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MeLi mEs MoTs

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  • MeLi mEs MoTs

    On sent venir d’une sombre Royauté des voix sans nombre
    Et les rêves animer le sommeil De ceux qui ont banni le fiel
    Là où la vision s’enfouie derrière L’horizon mystérieux qui répande
    Perpétuellement la lumière Faste sur la terre sainte et ronde
    Ton regard plongé dans le mien, mon cœur tentera de se calmer
    J'esquisserai un sourire pour cacher ma gêne
    Tu me racontes ton voyage mais moi je suis sur un nuage
    Je survole le chemin qui t'a conduit à moi
    Je voudrai ne plus me réveiller, sentir encore l'odeur de ta peau..
    Me souvenir ce cette nuit là prêt du feu de cheminée, où toi et moi...
    Lorsqu'arrivent les jours amers, Tes bras deviennent sémaphore.
    Très vite alors je viens vers toi Rechercher l'abri de ton corps
    Quand la passion cède à la frustration Quand l’amour devient désillusion
    Quel est cet ange, que je vois, devant moi ?
    Alors ni la vie paisible ne m’est possible et ni la mort se rapproche
    Laisse-moi respirer longtemps, , l’odeur de tes cheveux
    La rue assourdissante autour de moi hurlait. Comme un ruisseau
    qui dessine un chemin ……
    Elle rapporte les écris du cœur par sa finesse ..........
    J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans.
    Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans,
    De vers, de billets doux, de procès, de romances,

    Matrix ...

    le 22/012/2012 deuxieme jours apres la fin du monde


    Alors pour certaines ces phrases ont ete prises un peut partout sur le Net je ne vois nullelment le caractere de Plagiat

    VOILA IL EST CONTENT .......

    M....

    A J'AI PAS LE DORIT CE MOT EXISTE DEJA .....



    ===MODERATION ====
    N'oubliez pas de citer le nom de l'auteur d'un poème lorsque vous n'êtes par l'auteur du poème.
    Il faut respecter les droits d'auteur.: http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=12136
    Dernière modification par Néo, 23 décembre 2012, 13h20.

  • #2
    MeLi mEs MoTs

    Longue était l’attente
    déclenchent la minuterie des instants
    l’oubli et délivra enfin le silence de sa prison;
    Et Les senteurs de l’automne
    sont un baume enivrant
    mais se fasse, le temps passe
    Mais n’avez-vous jamais senti ce sentiment étrange
    il n'y a qu'une âme, insaisissable,
    qui vous confond,

    Alors la foule est ce vide où il n'est pas
    nègre de ces lignes, esclave de son cœur,
    cette plaie affective qui s’infecte ? Peut-être.
    Mais c'est plutôt tracer en chaque ligne,

    un chemin, De ce côté-ci de la Méditerranée
    quand je vois l’indifférence des autres
    fasse à tant d'évidence.....

    Commentaire


    • #3
      Joli Matrix ...
      Even if

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