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Pourquoi l'Algerie n'est pas encore une puissance emergente ?

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  • Pourquoi l'Algerie n'est pas encore une puissance emergente ?

    Mon com perso : Because surtout Rechoua ( Corruption) généralisée , diffusée de haut en bas , de droite à gauche paroxystique et encore faible tissu artisanal, TPE et PME algeriennnes ( Productions internes) et Ordre juridique economique et commercial pas assez efficient.

    L'Article ci dessous


    Pourquoi l’Algérie n’est pas encore une puissance émergente?

    Publié par Alexandre Kateb le 22 décembre 2012 ·

    A l’occasion de la visite d’Etat mercredi du président François Hollande en Algérie, il nous a paru opportun de dresser un portrait économique de ce pays qui vient de fêter cette année ses cinquante ans d’indépendance, et dont la relation en dents de scie avec son ancienne tutelle coloniale a été une suite d’occasions manquées. La question de la mémoire coloniale et son traitement dans la douleur, de part et d’autre, a en effet longtemps obscurci et bridé le potentiel de cette relation dont les ressorts historiques et culturels, portés par une importante population d’origine algérienne en France, ne sont plus à démontrer.

    De ce côté-ci de la Méditerranée, cette question de la mémoire, alimentée il y a quelques années par les déclarations intempestives de certains députés français sur le « rôle positif de la colonisation », a constitué un véritable écran de fumée et un prisme réducteur qui a aveuglé les élites économiques et politiques françaises sur les évolutions en cours en Algérie. Cinquante ans après l’indépendance algérienne, une partie des élites françaises continue en effet à regarder l’Algérie et les Algériens avec ce mélange de supériorité et de condescendance si bien décrit par Albert Camus en son temps. Or, le « Printemps arabe » a montré dans le cas tunisien les dangers d’un tel aveuglement, fondé sur une impasse mémorielle et alimenté par la peur de l’immigration et de l’islam.

    De fait, l’Algérie a beaucoup changé au cours des vingt dernières années. Après l’interruption forcée du processus démocratique en 1991 et les années de contestation violente du régime par des groupes islamistes armés, la « concorde civile » orchestrée en 1999 par Abdelaziz Bouteflika, l’homme du consensus entre les différents clans militaires et civils qui se partagent le pouvoir depuis l’indépendance, a réussi à mettre fin à la violence – au prix d’une politique de réconciliation nationale à l’efficacité incontestable. Ensuite, le super-cycle de croissance mondiale des années 2000 alimenté par la bulle immobilière aux Etats-Unis et par l’accélération concomitante de la croissance en Chine a constitué une aubaine pour l’Algérie comme pour beaucoup d’autres pays exportateurs de commodities. Cela s’est traduit par une hausse continue du prix du pétrole et du gaz, qui a bénéficié aux caisses de l’Etat algérien autant qu’à celles des holdings d’importation et aux groupes de BTP étrangers (français, turcs, chinois, etc.) sollicités pour participer à de vastes projets d’infrastructures.

    Cette manne pétrolière et gazière – la deuxième dans l’histoire du pays après celle des années 1970 – a-t-elle été bien gérée ? A première vue, on serait tenté de répondre par l’affirmative. Tirant la leçon des années de crise et s’inspirant des expériences étrangères, les autorités algériennes ont mis de côté une partie des recettes pétrolières et gazières, à travers la création en l’an 2000 d’un Fonds de régulation des recettes (FRR) doté aujourd’hui de près de 80 milliards de dollars. Les réserves de change officielles atteignent quant à elles près de 180 milliards de dollars, cette accumulation étant favorisée par la politique monétaire de la Banque d’Algérie. La dette extérieure a été quasiment effacée et l’inflation a été contenue dans des limites raisonnables, ce qui est remarquable compte tenu de la croissance rapide de l’économie au cours des dix dernières années.

