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Le financement de la centrale solaire d'Ouarzazate fait envie aux experts algériens

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  • Le financement de la centrale solaire d'Ouarzazate fait envie aux experts algériens

    Le financement de la centrale solaire d'Ouarzazate fait envie aux experts algériens
    par Nadia Hachelaf

    Il a été question au cours du colloque international sur le co-développement Europe Maghreb organisé dimanche à Alger par le Cabinet Emergy de la centrale solaire d'Ouarzazate et de son mode de financement par le recours aux prêts étrangers. Une option fermée en Algérie par décision politique qui suscite des réserves chez les experts.

    C'est un consortium conduit par le groupe saoudien ACWA Power en partenariat avec les espagnols TSK et Aries qui a été retenu, fin septembre dernier, pour le projet de construction du première parc solaire d'Ouarzazate, un investissement d'un milliards de dollars. Le groupe saoudien détient 95% contre 5% aux entreprises espagnoles. Ouarzazate fait partie d'un plan ambitieux de 5 parcs solaires à construire d'ici 2020, pour un objectif de puissance de 2000 MW et un budget qui pourrait culminer à 9 milliards de dollars. Le coût de cette première tranche est qualifié d'important par Christian Stoffaës, directeur technique du PSM. . Le projet est financé à 20% par des fonds propres (aux deux-tiers assurés par Acwa Power) et surtout par des emprunts contractés par Masen (Moroccan Agency for Solar Energy) auprès de la Banque mondiale, la Banque africaine de développement, la Banque européenne d'investissement, la banque allemande KfW et l'Agence française de développement. Des prêts « soft » remboursables sur le long terme combinés à des prêts classiques. Cette participation des institutions internationales a permis d'assurer, selon certains experts, le meilleur choix possible pour l'octroi du projet. Paddy Padmanathan, PDG du groupe saoudien qui a fait la meilleure offre n'était pas peu fier d'affirmer que le « projet de Ouarzazate a été le premier à l'échelle mondiale qui a été octroyé dans le cadre d'un processus compétitif et complètement transparent dans lequel les soumissionnaires ont été invités à présenter l'offre la plus compétitive. ».

    UNE OPTION FERMEE, INUTILEMENT, POUR L'ALGERIE

    Ce type de montage n'est pas, en l'état actuel des choses, reproductible en Algérie. «On ne peut pas faire pareil en Algérie pour des raisons souveraines» explique Roger Goudiard, expert et responsable à l'Agence française de développement. L'Algérie ayant en effet décidé de ne plus emprunter à l'extérieur – tout en prêtant au FMI – ce genre de montage n'est pas possible. La centrale d'Ouarzazate est réalisée avec des lignes de crédits dont l'Etat marocain est garant. Pour tout ce qui se rapporte au financement, la balle est dans le camp du gouvernement algérien, souligne, de son côté, le directeur exécutif du Plan solaire méditerranéen PSM, M.Christian Stoffaës. Le choix d'une politique de non-endettement extérieure appliqué de manière très stricte a pratiquement coupé les liens de l'Algérie avec les institutions financières mondiales et notamment de la Banque mondiale. Pour des experts algériens cette application « aveugle » ne fait que priver le pays d'une expertise rendue encore plus impérative avec les grands investissements publics. Tewfik Hasni, expert international, membre du membre du comité international « Plan changement climat », estime qu'il est possible, par exemple, à l'Algérie de solliciter 10% du crédit au lieu de 80 pour la réalisation d'un projet dédié au solaire. C'est, dit-il de cette manière qu'elle peut acquérir le savoir-faire dans des projets dont on ne maîtrise pas la technologie. « Jusqu'à quand, notre pays continue à mettre de l'argent dans des projets qui n'aboutissent pas », se demande-t-il. Tewfik Hasni note également que le projet t d'Ouarzazate, est le fruit d'un travail de lobbying qui a été bien fait. Il faut, estime-t-il, aller en matière d'énergie renouvelable vers le partage des risques, de la gestion, de l'exploitation, de la commercialisation et de la plus-value qui découlera de l'exportation de l'énergie. Outre la centrale d'Ouarzazate, il est prévu au Maroc la réalisation d'un premier projet éolien et photovoltaïque de 100 mégawatts initié par le numéro deux allemand de l'énergie RWE. Le Maroc importe aujourd'hui 97% de ses besoins en énergie, le pétrole représentant à lui seul 61% de sa consommation énergétique.

