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L’enquête sera menée par la Police judiciaire de la sûreté de la wilaya d’Alger en collaboration avec les spécialistes du laboratoire scientifique et technique de la police et devra en déterminer les causes et origines (criminelles ou accidentelles).
L’incendie intervenu à la centrale téléphonique d’Algérie Télécom, dans les sous-sols de la Grande-Poste d’Alger le 19 décembre dernier, n’a pas encore fini de faire parler de lui. Hier, un communiqué émanant du parquet de la cour d’Alger a fait état de l’ouverture d’une enquête judiciaire qui devrait faire la lumière sur cet incident qui a coïncidé avec la première visite du président français François Hollande en Algérie. L’enquête, selon le document transmis hier aux rédactions, sera menée par la Police judiciaire de la sûreté de la wilaya d’Alger, en collaboration avec les spécialistes du laboratoire scientifique et technique de la police et devra en déterminer les causes et origines (criminelles ou accidentelles). Une décision qui suscite moult interrogations non de par sa nature, mais plutôt par rapport au timing, soit environ une semaine après l’incident. À noter qu’en plus de l’enquête interne menée par Algérie Télécom sous la tutelle du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (Mptic), les services de la police sont aussi sur le coup et n’ont pas encore rendu leurs conclusions. Les premiers éléments communiqués par les services de la Protection civile, qui, eux seuls ont eu accès aux lieux après l’incendie qui a ravagé les câbles, ont imputé ce qui s’est passé à un court-circuit. Mais ceci est loin d’être recevable pour le moment sans des recherches approfondies à plus forte raison que le préjudice a été très important. Au jour d’aujourd’hui, les équipes d’Algérie Télécom n’ont pas eu de répit et œuvrent pour un retour à la normale, à commencer par le rétablissement de la connexion Internet. Une source proche d’Algérie Télécom nous a affirmé, hier, que la totalité des institutions n’ont plus aucun problème, y compris le réseau SITA (compagnies aériennes) rétabli à 100%. Reste, cependant, les particuliers dont le nombre dépasse les 4 000 privés du téléphone fixe et de la connexion ADSL qui devront prendre leur mal en patience au moins jusqu’en début de l’année prochaine, soit dans moins d’une semaine. “La remise en marche n’est pas une mince affaire”, selon notre source qui reconnaît, en effet, que les câbles ont été ravagés et précise que “le répartiteur a été touché et nous ne pourrons pas y revenir. Nous allons recourir désormais à la nouvelle technologie Msan”.
Ces explications ont d’ailleurs été données précédemment, en l’occurrence lundi dernier, par Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui était alors intervenu sur les ondes de la Radio nationale et a indiqué que cela devra prendre un peu de temps, et ce, malgré la mobilisation des équipes d’AT qui ne ménagent aucun effort pour y remédier.
L’incendie intervenu à la centrale téléphonique d’Algérie Télécom, dans les sous-sols de la Grande-Poste d’Alger le 19 décembre dernier, n’a pas encore fini de faire parler de lui. Hier, un communiqué émanant du parquet de la cour d’Alger a fait état de l’ouverture d’une enquête judiciaire qui devrait faire la lumière sur cet incident qui a coïncidé avec la première visite du président français François Hollande en Algérie. L’enquête, selon le document transmis hier aux rédactions, sera menée par la Police judiciaire de la sûreté de la wilaya d’Alger, en collaboration avec les spécialistes du laboratoire scientifique et technique de la police et devra en déterminer les causes et origines (criminelles ou accidentelles). Une décision qui suscite moult interrogations non de par sa nature, mais plutôt par rapport au timing, soit environ une semaine après l’incident. À noter qu’en plus de l’enquête interne menée par Algérie Télécom sous la tutelle du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (Mptic), les services de la police sont aussi sur le coup et n’ont pas encore rendu leurs conclusions. Les premiers éléments communiqués par les services de la Protection civile, qui, eux seuls ont eu accès aux lieux après l’incendie qui a ravagé les câbles, ont imputé ce qui s’est passé à un court-circuit. Mais ceci est loin d’être recevable pour le moment sans des recherches approfondies à plus forte raison que le préjudice a été très important. Au jour d’aujourd’hui, les équipes d’Algérie Télécom n’ont pas eu de répit et œuvrent pour un retour à la normale, à commencer par le rétablissement de la connexion Internet. Une source proche d’Algérie Télécom nous a affirmé, hier, que la totalité des institutions n’ont plus aucun problème, y compris le réseau SITA (compagnies aériennes) rétabli à 100%. Reste, cependant, les particuliers dont le nombre dépasse les 4 000 privés du téléphone fixe et de la connexion ADSL qui devront prendre leur mal en patience au moins jusqu’en début de l’année prochaine, soit dans moins d’une semaine. “La remise en marche n’est pas une mince affaire”, selon notre source qui reconnaît, en effet, que les câbles ont été ravagés et précise que “le répartiteur a été touché et nous ne pourrons pas y revenir. Nous allons recourir désormais à la nouvelle technologie Msan”.
Ces explications ont d’ailleurs été données précédemment, en l’occurrence lundi dernier, par Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui était alors intervenu sur les ondes de la Radio nationale et a indiqué que cela devra prendre un peu de temps, et ce, malgré la mobilisation des équipes d’AT qui ne ménagent aucun effort pour y remédier.
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