    Toutefois, si les grands équilibres macroéconomiques ont été préservés, les problèmes structurels demeurent. Le revenu nominal par habitant exprimé en dollars a certes été triplé en dix ans, franchissant en 2011 le cap des 5.000 dollars par habitant et faisant de l’Algérie un marché attractif pour les grandes multinationales, mais ce résultat a été obtenu grâce à l’accroissement spectaculaire des recettes des hydrocarbures et à leurs effets induits (augmentation des salaires dans le secteurs public, boom de la construction et de l’immobilier). En outre, la hausse rapide du revenu moyen a masqué l’apparition d’inégalités croissantes entre les insiders du système (fonctionnaires et salariés du secteur public, importateurs et distributeurs) et les outsiders (chômeurs et travailleurs de l’économie informelle). Enfin, le faible taux de participation à l’emploi (45% seulement) dissimule un chômage bien supérieur au taux officiel de 10% (et de 20% pour les jeunes et les femmes), et une forte prévalence de l’économie informelle.

    La croissance de l’économie algérienne a été « boostée » par le programme d’investissement public mis en place par le gouvernement dans les années 2000. Néanmoins, sur les 155 milliards de dollars programmés sur la période 2004-2010, seuls 25 milliards ont été réellement dépensés, dans des projets emblématiques comme la construction d’un million de logements, l’autoroute Est-Ouest (1.200 kilomètres) ou le métro d’Alger. Les crédits non consommés ont été reportés dans le nouveau programme 2010-2014 d’un montant prévisionnel de 286 milliards de dollars. C’est ce nouveau programme au montant colossal, mais dont les perspectives de réalisation sont incertaines, qui nourrit l’appétit des entreprises françaises et qui sous-tend le partenariat stratégique proposé par François Hollande aux Algériens. Mais après des années de délitement de la relation franco-algérienne, les Algériens sont aujourd’hui en position de force, et il n y a guère de doute que les entreprises françaises seront mises en concurrence avec leurs homologues des autres pays européens (Allemagne, Italie, Espagne), des Etats-Unis et des pays émergents (Chine, Turquie, Corée du Sud, Emirats Arabes, etc.).

    En définitive, si les investissements dans les infrastructures permettent de lever les goulots d’étranglement qui entravent la croissance (logements, ressources en eau et en électricité, réseaux de transports), sur un programme de 300 milliards de dollars d’investissements publics, seuls quelques milliards sont destinés à la R&D et au développement des PME. Les perspectives à long terme de l’Algérie reposent sur la capacité des autorités à opérer une véritable diversification de l’économie hors des hydrocarbures, et à faire du secteur privé la locomotive de la croissance. Cela passe par un ensemble de réformes structurelles qui ont été trop longtemps ajournées, telles que la convertibilité du dinar algérien, la simplification administrative et judiciaire, et l’introduction d’incitations massives en faveur de l’investissement productif. Pour un pays qui valorise autant sa souveraineté, il est en effet paradoxal d’encourager autant les importations au détriment de la production locale.

    Sortir d’une situation d’économie rentière nécessite aussi une refonte complète des mécanismes de gouvernance et l’instauration d’une culture de la transparence et de la responsabilité, adossée à une véritable capacité de contrôle et d’évaluation des politiques publiques. Or, dans son dernier rapport, l’ONG Transparency International classait encore l’Algérie parmi les pays les plus corrompus au monde, la corruption étant intimement liée à l’existence d’une rente. Les exemples de l’Indonésie ou du Mexique montrent qu’il est possible d’en sortir. Plus près de l’Algérie, les progrès du Maroc, avec le Plan Emergence qui commence aujourd’hui à porter ses fruits, sont encourageants.

    Avec ses ressources humaines et naturelles considérables et sa position géostratégique privilégiée, l’Algérie présente un énorme potentiel. Mais pour se hisser au rang de puissance émergente, il faut plus que des kilomètres d’asphalte et des mètres cubes de béton. Le gouvernement algérien serait bien inspiré de libérer les initiatives individuelles et de mettre en place une stratégie cohérente de développement, conjuguant soutien à l’industrie locale et intégration régionale, dans le cadre du grand Maghreb et d’un partenariat euro-méditerranéen refondé.


    __________________________________________________ ____

    Alexandre Kateb dirige le cabinet de conseil et d’analyse économique, géopolitique et financière COMPETENCE FINANCE après une carrière au sein de grandes institutions financières publiques et privées (Banque de France, groupe BNP Paribas).