    Le Quotidien d'Oran

  • #2
    Tour solaire de Boughezoul : Début des travaux avant l'été 2013 Le Quotidien d'Oran


    Le premier coup de pelleteuse pour la réalisation de la tour solaire de la nouvelle ville de Boughezoul, dans la wilaya de Médéa, devrait être donné entre avril et mai de l'année prochaine, quelque temps après la publication de l'appel d'offres international pour l'acquisition des équipements prévue pour le premier trimestre 2013.

    C'est ce que Bouziane Mehmeh, chercheur au Centre de développement des énergies renouvelables (CDER), relevant du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a annoncé hier sur les ondes de la radio nationale, en indiquant que le cahier des charges était en cours d'élaboration et devrait être finalisé avant le 15 décembre.

    Le projet de réalisation de cette centrale de pointe est né de la signature, le 15 octobre dernier à Oran, d'un accord de partenariat entre Algériens et Allemands, paraphé par le DG de la recherche scientifique et du développement technologique au MESRS et l'ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne, Götz Ligenthal. Le contrat d'un montant global avoisinant les 33 millions d'euros -dont 20% sont à la charge du partenaire allemand- prévoit la construction d'une centrale à énergie renouvelable qui canalise l'air chauffé par le soleil afin d'actionner des turbines pour produire entre 7 et 35 kilowatts d'électricité et un technopôle destiné à la recherche et la formation des ressources algériennes.

    La réalisation de l'infrastructure, dont la réception est attendue fin 2014, entre dans le cadre du programme national de développement des énergies nouvelles et renouvelables, doté d'un investissement de 60 milliards de dollars qui vise, à l'horizon 2030, à augmenter la production locale en électricité jusqu'à satisfaire 40% de la demande locale et répondre, en partie, à la demande européenne en énergie solaire.

    En termes de formation des ressources humaines et compétences pour accompagner et prendre en charge les infrastructures prévues par ce programme, Bouziane Mehmeh assure qu'elle a commencé il y a quelques années déjà dans les universités et les instituts. «Grâce notamment aux conventions entre le CDER et les différents laboratoires de recherche, de nombreux étudiants et universitaires consacrent leurs mémoires et thèses de fin d'études aux différents aspects liés aux énergies renouvelables», a-t-il ajouté, en soulignant que la «sensibilisation» aux énergies renouvelables vise aujourd'hui des catégories plus jeunes. C'est ainsi qu'en juin dernier, le centre a édité à l'intention des collégiens et des lycéens la première revue consacrée à la question, mais les 1.000 numéros ont presque tous été distribués lors du salon national du MESRS. «Mais la revue est disponible sur le site internet du centre (http://www.cder.dz/) et peut être téléchargée par les internautes», rassure le chercheur. Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.

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    • #3
      Nadia Hachelaf , ne connait pas son sujet.

      Important soutien européen pour le premier grand projet solaire en Afrique du Nord

      Date de publication: 19 Novembre 2012
      Réference: 2012-166-FR


      Le premier projet solaire mis en œuvre en Afrique du Nord bénéficie d’un très important soutien européen de 345 millions d’EUR*, soit plus de la moitié du coût total du projet.

      Un engagement financier de 300 millions d’EUR a été signé ce jour à Marrakech, au Maroc, par la Banque européenne d'investissement (BEI), l'Agence française de développement (AFD), la KfW Entwicklungsbank (KfW) et MASEN, le promoteur du complexe solaire de Ouarzazate. La mise en place de cette enveloppe de prêts a été facilitée par l'octroi d'une aide non remboursable de 30 millions d'EUR de l'Union européenne en décembre 2011.

