Nous fumes trahis, vous et moi,
De nos envies mutuelles,
Nous nous glissâmes sans émois
Aux plaisirs des mortelles.
Veuillez croire milles excuses
Nous fumes épris sans nos choix,
Et sans se méfiaient de nos ruses,
Nous nous primes dans ces draps.
Nos désirs avaient bien, un peu,
Si mes souvenirs sont bons,
Contribuaient à ce feu
Qui brûla la raison.
Excusez donc ma faiblesse,
De n'être qu'un amant.
Pardonnez donc ma tristesse
De n'avoir fait semblant.
De nos envies mutuelles,
Nous nous glissâmes sans émois
Aux plaisirs des mortelles.
Veuillez croire milles excuses
Nous fumes épris sans nos choix,
Et sans se méfiaient de nos ruses,
Nous nous primes dans ces draps.
Nos désirs avaient bien, un peu,
Si mes souvenirs sont bons,
Contribuaient à ce feu
Qui brûla la raison.
Excusez donc ma faiblesse,
De n'être qu'un amant.
Pardonnez donc ma tristesse
De n'avoir fait semblant.
Commentaire