J'ai trouvé ce texte sur le web ... vous en pensez quoi ? Moi je suis d'accord avec l'auteur ... j'attend vos réponses pour en débattre. Wanna fight ?
Vouloir se marier, c'est vouloir former un couple. Un couple c'est à la fois un tout et deux parties. Ca n'est jamais seulement un tout ni seulement deux parties, comme on peut malheureusement le constater quotidiennement autour de nous.
Le célibat est la période de tous les projets, de tous les possibles, de tous les rêves. On se projette, on imagine, on idéalise sa future moitié. On se dit qu'elle sera comme ceci, comme cela. Paradoxalement, on oublie alors assez souvent un élément important, pour ne pas dire l'élément principal : en l'occurrence ce ou cette future conjointe. Le mariage n'est pas le résultat d'une décision unilatérale. Cela paraît évident, mais ça ne l'est pourtant pas. La réalité rattrape très vite les couples qui se sont formés sur des rêves et non sur la compatibilité entre chaque partie.
N'en déplaise aux romantiques débridé(e)s, le choix du conjoint ne doit pas être fondé sur des sentiments, fussent-ils nobles. De même que l'on ne construit pas une maison sur des sables mouvants, de même on ne bâtit pas une relation pour la vie, un mariage, sur le désir, la passion, l'amour. On ne doit pas se marier parce qu'on aime quelqu'un, mais on doit l'aimer parce qu'on se marie avec lui (ce point capital sera abordé plus tard). Bien entendu, cela ne signifie pas que l'amour n'a pas de place dans le couple ni dans le choix du conjoint. L'amour, c'est la cerise sur le gâteau. Sans gâteau, la cerise ne vaut pas le coup et, de toute façon, le gâteau comporte toujours une cerise. Or, pour rester dans la métaphore pâtissière, personne n'achète un gâteau sans en juger l'apparence, la couleur, le contenu, voire le goût. Plus important encore, personne ne choisit le premier gâteau venu, sans s'assurer qu'il convienne. Le mariage, c'est pareil : le conjoint doit convenir.
Soeurise sur le gâteau Convenir, ce n'est pas simplement plaire, convenir c'est avant tout ne pas nuire. Le diabétique prendra certes un gâteau qui lui plaira mais un gâteau sans trop de sucre, pour ne pas dégrader son état de santé. De même, le mariage est une affaire bien trop sérieuse pour qu'on se jette tête baissée dans l'inconnu sans prendre soin de vérifier que la future moitié convienne. D'où la nécessité de penser le mariage, comme dit précédemment, en termes de compatibilité : compatibilité religieuse, sociale, mais encore familiale voire culturelle, et bien entendu compatibilité personnelle.
Trop de couples éclatent parce que leur union a commencé sur un coup de poker. On s'est vu, on s'est plu et on y a cru. Et parce qu'on y croyait, on a cessé de raisonner. Alors qu'on a décidé de monter à deux sur le même bâteau, on n'a pas pris le temps de savoir si l'itinéraire convenait à chacun, ni si on était paré pour un tel voyage, et surtout avec un tel compagnon de route. Pas étonnant que cela finisse tôt ou tard en naufrage.
Vouloir se marier, c'est vouloir former un couple. Un couple c'est à la fois un tout et deux parties. Ca n'est jamais seulement un tout ni seulement deux parties, comme on peut malheureusement le constater quotidiennement autour de nous.
Le célibat est la période de tous les projets, de tous les possibles, de tous les rêves. On se projette, on imagine, on idéalise sa future moitié. On se dit qu'elle sera comme ceci, comme cela. Paradoxalement, on oublie alors assez souvent un élément important, pour ne pas dire l'élément principal : en l'occurrence ce ou cette future conjointe. Le mariage n'est pas le résultat d'une décision unilatérale. Cela paraît évident, mais ça ne l'est pourtant pas. La réalité rattrape très vite les couples qui se sont formés sur des rêves et non sur la compatibilité entre chaque partie.
N'en déplaise aux romantiques débridé(e)s, le choix du conjoint ne doit pas être fondé sur des sentiments, fussent-ils nobles. De même que l'on ne construit pas une maison sur des sables mouvants, de même on ne bâtit pas une relation pour la vie, un mariage, sur le désir, la passion, l'amour. On ne doit pas se marier parce qu'on aime quelqu'un, mais on doit l'aimer parce qu'on se marie avec lui (ce point capital sera abordé plus tard). Bien entendu, cela ne signifie pas que l'amour n'a pas de place dans le couple ni dans le choix du conjoint. L'amour, c'est la cerise sur le gâteau. Sans gâteau, la cerise ne vaut pas le coup et, de toute façon, le gâteau comporte toujours une cerise. Or, pour rester dans la métaphore pâtissière, personne n'achète un gâteau sans en juger l'apparence, la couleur, le contenu, voire le goût. Plus important encore, personne ne choisit le premier gâteau venu, sans s'assurer qu'il convienne. Le mariage, c'est pareil : le conjoint doit convenir.
Soeurise sur le gâteau Convenir, ce n'est pas simplement plaire, convenir c'est avant tout ne pas nuire. Le diabétique prendra certes un gâteau qui lui plaira mais un gâteau sans trop de sucre, pour ne pas dégrader son état de santé. De même, le mariage est une affaire bien trop sérieuse pour qu'on se jette tête baissée dans l'inconnu sans prendre soin de vérifier que la future moitié convienne. D'où la nécessité de penser le mariage, comme dit précédemment, en termes de compatibilité : compatibilité religieuse, sociale, mais encore familiale voire culturelle, et bien entendu compatibilité personnelle.
Trop de couples éclatent parce que leur union a commencé sur un coup de poker. On s'est vu, on s'est plu et on y a cru. Et parce qu'on y croyait, on a cessé de raisonner. Alors qu'on a décidé de monter à deux sur le même bâteau, on n'a pas pris le temps de savoir si l'itinéraire convenait à chacun, ni si on était paré pour un tel voyage, et surtout avec un tel compagnon de route. Pas étonnant que cela finisse tôt ou tard en naufrage.
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