      Le soutien financier européen porte sur la première phase du complexe solaire de Ouarzazate, qui consiste en la construction d'une centrale solaire à concentration (CSC) et à capteurs cylindro-paraboliques d’une capacité brute installée comprise entre 125 et 160 MW, pour une capacité de stockage d’énergie de trois heures au minimum. Il s’agira du premier projet du Plan solaire marocain et du plus important à ce jour du Plan solaire méditerranéen, qui vise l’installation de 20 GW de capacité supplémentaire de production d’énergie d’origine renouvelable à l’horizon 2020.

      Le complexe solaire de Ouarzazate est conçu pour atteindre une capacité potentielle de 500 MW, soit l’équivalent de l'alimentation en électricité d’une ville de 250 000 habitants. Une fois intégralement réalisé, ce complexe sera l'un des plus grands au monde. Sa première phase permettra, à elle seule, d’éviter l’émission de 110 000 tonnes de dioxyde de carbone par an et de mettre en place une source d’énergie renouvelable tout en augmentant la sûreté énergétique du Maroc. Le projet créera en outre des emplois et contribuera à l’émergence d’une industrie solaire intégrée localement.

      Philippe de Fontaine Vive, vice-président de la BEI, a déclaré à cette occasion : « En tant que chef de file des institutions financières européennes participant à ce projet, la BEI est fière de pouvoir apporter son financement, mais aussi l'expertise technique qu'elle a acquise dans toute l'Europe et pour toutes les sources d'énergie renouvelables.La première phase du projet Ouarzazate est une étape importante pour le succès du Plan solaire méditerranéen.Elle représente un signal fort pour un avenir plus « vert » sur le plan du développement technologique, économique et énergétique ainsi qu’en matière d’emploi. »

      Eneko Landaburu, ambassadeur et chef de la délégation de l’Union européenne au Maroc, s’est quant à lui exprimé en ces termes : « L’UE et le Maroc partagent des possibilités et des contraintes similaires dans le domaine de l'énergie, d'où l'importance de favoriser l’intégration progressive de nos marchés énergétiques respectifs ainsi que le développement concomitant des énergies renouvelables.Aujourd’hui, grâce à l’aide non remboursable de sa Facilité d’investissement pour le voisinage et au prêt de la Banque européenne d'investissement, l'Union européenne soutient avec force le premier projet emblématique du Plan solaire marocain. »

      « La réalisation de cette centrale électrique solaire permettra la diffusion au Maroc d'une technologie à faible intensité de carbone et respectueuse du climat. Parallèlement, le pays peut ainsi réduire sa dépendance à l’égard des importations d’énergie.Avec cette centrale, nous franchissons un grand pas vers la concrétisation de l’ambitieux projet consistant à doter bon nombre des pays d’Afrique du Nord de sources d’énergie renouvelables », a déclaré Norbert Kloppenburg, membre du directoire de la KfW.

      Le projet est conforme aux objectifs de l'Union européenne et aux objectifs stratégiques du mandat FEMIP en ce qui concerne la viabilité environnementale et l'atténuation des changements climatiques, ainsi que leurs incidences sur la demande en énergie.

      La première phase du complexe solaire de Ouarzazate sera mise en exploitation en 2015.

      *Soutien européen :

      BEI : 100 millions d’EUR sur une contribution totale de 300 millions d’EUR (financement approuvé par le Conseil d’administration de la BEI le 13 décembre 2011)

      UE : 30 millions d’EUR (aide non remboursable)

      AFD : 100 millions d’EUR

      KfW et ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement (BMZ) : 100 millions d’EUR

      KfW et ministère fédéral allemand de l’environnement, de la protection de la nature et de la sûreté nucléaire (BMU) : 15 millions d’EUR

      UE : 30 millions d’EUR (aide non remboursable)


      le reste, des prêts
      http://www.eib.org/projects/press/20...rth-africa.htm

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      • #4
        UE : 30 millions d’EUR (aide non remboursable)

        MansaliO6
        Et alors tu crois que l'Europe fait des cadeaux comme ça ?

        L’ Europe a aussi ( et surtout) besoin de cette énergie renouvelable vu que les energies fossiles ne suivront pas à moyen terme.