    Alexandre Kateb conseille les gouvernements, les institutions financières (investisseurs, banques) et les entreprises. Il est l’auteur d’un livre sur les grandes puissances émergentes: « Les nouvelles puissances mondiales. Pourquoi les BRIC changent le monde » (Ellipses, 2011). Il consacre à l’économie des pays émergents un enseignement à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris. Il a également délivré des enseignements à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) française et au Ministère des Affaires Etrangères.

    Alexandre est associé aux travaux de différents think tanks en France et à l’étranger (IFRI, Institut Choiseul, Institut de l’Entreprise, Institut Amadeus), et il participe au débat économique et politique en intervenant dans les médias (presse écrite, télévision, radio) et dans des séminaires et conférences de haut niveau. Il a été auditionné par la Commission des Affaires Etrangères de l’Assemblée Nationale sur les BRICS, ainsi que sur les relations entre l’Union Européenne et la Russie.

    Polyglotte, Alexandre Kateb parle couramment le français, l’anglais, le russe, et l’arabe. Il possède également de bonnes connaissances en allemand et des bases en espagnol. Il est diplômé de l’Ecole Centrale Paris (ingénieur-économiste) et de Sciences Po Paris.

    BIOGRAPHY IN ENGLISH
    Dernière modification par Sioux foughali, 23 décembre 2012, 01h01.

  • #2
    ...

    et bien bonjour ou bonsoir, parce qu'avec tous ces chiffres égaux des politiques, sans hypothèse "obligatoire" d'inversement, il ne sera pas rien de bien les affinés, des bons sens et des belles raisons,...

    et puis vous savez bien, plus que souvent, après "pourquoi" s'installe chaque fois "comment" soulève, oui, non, vous réfléchissez, et bien, une nouvelle fois, faites le bien, car mieux ne vaut rien, juste bien, c'est mieux,...

    donc et aussi, tout semble encourageant, alors "votre com perso" est assez bien venue des instants, des mémoires, des jeunesses, tous de la réalité, et, "elle ou il de com" mieux répartie, de l'histoire, des politiques, des économies, bien toutes de la Vie, n'est ce pas,...

    ensuite verrons nous de la puissance la plus belle qui en soit demeure bel équilibre à juste valeur des peuples et des annonces, mais dans l'attente, veuillez, je vous prie, dès présent et à l'avenir, ne plus écorcher l'innocence heureuse des colonies d'un autre sens, encore plus jeune, ou bien, n'ayez crainte de les prénommées tout aussi nouvellement que le temps, et même les temps, le souhaiteraient, enfin, si je me permets naturellement de leurs âges sans guerres ni rapports de même "extravagances" m.urtri.r.s, la même lettre se manque à l'appel des maux, n'oubliez pas l'accent, merci, bien, ...
    Dernière modification par nedjmala, 23 décembre 2012, 09h26.
    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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    • #3
      ensuite verrons nous de la puissance la plus belle qui en soit demeure bel équilibre à juste valeur des peuples et des annonces, mais dans l'attente, veuillez, je vous prie, dès présent et à l'avenir, ne plus écorcher l'innocence heureuse des colonies d'un autre sens, encore plus jeune, ou bien, n'ayez crainte de les prénommées tout aussi nouvellement que le temps, et même les temps, le souhaiteraient, enfin, si je me permets naturellement de leurs âges sans guerres ni rapports de même "extravagances" m.urti.r.s, la même lettre se manque à l'appel des maux, n'oubliez pas l'accent, merci, bien,
      kelk1 peu traduire ?
      google a jeté l'éponge.

      Commentaire


      • #4
        @nedjmala,
        Merci pour le sourire de bonne heure.
        Envoyé par nedjmala
        et bien, une nouvelle fois, faites le bien, car mieux ne vaut rien, juste bien, c'est mieux
        Tout à fait. Si mieux est l'ennemi du bien cela ne signifie pas toujours que "mieux" est meilleur que "bien". Il arrive qu'à vouloir mieux faire, on ne fait tout simplement pas bien.

