans faire plagiat ni autre dada par ses appas, faisait débat d’un bel éclat des derboukas comme un ciel choix des beaux carats d’une vive voix, tenue venue par les patois de son bras droit sans dire pourquoi ni tout dégâts, mais sachant les proies plus loin là bas bien tant béat sous l’air sans poids de son delta, mais si encore voilà lumière réa sans haut fracas d'alinéa tout fit amas des apparats du magistrat quoi qu’il en soit des toutes noix d’un arbre loi et rien eut plat ni même droit parmi les trois sans pas des délicats faisant l’émoi au jeu de l’oie, laissant mille voies et toutes fois des tas aussi venus des quoi toujours en soi, et, cette fois, à ses côtés draps, celui qui voit sous l’apparat du son des fa cessant les la de tout brouhaha, s’approchant de moi, il m’a dit tout bas, laissez moi le cœur qui bat, …
Salam, merci…
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