        " L’UE et le Maroc partagent des possibilités et des contraintes similaires dans le domaine de l'énergie, d'où l'importance de favoriser l’intégration progressive de nos marchés énergétiques respectifs ainsi que le développement concomitant des énergies renouvelables "
        "Sa première phase permettra, à elle seule, d’éviter l’émission de 110 000 tonnes de dioxyde de carbone par an et de mettre en place une source d’énergie renouvelable tout en augmentant la sûreté énergétique du Maroc. "
        Décidément "Matrahmou matkhaliwe arrahma tanezele".

        Ya latif !!!

        Nadia Hachelaf , ne connait pas son sujet.
        Elle ne fait que reproduit l'avis d'experts algériens qui te dépassent très très largement dans la maitrise du sujet.. ..
        Dernière modification par Serpico, 11 décembre 2012, 13h15.

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        • #5
          depuis quand se cribler de dettes donne envie aux autres ?

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          • #6
            Et alors tu crois que l'Europe fait des cadeaux comme ça ?

            L’ Europe a aussi ( et surtout) besoin de cette énergie renouvelable vu que les energies fossiles ne suivront pas à moyen terme.
            C'est dans le texte de la banque européenne d' investissement,
            ceux qui donnent les sous.

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            • #7
              les sous contre le soleil

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              • #8
                Serpico
                Le financement de la centrale solaire d'Ouarzazate fait envie aux experts algériens
                Le projet est financé à 20% par des fonds propres (aux deux-tiers assurés par Acwa Power) et surtout par des emprunts contractés par Masen (Moroccan Agency for Solar Energy) auprès de la Banque mondiale, la Banque africaine de développement, la Banque européenne d'investissement, la banque allemande KfW et l'Agence française de développement. Des prêts « soft » remboursables sur le long terme combinés à des prêts classiques.
                soit un emprunt de 800 Millions d'usd

                Ce que le journaleux ne sait pas c'est que l'Algerie envie encore plus la Grèce pour les emprunts qu'elle a contractées !!!!!!
                "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                • #9
                  salam

                  Décidément "Matrahmou matkhaliwe arrahma tanezele".

                  Ya latif !!!
                  venant d'un "baghite (mehssade)" comme toi

                  --------------------------------------------------------------------

                  une chose est sur notre pays doit investir dans les énergies renouvelable, peut importe ce que la Tunisie ou le Maroc feront

                  Commentaire


                  • #10
                    une chose est sur notre pays doit investir dans les énergies renouvelable, peut importe ce que la Tunisie ou le Maroc feront
                    Energies Renouvelables, l’Algérie en force : 120 milliards de dollars pour 22 000 MW

                    Vendredi 27 janvier 2012

                    En 2011, le Ministère Algérien de l’Energie et des Mines a lancé un programme sur l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables avec une capacité de 120 milliards dollars américains. L’objectif est d’installer une capacité supplémentaire de production d’électricité d’origine renouvelable s’élevant 22 000 MW entre 2011 et 2030. 12 000 MW seront destinés à satisfaire la demande locale d’électricité et 10 000 MW destinés à l’exportation. Pour l’expansion de ces capacités, l’Algérie se repose sur ses partenaires et le savoir-faire de l’étranger. Dans ce contexte, le 6e Salon electro, automation & energy 2012 se concentre sur les énergies renouvelables et efficacité énergétique. Le salon international leader en Algérie est organisé par le spécialiste organisateur allemand fairtrade Messe et sa filiale fairtrade Algérie du 05 au 08 mai 2012.

                    Le grand potentiel national de l’énergie solaire constitue la base pour le programme d’énergie de 120 milliards de dollars américains. Une étude scientifique du Centre aérospatial allemand (Deutsches Zentrum für Luft-und Raumfahrt, DLR) pour le compte du ministère allemand de l’énergie trouve, que l’Algérie a un potentiel de 169 440 solarthermal TWh / a ainsi que 13,9 TWh / a de l’énergie photoélectrique. Selon le gouvernement algérien, on pourrait couvrir la demande énergétique de la Western Europa 60 fois avec le potentiel d’énergie solaire du Sahara (86% de la superficie de l’Algérie).