        @Sioux foughali
        La corruption tant décriée à juste titre ne serait-elle finalement pas l'arbre qui cache la forêt ?
        "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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        • #5
          Salam, Bonjour,

          Nicya Citation:
          ensuite verrons nous de la puissance la plus belle qui en soit demeure bel équilibre à juste valeur des peuples et des annonces, mais dans l'attente, veuillez, je vous prie, dès présent et à l'avenir, ne plus écorcher l'innocence heureuse des colonies d'un autre sens, encore plus jeune, ou bien, n'ayez crainte de les prénommées tout aussi nouvellement que le temps, et même les temps, le souhaiteraient, enfin, si je me permets naturellement de leurs âges sans guerres ni rapports de même "extravagances" m.urti.r.s, la même lettre se manque à l'appel des maux, n'oubliez pas l'accent, merci, bien,
          kelk1 peu traduire ?
          google a jeté l'éponge.
          effectivement, une autre lettre du mot à points manque à l'appel, je vous le redonne en 1000, m.urtri.r.s, ensuite relisez bien, rien de plus naturel par "l'éponge"...

          benam
          @nedjmala,
          Merci pour le sourire de bonne heure.
          Citation:
          Envoyé par nedjmala
          et bien, une nouvelle fois, faites le bien, car mieux ne vaut rien, juste bien, c'est mieux

          Tout à fait. Si mieux est l'ennemi du bien cela ne signifie pas toujours que "mieux" est meilleur que "bien". Il arrive qu'à vouloir mieux faire, on ne fait tout simplement pas bien.
          oui, il peut être "l'ennemi" ou le "beau faux semblant", rien de péjoratif dans la formule élevée aux plusieurs étages sans ascenseur des degrés, c'est le résultat qui compte, c'est bizarre, et ce sont les calculs qui pèsent à trop mieux vouloir faire, c'est dommage, mais bon quand même vive le progrès quand il est bien fait et lorsqu'il se tient jusque des partages tout aussi bien relatifs, ou complétés, ou normaux, ou... ...

          à ce fait, et du sujet, Méditerranée est inévitable des circonstances à venir, elle a d'ailleurs toujours été de cette place pour le bien de tous, rare ou ignorant(e) se fera dire du contraire, car il ne s'est jamais fait d'elle ni mieux ni pire, que juste, ou juste juste, pour ceux et celles qui ne comprennent pas tout des "saisons" remarquables ou des "occasions" immanquables, autant d'un cabinet ou d'une analyse à l'autre...tiens, justement, se hisser "au haut rang", c'est mieux chercher ou c'est bien utile, ou encore, n'est-il pas plus simple(benam) et temps, entre mètres et kilos, de rapprocher sans faussetés et plus qu'il ne l'est et d'une part, naturellement humain et humainement naturel parmi tous composés, et d'autre part, peuples et terres, car vous savez bien, et pour chaque côtés de la Méditerranée ou comme il est partout ailleurs, que rien ne manque ni d'hier ni d'aujourd'hui ni de chacun ni de chacune, donc pas la peine de vous faire un dessin, la formule des politesses, plus haut citée, vous est parvenue et vous parvient comme une première base à tout avenir s'y composant des dialogues à tous circuits(études, apprentissages, compétences,...) et s'y reflétant des rencontres à toutes cultures (politiques, culturelles, économiques,...), de fait, cherchez donc la meilleure relativité pour bien faire de l'Humanité, chacun(e) sa ou ses parts, chacun(e) ses ou son histoire, chacun(e) ses et son devoir, la liste est longue mais voyez que la différence n'est pas mieux, elle est juste indifférente d'où que vous comptiez de chaque précepte, même des Hommes, combien de milliards en tout et déjà, ou other or over because...

          Salam, merci...
          Dernière modification par nedjmala, 23 décembre 2012, 10h19.
          ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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          • #6
            Bonjour Benam,

            @Sioux foughali
            La corruption tant décriée à juste titre ne serait-elle finalement pas l'arbre qui cache la forêt ?
            Peux tu developper ? comment tu vois les choses ?

