Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les Tramways de l'Algerie confier à des bureaux d’études étrangers

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les Tramways de l'Algerie confier à des bureaux d’études étrangers

    Tramways attribués aux bureaux d’études français

    Les villes de:
    * Blida
    * Béchar
    * Bejaia
    * Biskra
    * Skikda
    * Tlemcen
    * Tébessa
    * Alger-ouest

    ---------------------------
    Tramways attribués aux bureaux d’études espagnol (Sener), portugais (Ferconsult) et belge (Transurb Technirail)

    Les villes de:
    * Sétif 3 lignes au total: Ligne 1 (22,7 km). Ligne 2 (22,5 km) Ligne 3 (8,7 km)
    * Batna

    * Annaba
    * Ouargla
    * Mostaganem
    * Sidi Bel Abbès


    Le tramway d'Alger-Est terminé et les tramways d’Oran et Constantine sont en chantier

    S: La Tribune-France
    Dernière modification par MEK, 16 décembre 2012, 10h38.

  • #2
    Tramway d'Oran



    Centre de contrôle du tramway d'Oran

    Commentaire


    • #3
      Tramway de Constantine




      .

      Commentaire


      • #4
        Y'a pas de quoi etre fier, avec tous les projets en cours faut pas me dire qu'il n'y aucun bureau d'études algerien qui s'est associé pour acquérir l'expérience necessaire au developpement des tramways !

        c'est encore de l'argent donné aux etrangers et puis quand meme avec tous les trams en cours et en projet, il y a de quoi developper non seulement un bureau d'etudes algerien, une compagnie specialisée dans la construction des voies de tramway et une entrepise qui fabrique des tramways.

        Commentaire


        • #5
          Envoyé par Ezel
          Y'a pas de quoi etre fier, avec tous les projets en cours faut pas me dire qu'il n'y aucun bureau d'études algerien qui s'est associé pour acquérir l'expérience necessaire au developpement des tramways !

          c'est encore de l'argent donné aux etrangers et puis quand meme avec tous les trams en cours et en projet, il y a de quoi developper non seulement un bureau d'etudes algerien, une compagnie specialisée dans la construction des voies de tramway et une entrepise qui fabrique des tramways.
          Mais vous savez très bien que l'importation, c'est la facilité par excellence, on pourrait contraindre ces bureaux d'études de prendre des stagiaires algériens, on veut aller vite mais on oublie le principal, le développement des cerveaux.
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

          Commentaire


          • #6
            Avec ce nombre de projets ,c'est dommage de rater cette occasion de stipuler dans les cahiers de charges, la prise en charges de bureaux d’étude algériens pour l'acquisition d'expertise

            Commentaire


            • #7
              Les algériens n'ont pas d'expertise en la matière !!

              Pourquoi pas des bureaux d'étude étrangers si ils détiennent les compétences requises ??????
              Le Sage

              Commentaire


              • #8
                c'est bien, chaque ville a sa couleur

                A Setif, ça sera peut-être du noir et blanc

                Commentaire


                • #9
                  .
                  Envoyé par Fouad
                  Pourquoi pas des bureaux d'étude étrangers si ils détiennent les compétences requises ??????
                  C mentionnée dans le contrats que des ingénieurs Algériens participent avec les bureaux d’études étrangers

                  .

                  Commentaire


                  • #10
                    C mentionnée dans le contrats que des ingénieurs Algériens participent avec les bureaux d’études étrangers
                    et peut etre que malgré ça...y a pas moyen de le faire en algerie , ce n'est pas avec une participation quand peut devenir meneur de projet ... faudrait peut etre attendre encore une douzaine d'année ....
                    tu tombe je tombe car mane e mane
                    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                    Commentaire


                    • #11
                      Mais vous savez très bien que l'importation, c'est la facilité par excellence, on pourrait contraindre ces bureaux d'études de prendre des stagiaires algériens, on veut aller vite mais on oublie le principal, le développement des cerveaux.
                      Ca c'est sur ! le seul point positif s'il est réalisé c'est l'usine de tram avec ferrovial ! mais il aurait fallut aussi négocier des contrats pour développer une école des métiers du rail avec alstom ou sncf, afin de ne plus faire appel aux étrangers pour les futurs chantiers de développment.

                      Commentaire


                      • #12
                        Les Algériens sont trop difficiles a diriger. Si tu fais une entreprise algérienne de tramway et que le tramway est pourri, ils vont te cracher dessus, si tu fais appel à des étrangers, ils te crachent dessus aussi et si tu ne fais rien, ils te crachent dessus.

                        Commentaire


                        • #13
                          mieux vaut des algeriens critique envers leur pays que des beni oui-ouiste qui ne feront pas avancer le pays

                          Commentaire


                          • #14
                            mieux vaut des algeriens critique envers leur pays que des beni oui-ouiste qui ne feront pas avancer le pays
                            Critique mais avec des faits, pas des rumeurs.
                            Si tu crois que c'est facile de créer une industrie de tramway ou automobile, tu n'as qu'à le faire.

