il existe entre les sociétés humaines un certain optimum de diversité (...) on doit reconnaître que cette diversité résulte pour une grande part du désir de chaque culture de s'opposer à celles qui l'environnent, de se distinguer d'elles, en un mot d'être soi ; elle ne s'ignorent pas, s'empruntent à l'occasion, mais, pour ne pas périr, il faut que, sous d'autres rapports, persiste entre elles une certaine imperméabilité."
A l'ère de la mondialisation, beaucoup de cultures se sentent menacées dans ce qui est inhérent à leur raison d'être.
Comment concilier apport culturel externe et sauvegarde du patrimoine propre à une société ? Qu'est ce qui définit l'essence d'une société, sans lequel elle cesse d'être ce qu'elle est ?
Je pense que la réponse sereine à ces questions, dans le cas de l'algérie, peut apporter un équilibre juste et porteur pour le développement positif de notre société entre fermeture hermétique et imitation aveugle de ce qui nous vient de l'extérieur, qu'il soit occidental ou oriental...
A l'ère de la mondialisation, beaucoup de cultures se sentent menacées dans ce qui est inhérent à leur raison d'être.
Comment concilier apport culturel externe et sauvegarde du patrimoine propre à une société ? Qu'est ce qui définit l'essence d'une société, sans lequel elle cesse d'être ce qu'elle est ?
Je pense que la réponse sereine à ces questions, dans le cas de l'algérie, peut apporter un équilibre juste et porteur pour le développement positif de notre société entre fermeture hermétique et imitation aveugle de ce qui nous vient de l'extérieur, qu'il soit occidental ou oriental...
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