L’offensive malienne contre les groupes armés occupant son Nord depuis plusieurs mois serait imminente et pourrait même intervenir dans les prochaines 72 heures.
En effet, à en croire le capitaine Sanogo, président du Comité militaire de suivi de la réforme des forces de défense et de sécurité (CMSRFDS), l’armée malienne n’attend que l’arrivée des armes “bloquées au Port de la Guinée” mais qui seront livrées dans trois jours pour lancer une opération antiterroriste dans la région du Nord du pays.
Ses déclarations ont été reprises largement ce dimanche par la presse malienne et interviennent après la manifestation d’hier à Bamako à l’appel des partisans du premier ministre de la transition pour demander à l’Onu d’autoriser une intervention militaire dans le Nord du pays.
Sanogo promet de chasser les islamistes radicaux et les narcotrafiquants dès la réception de ces armes dont leur nature n’a pas été précisée.
Pour l’auteur du putsch du 22 mars contre Amadou Toumani Touré “l’armée n’attendra pas septembre 2013 pour libérer le Nord” comme l’avait dit Romano Prodi, envoyé spécial de l’Organisation des Nations unies (ONU) au Sahel au cours d’une conférence de presse, le mardi 20 novembre à Rabat (Maroc).
Il est allé jusqu’à confier que “les commandants de compagnie qui doivent libérer les régions du Nord sont déjà désignés”, précisant que “chaque compagnie a pour mission de libérer une région. Après la libération, la police assurera la sécurité”.
source: algerieone
En effet, à en croire le capitaine Sanogo, président du Comité militaire de suivi de la réforme des forces de défense et de sécurité (CMSRFDS), l’armée malienne n’attend que l’arrivée des armes “bloquées au Port de la Guinée” mais qui seront livrées dans trois jours pour lancer une opération antiterroriste dans la région du Nord du pays.
Ses déclarations ont été reprises largement ce dimanche par la presse malienne et interviennent après la manifestation d’hier à Bamako à l’appel des partisans du premier ministre de la transition pour demander à l’Onu d’autoriser une intervention militaire dans le Nord du pays.
Sanogo promet de chasser les islamistes radicaux et les narcotrafiquants dès la réception de ces armes dont leur nature n’a pas été précisée.
Pour l’auteur du putsch du 22 mars contre Amadou Toumani Touré “l’armée n’attendra pas septembre 2013 pour libérer le Nord” comme l’avait dit Romano Prodi, envoyé spécial de l’Organisation des Nations unies (ONU) au Sahel au cours d’une conférence de presse, le mardi 20 novembre à Rabat (Maroc).
Il est allé jusqu’à confier que “les commandants de compagnie qui doivent libérer les régions du Nord sont déjà désignés”, précisant que “chaque compagnie a pour mission de libérer une région. Après la libération, la police assurera la sécurité”.
source: algerieone
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