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La pièce "Azal n Tleli" (Le prix de la liberté) présentée, mercredi soir à Batna, par le théâtre régional de Tizi-Ouzou lors du 4e festival national du théâtre amazigh est un témoignage poignant de la résistance du peuple algérien face à un colonisateur sanguinaire.
Les souffrances subies par les Algériens durant l’époque coloniale sont rendues sur les planches par de talentueux comédiens qui ont su camper la détermination du peuple, "unique héros", à préserver sa patrie, son honneur et sa dignité quelle que soit la nature du chantage exercé, ici, par un capitaine de l’armée française.
La patrie et l’honneur constituent des "lignes rouges" pour les habitants meurtris d’un pays soumis au joug, certes, mais qui ont toujours riposté aux abus et aux tentatives de discrimination des colonisateurs et leurs traîtres valets.
Le personnage principal de la pièce, symbolisant des millions d’algériens luttant corps et âme pour la liberté de l’Algérie, préfère mourir plutôt que de collaborer avec le "Caid", finalement abattu par l’épouse du héros.
Cette pièce théâtrale a été fortement applaudie par le public, venu nombreux apprécier la beauté du texte et le professionnalisme des acteurs qui ont su créer une interactivité entre les férus du père des arts et les planches.
Le metteur en scène Lyès Mokrab et les acteurs ont réussi, de l’avis de nombreux spectateurs approchés au sortir du théâtre régional de Batna, à rendre tous les malheurs, mais aussi toutes les résistances qui ont marqué une page sanglante de l’histoire du pays.
Cette pièce réalisée à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance, a été présentée dans une vingtaine de wilayas du pays, a-t-on noté. Seize (16) œuvres montées par plusieurs théâtres régionaux du pays sont en lice pour les prix de cette 4e édition du festival national du théâtre d’expression amazigh, ouvert le 10 décembre dernier pour se poursuivre jusqu’au 18 du même mois.
APS
Les souffrances subies par les Algériens durant l’époque coloniale sont rendues sur les planches par de talentueux comédiens qui ont su camper la détermination du peuple, "unique héros", à préserver sa patrie, son honneur et sa dignité quelle que soit la nature du chantage exercé, ici, par un capitaine de l’armée française.
La patrie et l’honneur constituent des "lignes rouges" pour les habitants meurtris d’un pays soumis au joug, certes, mais qui ont toujours riposté aux abus et aux tentatives de discrimination des colonisateurs et leurs traîtres valets.
Le personnage principal de la pièce, symbolisant des millions d’algériens luttant corps et âme pour la liberté de l’Algérie, préfère mourir plutôt que de collaborer avec le "Caid", finalement abattu par l’épouse du héros.
Cette pièce théâtrale a été fortement applaudie par le public, venu nombreux apprécier la beauté du texte et le professionnalisme des acteurs qui ont su créer une interactivité entre les férus du père des arts et les planches.
Le metteur en scène Lyès Mokrab et les acteurs ont réussi, de l’avis de nombreux spectateurs approchés au sortir du théâtre régional de Batna, à rendre tous les malheurs, mais aussi toutes les résistances qui ont marqué une page sanglante de l’histoire du pays.
Cette pièce réalisée à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance, a été présentée dans une vingtaine de wilayas du pays, a-t-on noté. Seize (16) œuvres montées par plusieurs théâtres régionaux du pays sont en lice pour les prix de cette 4e édition du festival national du théâtre d’expression amazigh, ouvert le 10 décembre dernier pour se poursuivre jusqu’au 18 du même mois.
APS