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2012: mauvaise année pour les athées à travers le monde

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  • 2012: mauvaise année pour les athées à travers le monde

    Publié le 12/12/2012

    Selon un rapport de l’International Humanist and Ethical Union (IHEU), une organisation qui regroupe plus de 120 associations d’athées et d’humanistes non croyants dans plus de 40 pays, les droits des non croyants ont été bafoués dans plusieurs pays en 2012.
    Le rapport a été présenté au rapporteur spécial pour la liberté de croyance et de religion de l’ONU, Heiner Bielefeldt, à l’occasion de la journée des Droits de l’homme, le 10 décembre dernier.
    C’est dans les pays où l’islam est la religion officielle que les non croyants font face aux traitements les plus brutaux de la part des Etats et des tenants de la religion officielle. Il existe, note Reuters, au moins sept pays dans lesquels l’expression de l’athéisme ou le refus de pratiquer une religion officielle peuvent conduire à la peine de mort: l’Afghanistan, l’Iran, les Maldives, la Mauritanie, le Pakistan, l’Arabie saoudite et le Soudan.
    Dans d’autres pays comme le Bangladesh, l’Egypte, l’Indonésie, le Koweit et la Jordanie, l’expression de convictions athées ou humanistes sur la religion est totalement interdite ou strictement limitée par des lois condamnant le blasphème.
    Pour autant, l’organisation n’épargne ni le monde occidental, ni les pays de tradition chrétienne. Ainsi en Europe, en Amérique du Nord et latine comme en Afrique sub-saharienne, des pays qui se réclament laïcs donnent des privilèges aux églises chrétiennes dans les domaines de l’éducation et des services publics. L’Etat de l’Arkansas a même, note Reuters, une loi interdisant à un athée d’être témoin dans un procès.
    Un fait nouveau concerne l’accès généralisé aux réseaux sociaux numériques. Si ces derniers facilitent l’expression de points de vue divergents, en retour il est plus facile de persécuter des non croyants pour l’expression en ligne de leurs idées. Dans certains cas, note le rapport, des gouvernements ont menacé de poursuivre en justice ceux qui ont liké ou re-tweeté des commentaires athées.
    En Indonésie, Alexander Aan a été condamné à une peine de deux ans et demie de prison pour des posts sur Facebook. Deux jeunes athées, Jabeur Mejri et Ghazi Beji, ont été condamnés à sept ans et demie de prison pour des faits similaires en Tunisie. Le pianiste athée Fazil Say risque la prison pour des tweets «blasphématoires» en Turquie.


    Slate.fr

  • #2
    Slate.com

    Le magazine a été créé en 1996 par l'ancien rédacteur en chef du New Republic Michael Kinsley. Propriété de Microsoft, il est alors un élément de MSN. Le 21 décembre 2004, le magazine est racheté par le Washington Post Company. Il est géré depuis le 4 juin 2008 par Slate Group, l'entité des publications en ligne créée par le Washington Post Company pour développer et gérer les magazines uniquement disponibles sur Internet.
    Slate, qui propose quotidiennement de nouveaux articles, couvre la politique, l'économie, la culture et le sport. Il vit des recettes publicitaires et est disponible gratuitement depuis 1999.
    Depuis juin 2008, David Plotz en est le rédacteur en chef, en remplacement de Jacob Weisberg, dont il était le rédacteur-adjoint. Jacob Weisberg est lui devenu président et rédacteur en chef du Slate Group.
    Slate a en moyenne 6 millions de lecteurs[1] et est rentable[1].
    Slate.fr[modifier]

    Le 10 février 2009, un magazine en ligne homonyme français a été lancé, fondé par Jean-Marie Colombani, ancien directeur du journal Le Monde, Éric Leser, Johan Hufnagel, et Éric Le Boucher, journalistes, et Jacques Attali[2]. Le Slate Group ne possède que 15 % du capital du magazine français[1] et ses cinq fondateurs indiquent en avoir le contrôle[2]. Slate.fr reprend le concept, la gratuité et l'habillage de la version américaine dont il propose aussi une sélection d'articles traduits, en plus de ses propres articles. Au contraire de journaux en ligne comme Rue89 ou Bakchich, Slate.fr reste sur une formule magazine, ne proposant ni actualités, ni scoops[1].
    Le capital de la société E2J2, qui est l'éditeur du site internet slate.fr, est composé à 50 % par les cinq membres fondateurs, 15 % par le Washington Post et 35 % par Viveris Management (depuis la levée de fonds en juin 2009 au cours de laquelle Viveris Management a injecté 1,5 million d'euros)[3]
    En juillet 2010, le site lance une nouvelle version, avec un design (retravaillé par l'entreprise Upian.com) et une organisation articulée autour du magazine d'une part, et d'autre part des blogs et des contributions des utilisateurs : il est désormais possible de commenter à partir de comptes extérieurs au site. Le haut de la une est restructuré, et la section « Ici et Ailleurs » réapparaît sous le nom « Lu, Vu et Entendu ».
    En 2009, sur un exercice de quinze mois d'octobre 2008 à décembre 2009, les pertes du site s'élèvent à 930 000 euros pour un chiffre d'affaires de 380 000 euros, perçu à partir de septembre 2009[4].
    En août 2012, la régie publicitaire de Slate.fr annonce 3,5 millions de visiteurs uniques sur l'été[5].
    SlateAfrique.com[modifier]

    Le 10 février 2011, Slate.fr lance le site SlateAfrique.com après plusieurs semaines de version bêta. Il traite de l'actualité et de la diaspora africaine. Son siège se trouve à Paris[6].
    Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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    • #3
      va bientot etre obligé de porter un signe "étoile de David" pour etre reconnu comme tel........:22:l'homme perd en respect et grandeur.......:22:
      on fait avec..........

      Commentaire

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