                            A mon avis, demande aux Algériens, ils préfèrent que tous les tramways soient fait tout de suite que d'attendre une hypothétique entreprise de tramway algérienne dans je ne sais combien d'années avec un résultat bof bof. On est pas des Japonais ou des Coréens.

                            Commentaire


                            • #15
                              PROPOS RECUEILLIS PAR LAZHAR DJEZIRI



                              Les Afriques : Pouvez-vous nous en dire plus sur votre projet d’usine de montage de tramways ?

                              Rafik Sana : Nous avons en effet confirmé notre volonté de réaliser une unité de montage de tramways en Algérie. Ce projet a été validé lors de la visite du vice-président transport en Algérie, le 3 novembre dernier, lorsqu’il a rencontré le ministre des Transports, Amar Tou. Par contre, le point sur lequel je tiens à être clair, c’est qu’il a été convenu, lors de cette visite, de la mise en place d’une commission mixte dont les premières réunions vont avoir lieu début décembre. Elle sera constituée de responsables du ministère des Transports, de l’Entreprise du métro d’Alger (EMA) et d’Alstom pour étudier la façon optimale d’implémenter ce projet. Les points qui seront étudiés sont, entre autres, le lieu d’implantation, les capacités de production, et, globalement, la stratégie de cette unité de montage.

                              Il n’a donc pas été question d’implanter le projet d’usine de montage à Annaba. On ne peut pas, nous seuls, décider du lieu d’implantation. Ce sera à la suite des réunions de la commission mixte. Annaba ou ailleurs, cela dépendra des études de faisabilité qui vont se faire. Il va falloir définir le périmètre de cette unité de montage, et, après cela, on verra les options. Annaba en est une parmi d’autres.



                              LA : L’unité produira pour l’Algérie uniquement, ou est-il prévu d’exporter ?

                              RS : La priorité sera accordée aux besoins de l’Algérie, qui a de grands projets de tramways à Alger, Constantine, et Oran. Le ministre a également annoncé un métro et un tramway dans chaque grande ville. Il n’y a pas de planning clairement arrêté pour ces derniers projets, mais on peut dire que, tous les deux ans environ, il y aura un nouveau tramway qui sera opérationnel dans une ville. Pour ce qui est de l’exportation, pourquoi pas, c’est une option. Là aussi, ce n’est pas nous qui décidons, ce sont les marchés internationaux. Et si, sur un projet donné, il y a possibilité de faire appel à la production algérienne, pourquoi pas, puisque le tramway fabriqué en Algérie répondra aux normes internationales. Il n’y aura aucune différence avec ceux qui sont produits à La Rochelle.



                              LA : Qu’est-ce qui est prévu en matière de financement ?

                              RS : Ce que je peux vous dire à ce stade de la réflexion, c’est qu’il s’agit d’une approche mixte. Ce sera probablement une joint-venture entre Alstom et une structure ferroviaire algérienne.



                              LA : Qu’en est-il de la présence d’Alstom en Algérie ?

                              RS : Alstom est présente dans deux grandes familles d’activités. La partie transport et la partie production d’électricité. Pour le transport, nous sommes dans le projet d’électrification de la ligne ferroviaire de la banlieue d’Alger. Le projet, dans sa partie Alger-Thénia, a été inauguré récemment par le ministre des Transports. Nous sommes également présent sur les projets de tramways d’Alger, Oran et Constantine. A Alger, nous sommes chef de file du consortium. Et pour les tramways d’Oran et de Constantine, nous sommes membres de consortiums avec respectivement une compagnie espagnole (Isolux Corsan, ndlr) et une compagnie italienne (Pizzarotti, ndlr). Nous fournissons l’ingénierie, la signalisation et les tramways.

                              « Si, sur un projet donné, il y a possibilité de faire appel à la production algérienne, pourquoi pas, puisque le tramway fabriqué en Algérie répondra aux normes internationales. »

                              Pour la partie énergie, nous fournissons une centrale électrique clé en main à Relizane, d’une capacité de 450 MW. Et nous conduisons un consortium pour la réalisation d’une centrale à cycle combiné à Terga (Aïn Temouchent) d’une capacité de 1200 MW. Nous avons déjà installé une centrale à F’kirina, et nous sommes engagés dans des opérations de réhabilitation d’autres centrales électriques.



                              LA : A combien estimez-vous l’investissement propre d’Alstom en Algérie ?

                              RS : Difficile d’évaluer. Ce que je peux vous dire, c’est qu’Alstom Algérie emploie 650 personnes, avec tout ce que cela implique comme investissement sur le plan de la formation (notamment à l’étranger), du développement, de la prise en charge et de la création de valeur ajoutée. D’autre part, nous avons une politique de recours à des sous-traitants algériens. Je prends par exemple le projet de station de Relizane, nous travaillons avec des sociétés algériennes telles que Etterkib et Inerga. Sans dévoiler les montants, qui sont confidentiels, je peux dire que les parties confiées à Etterkib et Inerga représentent plus de 50% des activités basées en Algérie. Plus de la moitié des activités de chantier sont effectuées par ces deux entreprises. Nous sommes pratiquement dans le même ordre sur le projet du tramway d’Alger, où nous faisons travailler des sociétés algériennes.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X