                    Dans le cadre du programme environ 60 systèmes solaires photovoltaïques et centrales solaires à concentration, les parcs éoliens ainsi que des centrales électriques hybrides doivent être installés jusqu’en 2020. Entre 2011 et 2030, 12 000 MW seront destinés à répondre de l’électricité domestique. De ce sera gagné 2 000 MW d’énergie éolienne, 2 800 MW de photovoltaïques et 7 200 MW d’énergie solaire. Pour réaliser ce projet l’Algérie s’appuie sur des partenaires et le savoir-faire de l’étranger. Selon ZVEI – l’association allemande de l’industrie électrique et électronique, l’Allemagne, France, Chine, Italie et Suisse, deux parts du tiers des exportations électrotechnique pour le plus grand pays du continent africain. En 2010, le total des importations de l’électrotechnique en Algérie s’élevaient à 2 678 milliards d’euros.

                    fairtrade, et son équipe algéro – allemande ayant reconnu ce potentiel. Après le grand succès du salon elec expo & EneR Event en novembre 2011 au Maroc elcomUkraine 2012 en avril et le 6e Salon électro, automation & énergie traite aussi ces sujets. Le salon international de pointe en Algérie pour des Energies renouvelables, des Energies conventionnelles, de l’Efficacité énergétique, de l’Electrotechnique, de l’Automation et de l’Eclairage est prévu du 5 au 08 mai 2011.

                    ..................................................

                    Energie solaire : Des universitaires de l’USTO au Japon

                    Lundi 10 décembre 2012

                    Une trentaine d’universitaires de l’université Mohammed Boudiaf sont en déplacement depuis quelques jours au japon pour la concrétisation d’un projet de réalisation d’une station expérimentale de l’énergie solaire qui devra voir le jour au niveau de la wilaya de Saïda. Ce déplacement intervient dans le cadre de la coopération algéro-japonaise, se distinguant par un programme de partenariat entre l’USTO et cinq universités japonaises (Tokyo, Hirosaki et Chubu).

                    Après un concours sélectif qui a été lancé en mars 2011, la délégation de chercheurs a pris son envole pour la ville Tokyo afin de poursuivre ce programme de recherche. Selon l’assistant du doyen de l’USTO, les universitaires ont emporté quelques échantillons de sable et de poudre de croûte terrestre pour analyse dans les labos nippons.

                    Cet élément chimique qui est en l’occurrence du silicium de la famille des cristallogènes, très abondant au niveau de la région de Saïda, est nécessaire dans la fabrication de panneaux solaires photovoltaïques. Selon des informations recueillies auprès de chercheurs de l’université Mohamed Boudiaf, il est utilisé depuis très longtemps sous forme d’oxyde de silicium amorphe (silice ou SiO2) comme composant essentiel du verre. Il a, depuis un demi-siècle, de nouveaux usages en électronique (transistor), pour la production de matériaux tels que les silicones ou, le nom dérive du latin silex, silicis qui signifie caillou ou silex9, a-t-on expliqué.

                    Rappelons que cette coopération algéro-japonaise dans le domaine scientifique est consolidée depuis janvier 2011 par le lancement d’un nouveau programme de développement des technologies solaires. Ce projet s’inscrit dans de la cadre de la coopération entre les deux pays dans le domaine de la recherche et du développement de l’industrie solaire. "Le partenariat algéro-japonais est appelé à se développer davantage dans tous les domaines, tant au niveau académique que technologique", a-t-on souligné en ouvrant une manifestation culturelle japonaise organisée à l’auditorium de l’USTO.

                    Ce programme qui a été lancé en janvier 2011 s’intitule "Projet SSB" (Sahara Solar Breeder) en référence à la plateforme technologique dite ferme solaire expérimentale, prévue à Saïda. L’université de l’USTO bénéficiera dans ce cadre de la création d’un centre de recherches dédié au développement des technologies solaires. Un délai de cinq ans a été assigné à la concrétisation de cette opération entièrement financée par la partie japonaise avec une enveloppe budgétaire de 5 millions de dollars, a précisé la responsable.

                    L’USTO bénéficiera également d’une dotation en équipements, de formations et du concours permanent d’experts, tandis que l’université de Saïda et le Centre de recherches sur l’énergie solaire d’Adrar auront des plateformes technologiques pour la construction de cellules photovoltaïques et l’exploitation de l’énergie produite, a expliqué le vice-recteur. Ce projet s’inscrit dans le cadre des objectifs de développement durable puisqu’il permettra l’acheminement et l’exploitation de l’énergie produite dans le sud vers le nord du pays pour alimenter des stations de dessalement.

