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31 établissements de formation professionnelle sont identifiés pour prendre en charge les besoins en formation et qualification dans les métiers de l’industrie (mécanique, pharmaceutique, électronique) à partir du mois de février 2013.
C’est qu’a fait savoir Mohammed Mebarki, ministre de la Formation et de l'Enseignement Professionnels à l’occasion d’une rencontre tenue, ce matin, au siège du ministère de l’industrie, portant sur la signature d’une convention de partenariat entre les deux départements.
De son coté, Cherif Rahmani, ministre de l’Industrie et des PME, a indiqué que la formation des jeunes se fera en alternance dans l’entreprise. Les politiques de valorisation des compétences et de requalification de la ressource humaine en entreprise développées par les deux secteurs (industrie et formation professionnelle) visent l’adaptation de l’offre de formation, de perfectionnement et de qualification à la demande des entreprises et des PME industrielles.
Le ministre a fais savoir, par ailleurs, que dans le cadre de ce partenariat, les jeunes peuvent, également, bénéficier d’un savoir-faire étranger. « A travers les partenariats conclus avec les entreprises étrangères, nous pouvons faire appel à des experts étrangers. Cela nous permet d’acquérir un transfert du savoir- faire de l’entreprise au bénéfice des centres de formations, mais également du centre vers l’entreprise de manière à ce que le transfert de savoir- faire sera effectué», a-t-il soutenu.
Pour sa part, M. Mebarki, a indiqué, dans ce sens, que l’expertise étrangère, présente en Algérie, doit être exploitée pour perfectionner les formateurs algériens de façon à ce qu’ils bénéficient des expériences disponibles. « Il est nécessaire de profiter des expertises existant dans le secteur industriel. Les partenariats conclus avec les étrangers doivent laisser des traces en matière d’accords de partenariats avec le secteur de l’enseignement professionnel », a-t-il soutenu.
Il a ajouté, dans le même sillage, que ce partenariat doit être exploité amplement, dans la filière l’automobile notamment la sous-traitance. Il a cité, à titre d’exemple, l’entreprise Renault. Il a indiqué que les experts exerçant au sein de cette usine peuvent former les jeunes dans les différentes spécialités disponibles à savoir l’usinage, la fonderie, la ferronnerie, etc.
Chérif Rahmani a affirmé que 19 000 demandes de besoins en formations en été enregistrées. Selon lui, 31 établissements de formation professionnelle sont identifiés, dans une première étape pour prendre en charge les besoins en formation et qualification dans les métiers de l’industrie, au demeurant exprimés par les entreprises.
La convention s’étale sur une période de trois années renouvelables. Elle vise à promouvoir la formation et l’enseignement professionnels dans les métiers de l’industrie et de recycler la ressource humaine des entreprises industrielles, a-t-il signalé
Lynda M. 25/12/2012
C’est qu’a fait savoir Mohammed Mebarki, ministre de la Formation et de l'Enseignement Professionnels à l’occasion d’une rencontre tenue, ce matin, au siège du ministère de l’industrie, portant sur la signature d’une convention de partenariat entre les deux départements.
De son coté, Cherif Rahmani, ministre de l’Industrie et des PME, a indiqué que la formation des jeunes se fera en alternance dans l’entreprise. Les politiques de valorisation des compétences et de requalification de la ressource humaine en entreprise développées par les deux secteurs (industrie et formation professionnelle) visent l’adaptation de l’offre de formation, de perfectionnement et de qualification à la demande des entreprises et des PME industrielles.
Le ministre a fais savoir, par ailleurs, que dans le cadre de ce partenariat, les jeunes peuvent, également, bénéficier d’un savoir-faire étranger. « A travers les partenariats conclus avec les entreprises étrangères, nous pouvons faire appel à des experts étrangers. Cela nous permet d’acquérir un transfert du savoir- faire de l’entreprise au bénéfice des centres de formations, mais également du centre vers l’entreprise de manière à ce que le transfert de savoir- faire sera effectué», a-t-il soutenu.
Pour sa part, M. Mebarki, a indiqué, dans ce sens, que l’expertise étrangère, présente en Algérie, doit être exploitée pour perfectionner les formateurs algériens de façon à ce qu’ils bénéficient des expériences disponibles. « Il est nécessaire de profiter des expertises existant dans le secteur industriel. Les partenariats conclus avec les étrangers doivent laisser des traces en matière d’accords de partenariats avec le secteur de l’enseignement professionnel », a-t-il soutenu.
Il a ajouté, dans le même sillage, que ce partenariat doit être exploité amplement, dans la filière l’automobile notamment la sous-traitance. Il a cité, à titre d’exemple, l’entreprise Renault. Il a indiqué que les experts exerçant au sein de cette usine peuvent former les jeunes dans les différentes spécialités disponibles à savoir l’usinage, la fonderie, la ferronnerie, etc.
Chérif Rahmani a affirmé que 19 000 demandes de besoins en formations en été enregistrées. Selon lui, 31 établissements de formation professionnelle sont identifiés, dans une première étape pour prendre en charge les besoins en formation et qualification dans les métiers de l’industrie, au demeurant exprimés par les entreprises.
La convention s’étale sur une période de trois années renouvelables. Elle vise à promouvoir la formation et l’enseignement professionnels dans les métiers de l’industrie et de recycler la ressource humaine des entreprises industrielles, a-t-il signalé
Lynda M. 25/12/2012