            Enfin moi je vois une plus grande activité des agents economiques , producteurs, acheteurs pour revente etc avec moins de corruption et des regles et une sanction de ces regles , donc plus de confiance

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            • #7
              l'algerie pour ceux ki lne le save pas est une la 1ire puissance d'afrique ca nous suffit ok je ne dirais pa plus car je nai pas le droit de reveler nos secrets

              Commentaire


              • #8
                l'algerie pour ceux ki lne le save pas est une la 1ire puissance d'afrique
                jusqu'a cet instant je le savais pas, merci sap de l'avoir rappelé
                أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                • #9
                  Parce qu'elle repose uniquement sur des ideaux idealisés et sur des mythes oubliant les realités. N'est pas puissance qui veut, quant à l'emergence, l'Algerie est surtout un marché emergent et non une economie emergente.
                  "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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                  • #10
                    Cette manne pétrolière et gazière – la deuxième dans l’histoire du pays après celle des années 1970 – a-t-elle été bien gérée ?
                    La pire gestion est celle de l'argent qui dort.
                    Si cette foutue manne n'avait pas eu lieu où en serait-on aujourd'hui ?

                    Après 20 ans l'Algérie est toujours sur un volcan qui peut s'activer à tout moment.

                    Le gouvernement algérien serait bien inspiré de libérer les initiatives individuelles et de mettre en place une stratégie cohérente de développement, conjuguant soutien à l’industrie locale et intégration régionale, dans le cadre du grand Maghreb et d’un partenariat euro-méditerranéen refondé.
                    Il faudrait voir à la qualité et à la compétence des hommes à la barre, aux dernières nouvelles l'encouragement des initiatives économiques n'est pas leur fort.
                    Quant aux blabla maghrébin et euro-méditerranéen ce n'est que de la bouillie pour les chats, l'Algérie marché pour les européens et leur entreprises délocalisées au Maroc ... Non merci!
                    À l'instar de l'integration européenne l’intégration du Maghreb doit se construire sur une base maghrébo-maghrébine loin des calculs européens, pour le moment malheureusement les conditions idéales ne sont pas présentes.
                    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                    • #11
                      Je suis algérien, j'aime beaucoup mon pays ...j'ai passé plus de 4 ans à essayer de comprendre un peu ... mon analyse est un témoignage avec des preuves sans équivoque que beaucoup parfois dans le gouvernement travaillent ou ne travaille pas du tout ... pour que le maroc soit mieux que l'Algérie ... c'est terrible !

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                      • #12
                        l'algérie n'est pas une puissance émergente parce que tout changement au cours "naturel" des choses, entraine forcément une résistance, une force qui n'est là que dans le but de le contrer.

                        dans le cas de l’Algérie, cette force est bien trop importante.

                        certains disent qu'elle vient de l'intérieur du pays, d'autre affirment le contraire, pour eux ce serait l’étranger, peut être que tout le monde a raison en même temps.
                        La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

                        Commentaire


                        • #13
                          L’Algérie n'est pas une puissance émergente parceque le peuple est exclut de son développement, je parle du peuple porteur de projets de développement, tout est fait pour appesantir ses bras, ses mains, ses pieds, son cerveau ! Dans un pays comme le notre seul l'état, comme un petit maçon, construit la maison Algérie, pierre à pierre, selon son emploi du temps, son calendrier, sa vitesse d’exécution...

                          En Asie, au Brésil, ils sont une nuées d'entrepreneurs, de petits maçons, qui construisent non plus une maison, mais un palais ! Chaque jour que dieu fait, la mécanique prend le pas sur la solitude, l'impuissance, le fatalisme et construit les bases d'un futurible...

                          Quand on aura compris cela en Algérie, alors on commencera à devenir, nous aussi, non point une puissance émergente, mais une puissance émergé ou même une puissance tout court !

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                          • #14
                            Pour être une puissance émergente il faudrait d'abord sortir de la post colonisation Frankaoui qui est un continuum colonial qui ne s'est jamais arrêté mais qui a pris des formes plus perfides.

                            puis mettre à l'écart ces produits du programme colonial d'abrutisation qui nous dirigent,
                            il faut savoir qu'aucun président de la république Algérienne depuis 62 n'est titulaire du bac, perso je ne leur en veut pas, avant 1830 la population Algérienne était plus éduqué que la population Française, c'était l'héritière d'Al Andalus, on peut voir aujourd'hui à quel point elle a été bousillée par ses "biens faiteurs venus lui apporté la lumière"

                            Commentaire


                            • #15
                              on peut voir aujourd'hui à quel point elle a été bousillée par ses "biens faiteurs venus lui apporté la lumière"
                              Jusqu'à la table d'un diner officiel :



                              Toute une symbolique.
                              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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