                    Ce programme avait été entériné, en août 2010, par la signature d’une convention entre le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, l’USTO, et deux agences japonaises (JICA et JSTA) dédiées à la coopération internationale, aux sciences et à la technologie. Signalons que l’USTO bénéficie de l’expertise japonaise depuis 1989, avec le soutien de formations post-graduées, des bourses de recherche et des dons sous forme d’équipements scientifiques.

                    Hadj Hamdouche, Le Financier

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                    • #11
                      Le maroc va apprendre à l'algerie commen financer les grands projets et
                      l'algérie va apprendre aux maroc à soutenir l' autodetermination des peuples

                      question de savoir faire

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                      • #12
                        l'important dans tous ca, c'est que notre region va etre un leader mondial dans les 20 ans a venir tous simplement parcequ'on construit une nouvelle industrie aujourd'hui a oujda, casablanca, kenitra et l'algerie elle investit et va produire des pannaux solaire......

                        on 2020 on sera le premier pays producteur du solaire au Maroc en depassant les projets en cours en californie, et avec cette vitesse et une industries qui poura produire l'equivalent de 1000 MW chaque annes on poura dire qu'on sera parmis les leaders dans le monde en 2030. la clee c'est la production en masse pour diminuer les charges, et d'avoire la maitrise de la technologie. en 2030 beaucoup de pays seront des importateur du savoire faire maghrebain.

                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par auscasa
                          ....notre region va etre un leader mondial dans les 20 ans...

                          on 2020 on sera le premier pays producteur du solaire au Maroc en depassant les projets en cours en californie...

                          n poura dire qu'on sera parmis les leaders dans le monde en 2030...

                          en 2030 beaucoup de pays seront des importateur du savoire faire maghrebain.
                          Tu rêve ou koi

                          Etat-unis
                          550 mégawatts centrale solaire Topaz Solar Farm en Californie.

                          Etat-unis
                          550 mégawatts centrale solaire Ferme solaire Desert Sunlight en Californie.

                          Etat-unis
                          247 mégawatts centrale solaire Agua Caliente Arizona

                          et 4 autres centrales solaires au état-unis d’une puissance de 250 mégawatts chacune en cours de construction (4x250= 1000 mw)

                          - Allemagne: Programme de 60 000 mw de production d’énergie solaire en 2022

                          -
                          Chine: Programme de 50 000 mw de production d’énergie solaire en 2020

                          - Algérie: Programme de 22 000 mw de production d’énergie solaire 2030

                          - Inde: Programme de 20 440 mw de production d’énergie solaire en 2020

                          - Arabie Saoudite: Programme de 16 000 mw de production d’énergie solaire 2032

                          - Japon: Programme de 4 700 mw de production d’énergie solaire fin 2012

                          - Maroc:..Programme de .. 2000 mw de production d’énergie solaire 2020

                          ainsi que dans d'autres pays
                          Dernière modification par MEK, 14 décembre 2012, 11h14.

                          Commentaire


                          • #14
                            venant d'un "baghite (mehssade)" comme toi
                            naw08
                            Jaloux de quoi ?

                            De votre sous développement (comme au Maroc) malgré des caisses pleines !

                            Je répond seulement à à ceux qui ne peuvent s’empêcher de vouloir dénigrer toute coopération du Maroc avec l’étranger ni plus ni moins!!

                            Si votre junte empêche le Maghreb de se construire en fermant les frontières ( qui pénalise tout le Maghreb), le Maroc est bien obligé de voir ailleurs

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                            • #15
                              pour le maroc c'est 2000 MW en 2020. mais deja d'etre un grand producteur du materiaux necessaire et au niveau au niveau technologic et de se comparer a au grand pays avec des populations de plus de 350 million d'habitant.

                              alors comme j'ai dis d'ici 2030 le maroc aura une industries tres performantes et competitive au niveau mondial. L'algerie le va l'etre aussi par defaut .

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